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Le forum endurance équestre

Utilisateurs selles Hugues Petel

Sujet commencé par : veronik - Il y a 1343 réponses à ce sujet, dernière réponse par veronik
11 personnes suivent ce sujet.
Par veronik : le 24/09/08 à 08:07:03

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 Ici va se trouver un terrain d'échange pour les cavaliers qui veulent monter autrement.
Une monte de sensations, comme dit HP.

On est déjà 2 petelistes! (mais il y en a tellement d'autres hors ce forum) et j'espère que d'autres suivront.

J'espère que nous serons bien guidés dans notre travail!

Je pense qu'on devrait commencer pendant la période de pause hivernale!

[Titre modifié par Yann22_modo]


Messages 121 à 160, Page : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 > >

Par Halaska : le 17/10/08 à 22:47:58

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A la recherche d'une bonne selle pour Nasri, je viens aux informations ici...

Une selle avec corne, pour la randonnée, mais également un peu d'endurance, pour un petit arabe avec un garrot fort saillant... Puis-je trouver ça chez Monsieur Petel?

Par pascale : le 17/10/08 à 22:58:01

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 les jeunes forgent svt.. le mien le faisait jusqu'à 5 ans.. qd on a commencé a sérieusement bossé sur le plat... ça a disparut...

Par karine : le 18/10/08 à 08:35:05

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tout est relatif le mien n'a jamais forgé même en allongeant à mort les allures... la conformation des trotteurs peut-être?

Par veronik : le 18/10/08 à 09:36:12

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 Flooded: en parallèle avec HP, peux-tu développer. MERCI

Halaska: Bienvenue. Appelle-le et discute, c'est ce que tu as de mieux à faire!

Par karine : le 18/10/08 à 10:58:10

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 Je pose une question qui me vient, souvent les chevaux qui allongent et accélère à fond ont dentance me semble t-il à avoir plutôt la tête en l'air pas forcément très bien placé, est ce que ça ne favorise pas le fait de forger, de ne pas avoir le corps assez détendu pour allonger? le mien a tendance à avoir la tête plutôt basse la majeure partie du temps et surtout quand il accelère, je suppose que ça étend son dos aussi.
Dans tout les cas si ton amie bosse au petit trot que se passe t-il? forge ou pas?

Par veronik : le 18/10/08 à 11:49:49

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 Karin: Au petit trot: non
seulement à partir d'un trot moyen, on dira 14 KmH?
Mais tu as raison, son cheval garde une tête haute, mais pas le nez en l'air, tout de même.
Les miens, si j'allonge le trot, ont plûtôt tendance à allonger le cou vers l'avant....???

Par pascale : le 18/10/08 à 20:52:54

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 la solution, en atendant de bosser le cheval sur le plat, c'est pê de le passer au galop dés 15km/H?

Par veronik : le 19/10/08 à 10:04:41

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 Pascale: je ne suis JAMAIS au trot au delà de 14 Km/h, mais je reste au galop (sur 80 Km, 50 Km au galop quand le terrain le permet.)
Et nous n'allons JAMAIS au grand trot, mais ca c'est les bases!
Donc le problème n'est pas là.

Par pascale : le 19/10/08 à 10:17:03

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 ok, donc ton cheval est capable de galoper à 15 km/H... donc a priori, il connait, lui, La flexion des articulations postérieures....

Par hugues petel : le 21/10/08 à 10:58:08

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 Chose promise…

Il y a plusieurs acceptions pour le terme « rêne externe » :
-Pour un cavalier entre les murs, cela peut désigner la rêne du côté extérieur du manège, indépendamment de toute autre considération.
-Cela peut désigner la rêne du côté extérieur à la courbe définie par la trajectoire que suit le cheval- donc sur plusieurs foulées-, indépendamment du pli pris par lui ou donné par le cavalier (ce qui donne par exemple les visions idéalistes du cheval dont la courbe du rachis est identique du nez au sacrum à la trajectoire courbe suivie, qui si elle est possible, et bien que créatrice de résistances dans le demi-pli antérieur, est une absurdité en terme de locomotion quant aux postérieurs, le désengagement générant ipso facto la bascule du bassin et le demi-pli postérieur du côté opposé au membre qui désengage).
-Cela peut désigner la rêne extérieure au pli du cheval, donné par le cavalier, extérieurement à la structure de la foulée, et quelque soit la trajectoire suivie (exemples, les déplacements latéraux, ou la rêne côté convexe dans la rêne d’appui avec pli contraire dans les manuels officiels). La considération précédente sur le demi-pli postérieur est généralement valable dans ce cas.

