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De l’alcool

Sujet commencé par : Phèdre - Il y a 197 réponses à ce sujet, dernière réponse par equifeel
2 personnes suivent ce sujet.
Par Phèdre : le 29/12/19 à 10:50:37

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En pleine période des fêtes, je m’interroge.
Grande fetarde, j’ai souvent un verre à la main. J’apprécie le bon vin et de temps à autre une bonne bière (surtout en Happy Hour ).

Sauf que je m’interroge, ayant pas mal consommé durant les fêtes et le fait qu’un pan de notre culture tourne autour du vin (« Aaah la France ! 🐓 »).
Il y a plusieurs personnes de ma famille qui servent généreusement dans les verres, même si on dit qu’on boit peu, parce qu’on conduit par exemple ou si on n’a tout simplement pas envie de boire. Et je ne comprends pas pourquoi certains y vont de leur petite plaisanterie ou vont carrément faire une remarque pour nous faire passer pour des rabats joies.

Je trouve d’ailleurs qu’on devrait arrêter de se justifier afin de faire comprendre que non, on n’a pas envie de boire et puis c’est tout !

Et aujourd’hui je tombe sur cet article .

Si ce n’est pas le premier du genre sur les dangers de l’alcool, il explique clairement ce fait où l’on risque de passer pour un rabat-joie si l’on ne boit pas, mais puisque l’alcool est associé à un moment festif, la majorité acquiesce cette vision.

Et c’est en même temps flippant de se dire que l’alcool est tellement ancré dans notre culture (« Aaah la France 🐓 »...) qu’on a oublié que c’est un véritable problème de santé publique , on ne compte plus le nombre d’alcooliques même « mondains », mais non que c’est pas grave, ne gâchons surtout pas la fête .

C’était la minute râleuse du jour

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Par Erzebeth : le 29/12/19 à 10:58:47

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Oui ben ça dépend aussi de son entourage hein.
C'est un problème que je ne rencontre absolument jamais, et pourtant je ne bois pas une goutte d'alcool.
Et j'ajoute que je suis entourée de gens dont certains ne consomment pas avec le dos de la cuillère.
Alors dans la vingtaine, beaucoup ont essayé de me faire goûter des trucs, pour voir, mais ça s'arrêtait là. Aujourd'hui, la seule remarque qu'on ait pu me faire depuis longtemps (et c'était pas une remarque, c'était lié à une discussion sur la cuisine et les alliances de saveurs), c'est le fait que je perds un pan des associations de saveurs dans les repas (et comme je cuisine et tout, le pote qui me disait ça disait que c'était un peu dommage mais ça s'arrêtait là ).
Mais rabat-joie, jamais.
Bon...
En fait assez vite les gens me disent plutôt qu'heureusement que je ne bois pas et que je ne me drogue pas vu ce que je suis capable de faire à jeun déjà. Ceci explique peut-être cela.
Quand à mon mec, il est ravi d'avoir un taxi attitré.

Par kirikou : le 29/12/19 à 11:06:29

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Ah ça! et encore, je trouve que chez certains les mentalités ont bien évoluées ... mais vraiment pas partout
Mon père, fils et neveu de viticulteur, petit-fils de marchand de vin, a mis du temps à comprendre qu'un verre vide le vivait très bien et que si on ne lui demandait pas de vin, c'est qu'on en voulait pas. Idem pour le principe du "un fond" qui se transformait en 3/4h Il a arrêté avec moi le jour où j'ai été vidé sciemment sous ses yeux le reste du verre dans l'évier . Pareil, mon frère et moi on lui a fait la guerre pour qu'il laisse conduire notre mère quand il a bu. On a fini par gagner mais ça a mis du temps

Ma mère ne peut plus boire d'alcool pour raison de santé et doit encore régulièrement se justifier. Idem pour zhom qui provisoirement ne peut pas boire d'alcool. C'est soulant. Souvent d'ailleurs, quand "on" essaie de le forcer, je refuse d'en boire aussi. Là où zhom se sent obligé de se justifier, moi, c'est "Juste, j'en veux pas".
Perso, il m'arrive de ne pas avoir envie de boire. Dans ma famille, plus personne n'insiste. À l'extérieur, il arrive qu'on insiste. Je hausse les épaules, je laisse remplir mon verre et je ne le vide pas. En cas de réflexion, je rappelle que j'avais décliné et que je ne vais pas me forcer à boire pour faire plaisir. Pis c'est comme ça et pas autrement.
Mais comme tu dis, ça jette bêtement un froid.

Par kirikou : le 29/12/19 à 11:09:50

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où l’on risque de passer pour un rabat-joie si l’on ne boit pas
Alors qu'en réalité, j'en ai connu quelques unes où finalement le repas/la soirée se finit pas si bien que ça parce que ceux qui ont bu deviennent soûlants, envahissants voire agressifs

Par ninicoton : le 29/12/19 à 11:32:56

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Ouep, ça dépend de l'entourage et de la culture de la région... Ex-bretonne, normande en ce moment, c'est culturellement ancré, mais plutôt genre "alcool dégénérant en violences familiales". Comme Erzie, je n'ai jamais eu d'attirance pour l'alcool, n'en ai jamais eu besoin pour passer une bonne soirée, et pour moi, une bonne soirée, ce n'est pas celle où tout le monde fini par gerber...
Quand on insiste sur le "versement d'alcool", je retourne la situation envers celui qui verse "tu sais bien que je ne bois que très peu, et personnellement, ça ne me pose pas de souci. ça t'en pose un ?" et l'autre est obligé d'expliquer pourquoi ça le gène lui...
Après, c'est comme tout, l'alcool, c'est comme le café, une fois que l'entourage sait que tu n'aimes pas /en bois peu, il n'insiste pas... A Noël, par ex, je ne refuse pas un peu de champagne, un peu de vin blanc doux et sec, et c'est tout, juste pour goûter, parce que j'aime ça, mais ma limite de tolérance est très basse.

Par BW : le 29/12/19 à 12:01:02

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Et c’est en même temps flippant de se dire que l’alcool est tellement ancré dans notre culture (« Aaah la France 🐓 »...)

Pour le coup c'est vraiment pas un problème typiquement français, l'alcoolisme ordinaire c'est valable partout (et pour le coup la France n'est pas le pays le plus oppressant envers les gens qui ne boivent pas d'alcool)

Ensuite comme pour les autres c'est uniquement une question d'entourage, quand on côtoie des gens civilisés il n'y a pas vraiment de problèmes.
On a d'ailleurs réussi à "guérir" un gars qui était comme ça en soirée, bourré vitesse V, toujours à essayer de remplir les verres de tout le monde "C'est comme ça chez moi, c'est une marque de respect blablabla". Quand on lui a expliqué qu'en fait c'était ni plus ni moins qu'une forme de harcèlement (et qu'il resterait dans son coin tant qu'il ne travaillerait pas sur ce problème) il a vite évolué dans le bon sens. Il a même réussi à commencer à respecter les végétariens en même temps, pour le même tarif

Faut pas hésiter à être un peu rentre dedans, y'en a marre de ces gens qui servent de l'alcool à ceux qui n'en boivent pas alors que nous ensuite on trouve plus que des bouteilles vides, c'est scandaleux

Par swann : le 29/12/19 à 12:06:07

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'' C'est soulant. ''

Par dejavu : le 29/12/19 à 12:16:44

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Le problème n'est jamais que qqn remplisse votre verre même si vous n'avez rien demandé... Suffit de ne pas le vider, non?

Que ce soit en France ou aux PB, quand c'est moi qui conduit (et c'est souvent le cas) je ne bois pas un seul verre. Et pourtant j'aime bien le bon vin. Je n'ai jamais eu de remarques désobligeantes à ce sujet, plutôt des compliments. On oubie trop vite qu'en cas d'accident, même si nous n'en sommes pas responsables, le fait d'avoir de l'alcool dans le sang nous pose en coupable... alors si on veut boire, on marche ou on prend le train sinon c'est la soirée eau minérale et c'est très bien.