La rêne externe telle que je la conçois est sans relation avec le mur, sans rapport avec la trajectoire suivie, et ne concerne pas un quelconque pli imposé.
Elle est fonction du demi-pli antérieur pris naturellement par le cheval dont le nez est libre, relativement à la structure de la foulée et du soutien de l’antérieur.
Exemple :
Au pas, le nez du cheval libre, cad celui dont le cavalier monte avec les rênes non tendues, va du côté de l’antérieur qui passe au soutien. Donc quelque soit la trajectoire, il y a dans une foulée de pas successivement un demi-pli antérieur à gauche et un demi-pli antérieur à droite. Les deux rênes sont donc externes successivement dans une foulée. Il est facile d’extrapoler aux autres allures.
La puissance de la rêne externe ainsi envisagée est d’être en relation directe avec la cession de mâchoire, puisqu’elle préserve le côté antérieur convexe qui est très légèrement consécutif à l’engagement du postérieur du même latéral (qui génère le demi-pli postérieur opposé) et à son passage en avant de la verticale jusqu’au poser, instant dont on sait qu’il offre le niveau minimal de résistances de force. L’aspect consécutif des demi-plis est la raison pour laquelle le pas est l’allure de dressage par excellence, par opposition au trot (sauf bien sur pour les cavaliers qui pensent qu’on éduque en « assouplissant »), où le même latéral voit soutien de l’antérieur et désengagement du postérieur simultanément.
Dans les premiers enseignements de la cm, le cavalier se sert donc de ces propriétés naturelles de la locomotion pour obtenir la décontraction. Par la suite et par conditionnement, il y a association entre rêne externe, cession de mâchoire et impulsion, liée au désengagement qui suit le poser du postérieur. Tout ceci ne se fait qu’en jouant avec les durées des soutiens et des poser, en y incluant des ruptures de cadence (de l’ordre du dixième de seconde) par vibrations sur les rênes et micro-blocages des hanches sur les mains fixes.
Il y a des subtilités qui rendent le procédé très efficace et très rapide à enseigner dans la manière d’utiliser par diachronismes les demi-plis antérieur et postérieur, en faisant « mémoriser » au cheval la décontraction obtenue sur un postérieur en l’associant au relever du mors avec la langue, et en lui laissant lâcher celui-ci au poser de l’autre postérieur (il est toujours fascinant de voir comme le cheval profite de ce… temps de réflexion transrachidien que lui offre le cavalier). Mais il faut une certaine habitude.

Parallèlement ou non à son enseignement en ligne droite lié à la cm, la rêne externe s’enseigne pour tourner.
Dans cet usage, elle s’oppose radicalement à la rêne dite « d’ouverture », dont j’ai déjà décrit sur mon site le caractère d’absolue indéhiscence lié à la permanence du pli qui la constitue.
Cette éducation à fin directionnelle est d’une telle facilité à enseigner au cheval autant qu’au cavalier que je n’ose pas la décrire ici (il a par exemple suffit d’une promenade pour que ma fille de huit ans, parfaite débutante –oui, elle monte avec un pelham bouclé en bride-, en intègre le mécanisme et l’applique sur une ponette borgne et sans âge. Mais il vrai que je venais de lui fabriquer SA selle).

Beaucoup de professeurs prétendent que l’équitation est simple à comprendre et difficile à pratiquer.
Je pense qu’elle est aussi facile à pratiquer qu’à comprendre, lorsqu’on a l’outil approprié et son modus operandi.

Bonheur équestre à tous,
Hugues

Par hugues petel : le 21/10/08 à 11:03:44

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 Chose promise…

Il y a plusieurs acceptions pour le terme « rêne externe » :
-Pour un cavalier entre les murs, cela peut désigner la rêne du côté extérieur du manège, indépendamment de toute autre considération.
-Cela peut désigner la rêne du côté extérieur à la courbe définie par la trajectoire que suit le cheval- donc sur plusieurs foulées-, indépendamment du pli pris par lui ou donné par le cavalier (ce qui donne par exemple les visions idéalistes du cheval dont la courbe du rachis est identique du nez au sacrum à la trajectoire courbe suivie, qui si elle est possible, et bien que créatrice de résistances dans le demi-pli antérieur, est une absurdité en terme de locomotion quant aux postérieurs, le désengagement générant ipso facto la bascule du bassin et le demi-pli postérieur du côté opposé au membre qui désengage).
-Cela peut désigner la rêne extérieure au pli du cheval, donné par le cavalier, extérieurement à la structure de la foulée, et quelque soit la trajectoire suivie (exemples, les déplacements latéraux, ou la rêne côté convexe dans la rêne d’appui avec pli contraire dans les manuels officiels). La considération précédente sur le demi-pli postérieur est généralement valable dans ce cas.

La rêne externe telle que je la conçois est sans relation avec le mur, sans rapport avec la trajectoire suivie, et ne concerne pas un quelconque pli imposé.
Elle est fonction du demi-pli antérieur pris naturellement par le cheval dont le nez est libre, relativement à la structure de la foulée et du soutien de l’antérieur.
Exemple :
Au pas, le nez du cheval libre, cad celui dont le cavalier monte avec les rênes non tendues, va du côté de l’antérieur qui passe au soutien. Donc quelque soit la trajectoire, il y a dans une foulée de pas successivement un demi-pli antérieur à gauche et un demi-pli antérieur à droite. Les deux rênes sont donc externes successivement dans une foulée. Il est facile d’extrapoler aux autres allures.
La puissance de la rêne externe ainsi envisagée est d’être en relation directe avec la cession de mâchoire, puisqu’elle préserve le côté antérieur convexe qui est très légèrement consécutif à l’engagement du postérieur du même latéral (qui génère le demi-pli postérieur opposé) et à son passage en avant de la verticale jusqu’au poser, instant dont on sait qu’il offre le niveau minimal de résistances de force. L’aspect consécutif des demi-plis est la raison pour laquelle le pas est l’allure de dressage par excellence, par opposition au trot (sauf bien sur pour les cavaliers qui pensent qu’on éduque en « assouplissant »), où le même latéral voit soutien de l’antérieur et désengagement du postérieur simultanément.
Dans les premiers enseignements de la cm, le cavalier se sert donc de ces propriétés naturelles de la locomotion pour obtenir la décontraction. Par la suite et par conditionnement, il y a association entre rêne externe, cession de mâchoire et impulsion, liée au désengagement qui suit le poser du postérieur. Tout ceci ne se fait qu’en jouant avec les durées des soutiens et des poser, en y incluant des ruptures de cadence (de l’ordre du dixième de seconde) par vibrations sur les rênes et micro-blocages des hanches sur les mains fixes.
Il y a des subtilités qui rendent le procédé très efficace et très rapide à enseigner dans la manière d’utiliser par diachronismes les demi-plis antérieur et postérieur, en faisant « mémoriser » au cheval la décontraction obtenue sur un postérieur en l’associant au relever du mors avec la langue, et en lui laissant lâcher celui-ci au poser de l’autre postérieur (il est toujours fascinant de voir comme le cheval profite de ce… temps de réflexion transrachidien que lui offre le cavalier). Mais il faut une certaine habitude.

Parallèlement ou non à son enseignement en ligne droite lié à la cm, la rêne externe s’enseigne pour tourner.
Dans cet usage, elle s’oppose radicalement à la rêne dite « d’ouverture », dont j’ai déjà décrit sur mon site le caractère d’absolue indéhiscence lié à la permanence du pli qui la constitue.
Cette éducation à fin directionnelle est d’une telle facilité à enseigner au cheval autant qu’au cavalier que je n’ose pas la décrire ici (il a par exemple suffit d’une promenade pour que ma fille de huit ans, parfaite débutante –oui, elle monte avec un pelham bouclé en bride-, en intègre le mécanisme et l’applique sur une ponette borgne et sans âge. Mais il vrai que je venais de lui fabriquer SA selle).

Beaucoup de professeurs prétendent que l’équitation est simple à comprendre et difficile à pratiquer.
Je pense qu’elle est aussi facile à pratiquer qu’à comprendre, lorsqu’on a l’outil approprié et son modus operandi.

Bonheur équestre à tous,
Hugues

Par hugues petel : le 21/10/08 à 11:03:53

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Il y a plusieurs acceptions pour le terme « rêne externe » :
-Pour un cavalier entre les murs, cela peut désigner la rêne du côté extérieur du manège, indépendamment de toute autre considération.
-Cela peut désigner la rêne du côté extérieur à la courbe définie par la trajectoire que suit le cheval- donc sur plusieurs foulées-, indépendamment du pli pris par lui ou donné par le cavalier (ce qui donne par exemple les visions idéalistes du cheval dont la courbe du rachis est identique du nez au sacrum à la trajectoire courbe suivie, qui si elle est possible, et bien que créatrice de résistances dans le demi-pli antérieur, est une absurdité en terme de locomotion quant aux postérieurs, le désengagement générant ipso facto la bascule du bassin et le demi-pli postérieur du côté opposé au membre qui désengage).
-Cela peut désigner la rêne extérieure au pli du cheval, donné par le cavalier, extérieurement à la structure de la foulée, et quelque soit la trajectoire suivie (exemples, les déplacements latéraux, ou la rêne côté convexe dans la rêne d’appui avec pli contraire dans les manuels officiels). La considération précédente sur le demi-pli postérieur est généralement valable dans ce cas.