Par choupifresh : le 29/12/19 à 12:19:53

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Pour bosser dans la prévention chez les jeunes au niveau de la consommation tabagique, je me retrouve vite confronter à la consommation d'alcool. (co-addiction bonjour)

Alors que le tabac ça commence à rentrer dans leur crâne que c'est addictif, l'alcool pas du tout. Aucun danger n'est perçu, l'association a des contextes ça les alarme pas du tout. (deso mais quand on peut pas s'en passer dans certains contextes c'est aussi une forme d'addiction)
Ils ont énormément de mal à dire non. Ça me fait peur quand ils seront adultes.

Et même quand j'étais prof et que je parlais de santé publique à des élèves de sciences médico-sociales, l'alcool ça leur paraissait pas dangereux.....

Leur cerveau le lundi est déjà allumée pour le vendredi puisqu'ils savent qu'ils vont boire. C'est super inquiétant...

Puis l'alcool faut pas y toucher comme la corrida, c'est culturel, 'tention !

Après entre adultes je rentre dans le lard (bon les jeunes aussi ) . Mais mon entourage a bien compris que je bois pas ou très peu (2 verres ça me suffit amplement). Et ayant eu des cas d'alcoolisme dans la famille on est plutôt vigilants. Nos amis, on les choisit, ils sont pas emmerdants la dessus non plus.

Par Galuska : le 29/12/19 à 12:26:12

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"ça dépend de l'entourage et de la culture de la région... Ex-bretonne, normande en ce moment, c'est culturellement ancré"

Je suis en Normandie depuis quelques années et on ne m'a jamais autant proposé d'alcool n'importe où n'importe comment que par ici (et pourtant, je viens de Belgique). Le "Une p'tite goutte dans l'café?" à 8h du matin, ça a l'air très courant par ici

Sinon, juste pour la rigolade, j'étais dans un bar tenu par un ami il y a peu, et j'entends un lycéen se commander à boire:
- Bonjour je voudrais un Virgin Cuba Libre.
- Heu... tu veux un Coca quoi.
- Ben un Virgin Cuba Libre...
- Oui donc un Coca.
- Si vous voulez...
J'ai du me retenir d'exploser de rire

Par K.Zel : le 29/12/19 à 13:22:24

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En même temps, un Virgin Cuba Libre, c'est Coca + 1 demi citron vert

Aujourd'hi, sur FB, je suis tombé sur un article de Science et Avenir à propos du "janvier sans alcool" Lien
Les commentaires sous l'article (sur FB) sont assez édifiants : ça râle à qui mieux mieux, ça crie à la privation de liberté et j'en passe. (alors que c'est comme le mois sans tabac, tu le fais si tu veux)
Ici, je bois très peu, et pas faute d'avoir évoluer dans des milieux propices (j'ai bossé en restauration, puis avec un caviste) Si je conduis, je ne bois pas du tout. Pour le réveillon, je ne conduisais pas, on a éclusé un peu avec mon frère et mon beau-frère, mais surtout à goûter de très bonnes bouteilles en accord avec les plats. Je sais que si je n'avais pas bu ce soir là, ça aurait été pareil au niveau relationnel, j'ai la chance d'évoluer parmi des gens qui ne foutent pas la pression pour boire, faut dire aussi qu'on a perdu un paquet de gens à cause de l'alcool (au volant, de maladie,)
A noter que je ne fais pas de gradation en mode : être bourré au grands crûs avec des accords pour les plats est mieux que se pinter à la 8.6, être bourré, c'est être bourré, il y a juste l'un des deux qui fera moins mal aux cheveux.

Autour de moi, j'ai quand même l'impression qu'il y a moins de pression sur le fait de proposer à boire/pousser à boire. Je ne sais pas si c'est parce que les gens changent peu à peu. Autour de moi, il me semble que c'est de mieux en mieux accepté de ne pas boire, mais là encore, c'est ce que je vois moi, pas une généralité. Je pense même qu'il y a encore énormément de boulot sur la question, et sans que ça soit une question d'âge.
Il n'y a pas si longtemps en regard de l'Histoire, c'était hyper mal vu pour une femme de boire...et maintenant, on pousse à la conso, faudrait savoir !