La rêne externe telle que je la conçois est sans relation avec le mur, sans rapport avec la trajectoire suivie, et ne concerne pas un quelconque pli imposé.
Elle est fonction du demi-pli antérieur pris naturellement par le cheval dont le nez est libre, relativement à la structure de la foulée et du soutien de l’antérieur.
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Au pas, le nez du cheval libre, cad celui dont le cavalier monte avec les rênes non tendues, va du côté de l’antérieur qui passe au soutien. Donc quelque soit la trajectoire, il y a dans une foulée de pas successivement un demi-pli antérieur à gauche et un demi-pli antérieur à droite. Les deux rênes sont donc externes successivement dans une foulée. Il est facile d’extrapoler aux autres allures.
La puissance de la rêne externe ainsi envisagée est d’être en relation directe avec la cession de mâchoire, puisqu’elle préserve le côté antérieur convexe qui est très légèrement consécutif à l’engagement du postérieur du même latéral (qui génère le demi-pli postérieur opposé) et à son passage en avant de la verticale jusqu’au poser, instant dont on sait qu’il offre le niveau minimal de résistances de force. L’aspect consécutif des demi-plis est la raison pour laquelle le pas est l’allure de dressage par excellence, par opposition au trot (sauf bien sur pour les cavaliers qui pensent qu’on éduque en « assouplissant »), où le même latéral voit soutien de l’antérieur et désengagement du postérieur simultanément.
Dans les premiers enseignements de la cm, le cavalier se sert donc de ces propriétés naturelles de la locomotion pour obtenir la décontraction. Par la suite et par conditionnement, il y a association entre rêne externe, cession de mâchoire et impulsion, liée au désengagement qui suit le poser du postérieur. Tout ceci ne se fait qu’en jouant avec les durées des soutiens et des poser, en y incluant des ruptures de cadence (de l’ordre du dixième de seconde) par vibrations sur les rênes et micro-blocages des hanches sur les mains fixes.
Il y a des subtilités qui rendent le procédé très efficace et très rapide à enseigner dans la manière d’utiliser par diachronismes les demi-plis antérieur et postérieur, en faisant « mémoriser » au cheval la décontraction obtenue sur un postérieur en l’associant au relever du mors avec la langue, et en lui laissant lâcher celui-ci au poser de l’autre postérieur (il est toujours fascinant de voir comme le cheval profite de ce… temps de réflexion transrachidien que lui offre le cavalier). Mais il faut une certaine habitude.

Parallèlement ou non à son enseignement en ligne droite lié à la cm, la rêne externe s’enseigne pour tourner.
Dans cet usage, elle s’oppose radicalement à la rêne dite « d’ouverture », dont j’ai déjà décrit sur mon site le caractère d’absolue indéhiscence lié à la permanence du pli qui la constitue.
Cette éducation à fin directionnelle est d’une telle facilité à enseigner au cheval autant qu’au cavalier que je n’ose pas la décrire ici (il a par exemple suffit d’une promenade pour que ma fille de huit ans, parfaite débutante –oui, elle monte avec un pelham bouclé en bride-, en intègre le mécanisme et l’applique sur une ponette borgne et sans âge. Mais il vrai que je venais de lui fabriquer SA selle).

Beaucoup de professeurs prétendent que l’équitation est simple à comprendre et difficile à pratiquer.
Je pense qu’elle est aussi facile à pratiquer qu’à comprendre, lorsqu’on a l’outil approprié et son modus operandi.

Bonheur équestre à tous,
Hugues

Par hugues petel : le 21/10/08 à 11:06:27

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 Les voies de l'informatique sont parfois impénétrables.

Par hugues petel : le 22/10/08 à 12:20:34

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Véronik
 
« Silence autour du pas
Cadence du sang qui bat
La route à pas comptés
C’est toute l’éternité ».

Dans le post à propos de la flexion des articulations postérieures sur le forum dressage, une fois de plus, c’est Micio qui est dans le juste (je me suis souvent demandé si les cavaliers qui recommandent les déplacements latéraux –« inutiles et souvent dangereux » disait Beudant- pour l’éducation d’un cheval d’extérieur ont déjà monté un cheval pendant dix heures, galopé non stop sur 50 km, ou pris un départ de nationale avec un cheval chaud sur hippodrome parmi 100 autres chevaux).
Néanmoins, il conviendrait de relativiser sa dernière phrase :
L’encolure basse, si cela signifie que le cheval a pratiquement le nez au sol, n’est pas synonyme de surcharge sur l’avant-main. En effet, par la tension ainsi générée sur le ligament supra-rachidien, l’extension d’encolure, qui est une flexion des cervicales, induit l’ouverture des apophyses supérieures des dorsales, par l’inversion de courbure autour de D 11 la convexité des dorsales jusqu’aux lombaires, et nécessairement, par réaction, à l’autre bout de la chaîne, la flexion des articulations postérieures, laquelle –si le cavalier sait contrôler la durée des soutiens des postérieurs- abaisse les hanches, donc élève et décharge l’avant-main.
L’extension d’encolure a un effet ostéopathique évident, et si bien des chevaux la recherchent (voyez l’attitude après « travail » des chevaux que l’on a fléchis), ce n’est pas par hasard.


Par veronik : le 23/10/08 à 08:29:52

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 Traduit et transmis à Britta.(selle HP en Allemagne)
Merci

Par karine : le 23/10/08 à 08:51:00

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pfff... tout ça a digérer pour les prochaines balades... dur dur... je laisse toujours la comète à mon mari et attends les autres aujourd'hui ça sera peut instructif à mon avis mais un peu de denivellé, j'hésite juste sur le rythme pas petit trot ou petit galop... pour la montée! la descente y'a peu de chance que ce soit autre chose que du pas hyper ralenti (il est pas à l'aise dans les descentes même sur route).
Au passage une petite question "matériel" pour HP, serait-il possible de modifier les quartiers de la comète que nous avons, étant destiné à mon mari ils sont un peu trop court pour ui, serait -il possible par exemple de l'emmener si on fait le satge l'année prochaine?

Par veronik : le 23/10/08 à 11:03:02

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 Comment contrôler la durée du temps de soutien des postérieurs?

Le temps de soutien étant bien la phase "en l'air"?

Merci

Par karine : le 23/10/08 à 14:36:59

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Tiens une balade amenant une question...
il me semble avoir lu un jour que vous privilégiez le trot en descente, mais je n'ai pas d'infos plus précises, le trot par rapport au pas? quel avantage y voyez vous?

Sinon aujourd'hui je suis contente, j'ai fait une sortie "habituelle" mais non faite depuis longtemps... 6 km de montée sur route pour environ 600m de denivelé et la descente idem... d'habitude je dois le trainer pour la descente et là miracle un pas actif voire même un trotting avec entrain (j'ai même été obligé de le ralentir pour le pas avoir un trot rapide!!! incroyable!!)
La descente sur route c'était pas son truc et en cette saison je ne peux pas descendre par les chemins trop boueux. En plus il usait ses postérieurs affreusement à force de les "trainer par terre" et là nickel ... pas d'usure!

Par hugues petel : le 24/10/08 à 10:41:21

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 Karine,
Votre cheval progresse et vous le dit.
Analysons.
On sait que les diagonalisations associées sont génératrices de résistances, phénomène amplifié lorsqu’elles sont sautées, comme c’est le cas au trot.
Par ailleurs, on peut ressentir dans le temps sauté du trot deux « qualités » de résistances, l’une, faible en intensité, qui est liée à la « suspension » (perceptible lorsque l’amplitude du trot ne demande pas que le cheval se méjuge, par exemple), l’autre, plus importante en intensité, qui est liée à la « projection » (dominante au trot rapide ou trot en montée), qui couvre la première lorsque le cheval doit se méjuger. C’est la projection qui est structurellement la plus préjudiciable.
Votre cheval connaît, par les jeux fait au pas, la décontraction procurée par la cm (il a donc déjà une certaine capacité de flexion des articulations postérieures), et la recherche car il sait qu’elle lui donne du bien-être.
Le désir de se porter en avant, l’impulsion (à ne pas confondre avec la précipitation), est une expression de ce bien-être (on le sait, l’impulsion est un corollaire de la cm bien enseignée).
En descente, pour une simple raison d’aplomb, le cheval n’a pas nécessité à se méjuger, et ce d’autant moins qu’il connaît la cm. Il a donc, pour avancer rapidement, possibilité d’associer ses diagonaux, sans projection, donc dans le relâchement musculaire. Vous lui avez offert la possibilité de le faire, par l’éducation, donc il le fait.
Ce que votre cheval vous fait découvrir aujourd’hui, vous pourrez le reproduire volontairement avec le prochain que vous éduquerez.
Dans le cadre d’une équitation qui cherche à réduire les résistances, après l’éducation à la cm par voie latérale au pas, il est bon de chercher la décontraction dans les allures qui présentent un diagonal associé (le galop) ou deux diagonaux associés (le trot et le pas d’école).
Eduquer le cheval à la cm au trot passe donc par l’utilisation des descentes, qui sont naturellement favorables à cette fin, dans des allures où les diagonalisations associées sont aussi ralenties que possible (toujours sur des rênes non tendues), soit le trot très lent, très compté (vous sentirez parfois dans les débuts un brusque relâchement d’un postérieur, comme si le cheval achoppait ; c’est pour lui le commencement de l’association physique entre la cm et le postérieur associé), puis le pas d’école (pas diagonalisé sans suspension).
Veillez particulièrement, quand vous cherchez à ralentir l’allure, à utiliser le même type de séquences sur une seule rêne que celles que je vous avais indiquées pour la cm au pas. C’est encore plus important ici, attendu que vous jouez avec des allures potentiellement plus génératrices de résistances.
C’est également l’occasion de commencer à demander la cm avec les hanches, sur les deux mains fixes.
Ce dernier point m’amène naturellement à répondre à Véronik.
Néanmoins, avant de me lancer dans cette description à côté de laquelle tout ce que j’ai écrit jusqu’à présent est d’une grande trivialité, je voudrais inviter tous les lecteurs et participants à ces échanges à se rendre sur le forum dressage pour réfléchir sur un post intitulé « reculer souci ».
J’aimerai avoir des analyses sur le problème soulevé et les solutions proposées.
Je reprendrai la plume dans deux semaines.
Bonheur équestre,
Hugues

Par karine : le 24/10/08 à 13:41:45

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Vous me faites bien plaisir là!!! moi qui desespère un peu sur d'autres sujets!!!
vous sentirez parfois dans les débuts un brusque relâchement d’un postérieur, comme si le cheval achoppait ; c’est pour lui le commencement de l’association physique entre la cm et le postérieur associé 
Justement je me posais la question de cette "chose" qui lui arrivait de temps en temps, l'impression de "lacher" un postérieur. Etes vous en train de dire qu'il assimile la cession de machoire? (j'ai du mal à juger!!)

Concernant le post reculer soucis... j'ai l'impression de me voir, l'impression aussi de ne pas maitriser le pourquoi du reculer, l'intervention de PPDR me plait bien! En fait on se focalise sur l'action de reculer mais pas sur son interet. J'ai franchement l'impression quand je lui demande de reculer (oui oui c'est pas du tout concluant pour l'instant) qu'il ne comprend pas l'interet de ce que je lui demande. Par moment j'ai l'impression que le mouvement y est sans avoir le reculer... ça devrait me suffire pour l'instant!
Je me rappelle d'une fois où je parlais reculer avec une connaissance qui me disait que c'est hyper important en rando quand on est dans un chemein sans issue et sans possibilité de se retourner... ouais sauf que sans lui avoir appris à reculer je vois bien que dans une situation pareille il saura reculer s'il le faut, il est pas con!... je suppose que c'est illusoire de croire qu'on apprend à un cheval à reculer... on lui apprend à faire un mouvement à la demande, c'est pas pareil.
Pour mon cas je sais que le problème se situe de mon côté et pas du sien (enfin comme toujours je suppose) le message ne passe pas... quelque soit les aides, la compréhension n'y est pas.
Sinon je ne suis pas assez caler pour juger des réponses faites à l'interlocuteur... la seule chose que j'y voit c'est que chacun à trouver une façon de demander le rculer à son cheval... pas la même et que ça "marche"... à conclure qu'il n'y a pas une façon de faire mais une pour chaque "couple".
Véro et les autres qu'est ce que vosu en pensez?

Par karine : le 28/10/08 à 08:09:58

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bon les filles vous êtes ou? Véro c'est aujourd'hui que tu reprends le "jeu"??

Par ladd : le 28/10/08 à 09:06:57

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  je suis toujours là, mais silencieuse, car je recommence tout juste à sortir Lautrec, et c'est pas du gâteau!!
et j'ai tellement de lecture en retard que pour l'instant je "redémarre" à presque zéro, en me concentrant surtout sur mes sensations et ma perception de la locomotion ; mais après une petite heure dimanche, j'ai l'impression que je progresse petit à petit

question annexe : est ce que vous faites des séances à pied (longe ou longues rênes ) ?

Par jean yves 01 : le 28/10/08 à 09:31:51

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 je répond pour karine . Non pas de longe , ni longues rène

Par veronik : le 28/10/08 à 09:41:39

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 Oui, j'y vais tout de suite! Mais j'ai tout relu (Oh là là!!) et je repars à zéro.
Mais toi, Karin, je te trouve très en avant!!!

Par lyra : le 28/10/08 à 10:46:41

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 excusez moi! moi aussi je reste silencieuse!

je me laisse submerger par toutes ces explications que j'ai envie d'étudier! mais c'est un peu tôt encore!

j'en suis encore a comprendre ce qu'il se passe sous la selle!
je croyais avoir détecté le mouvement des postérieurs
et finalement en faisant monter ma fille ce WE je lui ai demande de me dire quand elle sentait son popotin monter + propulsion vers l'avant de mon côté!

et bien on dirait que cela correspond au postérieur vers l'arrière en fin de course, et non pas vers l'avant ......
remarque c'est logique! vers l'avant ça expliquerait le mouvement vers le haut mais pas la propulsion....

voilà où j'en suis!!

Par ladd : le 28/10/08 à 11:04:39

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 c'est rassurant de voir que je ne suis pas la seule à galérer dans la perception des posers

au début j'étais même complètement à contre temps entre gauche et droite, maintenant cela va mieux, je pense que nous aurons fait un grand pas en avant quand ce problème sera résolu et que nous aurons commencer à intégrer le "temps-cheval"
d'ailleurs qd j'arrive à agir au bon moment (1 fois ou deux par séance) Lautrec me le dit tout de suite (pas grand chose pour l'instant, mais plutôt un changement d'attitude, genre "tiens qu'est ce qui se passe ? "accompagné d'un relâchement perceptible, bien que très fugace...

en tout cas, je trouve tous ces échanges vraiment intéressants et surtout constructifs




Par karine : le 28/10/08 à 12:45:25

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Me revoilà le temps de jeu c'esttransformé en 15mn chrono, largement suffisant pour être trempée jusqu'aux os donc bref pas grand chose à en dire... bon je remarques que vosu me laissez me ridiculiser toute seule... qu'est ce que vous repondez à la question d'HP?

Par ladd : le 28/10/08 à 14:08:39

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 non non on ne t'abandonne pas Karine, , mais pour répondre sur le reculer, j'ai besoin de tout relire au calme, de faire quelques essais avec le mien (quoique HP m'ait conseillé de laisser le reculer de côté pour l'instant) et de tenter de formuler une réponse
mais j'ai toujours beaucoup de mal a énoncer clairement tout ce qui me passe par la tête qd je me plonge ds la lecture des posts !!

Par veronik : le 28/10/08 à 14:18:04

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 Bon, je me löance pour le reculer, mais je épète que ce sont des impressions de quelqu'un qui ne sait pas grand chose. Je prends le risque du ridicule, ne soyez pasa vaches!

"rênes ajustées": non, je reste sur des rênes en guirlandes

"Mains basses;" j'étais ainsi, mais maintenant je suis juste un peu en dessous de la ceinture.

Vibrations: pour cette commande, je n'en fais pas, je ...ne fais, il me semble,...rien?!

"Cheval vient buter..." ca c'est ce que j'avais appris en manège!!! et aujourd'hui oublié!

MAIN: légère tension pas d'action de la main, juste un bout de phalange si je devais faire quelque chose

"placer jambes en arrière": J'oublie de m'en servir (!?). Elles sont simplement au contact, ni + ni -

"cheval coincé". ca c'est le lourd travail de manège!

Comparaison trot-reculer: pas d'avis ??!!

Mon reculer:
** je suis au pas, rênes en souple guirlande, bassin droit (enfin, moyen, car ma selle actuelle est une YO)
** Arrêt: bascule du bassin vers l'arrière (contact avec la selle recule de 3cm) et je sens les soutiens arrières de la selle (YO)
** Demande de cession de mâchoire ponctuelle.
(souvent couplée à une cession de nuque, mais chanfrein pas encoreà la verticale
** je me grandis dans la selle, et je sens un peu plus l'arrière de la selle, je ne me vois pas faire grand chose avec mes doigts, mais en réflécissant, je suppose que mes bras suivent le corps, donc un leger basculement vers le haut??
** reculé.

Pour arrêter le reculer: reprise de la position initiale du bassin, et rien dans les jambes (J'oublie!!!)

Et là je sens une vraie bascule du mouvement.


Maintenant à qui de sortir ses erreurs et bêtises??? moi, c'est fait


C'était ma reprise de travail de ce matin
+ départ au trot de l'arrêt et du reculer.
et curieusement ca allait mieux dans le sens du retour
Mais l`s je dois relire la transition trot-pas dans les pages HP, car ce n'était pas trop bien, même mal....par rapport à ce que nous travaillons ici.
Je lis ce soir et applique demain

Par karine : le 28/10/08 à 15:13:35

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Tu sais Véro... le reculer je laisse tomber pour l'instant.. mon cheval ne comprend pas ma demande... il y adonc forcément une étape que nous n'avons pas réalisé encoe, je m'attend il sait très bien reculer mais... rien ne passe (comme sur l'autre post) et j'aurais plutôt tendance à laisser de côté pour voir d'autre choses que le reculer pour l'instant... il est peut-être tout simplement pas prêt par rraport au travail qu'on a fait jusqu'à présent!
Bon en ce moment je monte sans la HP... plus d'étrivières pour l'instant, elles sont trop courtes, et je vois bien que c'est pas ça du tout... le cheval est nerveux dès que je tente quelque chose, même rênes longues (presque posées) il ets en tension, place sa tête alors que je ne lui demande rien...
Par contre je me posais une question, on a beaucoup parlé de la rêne d'appui pour tourner est ce qu'on peut considèrer qu'on tourne uniquement avec son corps (je veux dire sans les mains et bras)?

Par veronik : le 28/10/08 à 16:15:49

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 Karine:T'en fais pas, mon cheval a donné ca tout seul!!
pour la rène d'appui, HP a une position bien tranchée et inhabituelle que je tente de mettre en place (Oh les vieux reflexes!!!)
En aucun cas, ici, je ne donnerais de conseils, si on a crée ce post, c'est pour avoir les bonnes réponses.
C'est toute la différence d'avec les autres posts dressage ou tout le monde donne un avis, et chaque avis est Vérité!!

Ici, j'ai donné mes impressions sur le reculé, car c'était une demande de HP, mais c'est dans le but de recevoir des critiques (au sens +!!)
les seules choses que j'écris, c'est ce que je fais, et ainsi je peux être remise dans le droit chemin.

en attendant son retour, vas te turlupiner* les neurones sur son site, il y a une question/répose sur la rène d'appui.

* je te mets en mp ce que je dis normalenment!!!

Par ladd : le 29/10/08 à 08:55:00

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 pour la rene d'appui, je pense que HP serait d'accord pour que je vous transmette la réponse qu'il m'a faite (précédée de ma question pour bien ressituer)

Je sors tous les week ens seule avec lautrec ; je teste le pehlam depuis samedi, avec des alliances ; je suis très attentive à tenir mes rênes sur la bonne phalange et à avoir des actions très courtes ; bien sûr j'ai beaucoup de problèmes de timing, et je me rends compte que j'ai souvent les mains plus basses que la ceinture ; j'ai hâte d'avoir ma selle car je suis souvent à la recherche des sensations que j'ai eu avec la comète, aussi ai je décidé pour l'instant d'être le plus discrète possible avec les jambes l'assiette et le bassin ; je me concentre surtout sur le calme et la régularité du cheval, et ma position de main ainsi que sur les "coudes aux corps". Si tout me semble "correct" j'esquisse un apprentissage de la rêne d'appui ; mais là, pour l'instant, c'est surtout moi qui doit oublier mes vieilles habitudes !




HP :
Pour la rêne d'appui, impérativement des rênes non tendues pour ne pas mettre Lautrec en pli inverse.
Pour tourner à droite:
rêne droite en demi tension plus courte que rêne gauche,
fermer les doigts à droite au poser de l'antérieur droit, relacher au soutien.
Au soutien de l'antérieur droit, toucher l'encolure avec la rêne gauche. Les premiers temps, n'hesitez pas à toucher haut sur l'encolure (c3) en tendant le bras dans l'axe de la ceinture, puis, quand l'automatisme du pli à droite est pris, descendez progresivement jusqu'à une indication sur le garrot.
La main droite reste toujours à la ceinture.

Il faut alterner (dans des intervalles de plusieurs minutes: toujours attendre que le mouvement précédent cesse de "résonner dans la tête du cheval" ces demandes avec des demandes de cession de mâchoire en ligne droite avec la tenue de rêne correspondant aux premiers temps de ce jeu, à savoir avec la rêne externe en demi tension plus courte que la rêne interne (donc tenue inverse des demandes pour la rêne d'appui).

une petite remarque : depuis que je me concentre sur la position de mes mains à la ceinture, coudes au corps, j'ai acquis beaucoup plus de souplesse et donc mes actions me semblent plus efficaces qd elles sont volontaires, et beaucoup moins violentes qd je suis surprise par une réaction innatendue de Lautrec
si cela peut vous aider

Par karine : le 29/10/08 à 09:04:29

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En fait je l'avais bien compris comme ça mais je suppose que c'est la base et qu'après (quand on relis sur son site la rêne d'appui ) on peut passer à quelque chose de plus complexe puisqu'il dit qu'on peut incurver dan sles deux sen savec une même rêne d'appui...
Merci Iadd parce que je savais bien que je l'avais lu quelque part (je ne trouvais plus) et c'est toi qui me l'avais fait passer!!!

Par veronik : le 29/10/08 à 10:13:36

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 Merci Ladd, c'est toujours très important de pouvoir lire la même chose, mais dite de manière autre.
Car Karine et moi: les neurones.....ca chauffe, ca bout!!

Par veronik : le 29/10/08 à 10:14:53

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 Je viens de lire, c'est exactement ce que nous voulions! Merci!!

Par veronik : le 29/10/08 à 13:15:44

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 Travail du jour: Transitions descendantes.
Avant je "freinais" comme tout le monde, mais toutefois jamais avec une tension constante et des 2 côtés à la fois.

J'ai lu le texte sur les transitions trot-pas: voilà mes impressions:

AVANT: je tombais dans le pas.
MAINTENANT: je trouve que le cheval, quand il fait sa transition est rebondissant et reste à un pas que je ne connaissais encore pas.
Et je trouve que le redémarrage au trot est déjà ou encore sous-jacent.
Mais faire ceci sur des rênes en guirlande: pas facile, et pour l'instant la transition dure 3/4 pas de trot sur le chemin aller, et dure le double sur le retour!!

Comment améliorer la perception pour le cheval de ce que je veux?
Comment me mettre dans la selle?
Et que dois-je sentir? (avec YO)?


Merci pour les conseils.

Par veronik : le 30/10/08 à 13:43:48

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 La main de l'écuyer: est-ce une main régulatrice et de position??
Ne faut-il pas l'avoir en place avant toute autre action?

Par ladd : le 30/10/08 à 14:17:19

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 peux tu me donner une petite précision Véronik ?
il me semble bien que HP recommande une progression pas galop PUIS trot
as tu déjà "travaillé " (que c'est difficile de ne pas utiliser ce terme!) les transitions pas galops et pour moi tu serais donc à l'étape suivante (pas trot) ?
personnellement je commence actuellement pas galop et galop pas, et j'ai -à ma grande surprise- une écoute bien meilleure (au trot ça part un peu vite)
mon but premier est d'établir une connexion forte avec Lautrec qui est un GRAND inquiet (et par la même être moi aussi un peu moins stressée )

Par ladd : le 30/10/08 à 14:28:46

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 peux tu me donner une petite précision Véronik ?
il me semble bien que HP recommande une progression pas galop PUIS trot
as tu déjà "travaillé " (que c'est difficile de ne pas utiliser ce terme!) les transitions pas galops et pour moi tu serais donc à l'étape suivante (pas trot) ?
personnellement je commence actuellement pas galop et galop pas, et j'ai -à ma grande surprise- une écoute bien meilleure (au trot ça part un peu vite)
mon but premier est d'établir une connexion forte avec Lautrec qui est un GRAND inquiet (et par la même être moi aussi un peu moins stressée )

Par veronik : le 30/10/08 à 15:55:11

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 Oh Ladd, je suis bien une des dernières qui puisse te conseiller!!!
si tu savais la pile de question.
Pour l'instant je ne fais QUE pas et trot. Ce matin, après avoir relu les textes, j'ai fait transition trot-pas:
Je passe en mp, car ce n'est d'aucun intérêt pour les autres!

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