Pour revenir sur la question d'âge, je sais qu'on ne m'a jamais autant poussé à boire que lors des saisons en restauration, et donc par des gens plutôt jeunes (20/25 ans) et ceci il y a 10/15 ans maintenant. Il y avait un genre de glorification à faire une "saison carnage" avec peu d'heures de sommeil, et toujours un peu d'alcool dans le sang. Je suis bien loin de connaître tous les restaus de France et de Navarre, mais c'est un truc que j'ai quand même souvent vu (et pas que de l'alcool)
Je me dis que peut-être l'alcool est pris comme facilitateur/lubrifiant social, et que c'est vachement ancré et dur à défaire. Comme ça s'applique aussi à l'hospitalité. Par exemple dans le Nord, c'est fréquent d'aller chez qqun et de te voir proposer à boire avant même d'avoir eu le temps d'enlever ton manteau.
Du coup, il y a peut-être une part de ça : tu refuses de boire donc tu rejettes mon hospitalité, ou bien, tu refuses de boire, donc tu refuses de participer au jeu social et tu rejettes mon amitié (psychologie de comptoir, j'en conviens, mais c'est de circonstances)

(Et je rejoins BW sur le fait que ça ne soit pas un problème français, même si on peut en avoir l'impression avec le côté culturel du vin. )

Par CaroDadou : le 29/12/19 à 13:30:50

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Ah punaise @galuska j'ai souvenir que t'es dans l'Orne non ? On ne doit pas être très loin (t'es dans quel coin ? ) mais clairement ici ça m'a choquée aussi en arrivant

Par swann : le 29/12/19 à 13:35:38

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Pas d'alcool
Pas de tabac
Pas trop de viande
pas trop de charcuterie
Pas de plats tout faits
Une demi heure de marche par jour
Rire au moins 3 minutes par jour
Baiser 3 fois par semaine
Pas trop de café ou thé et pas brùlant


Ça vous promet une longue vie, j'ai deux voisines de près de 90 ans qui ont dû suivre ce régime (à la campagne, le tabac et l'alcool c'était réservé au hommes. Elles faisaient la cuisine, tout fait maison et pas les deux pieds dans le même sabot, la baise faut voir, mais vu le nombre de gosses...)

En EHPAD...ben ça fait pas envie

J'aime le vin, la viande, la charcut', je me surveille mais ça me prive, du coup je me demande si ça vaut le coup...j'aime l'ivresse aussi

''Qu´il soit de Blaye ou d´Echevronne,
De Vacqueyras ou de Tursan
(De Vacqueyras ou de Tursan)
Le vin réjouit le cœur de l´homme

Et de la femme, évidemment!
(Qu´il soit de Blaye ou d´Echevronne)
(Le vin réjouit le cœur de l´homme!) ''

Par Chrysalis : le 29/12/19 à 13:44:21

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Je suis mi normande mi bordelaise , actuellement dans une région également viticole ,ayant fait de longues études dans le domaine paramedical, avec une bonne bande de potes festifs.
Donc exposition +++++

Voilà.
Jusqu'à cet été, j'ai jamais refusé un verre, par politesse/culture/ être plus a l'aise en société.
Le café goutte ? Tous les matins chez les grands parents
Le trou normand? A tous les repas de famille, dès 8 ans
L'association vin/ fromage ou viande? Des 15/16 ans
Le verre de champagne pour fêter un évènement ? J'ai été baptisée a la veuve Clicquot...

Sauf que avec le boulot et l'histoire personnelle, j'ai été confrontée a l'alcoolisme des proches et de ce que ça détruit.
Et comment ça s'installe insidieusement. D'abord le festif, la pression sociale, puis l'habitude, puis le côté palliatif de l'alcool, qui desinhibe et fait oublier les tracas quotidiens...sans compter le danger question santé et comportements.

J'ai commencé par continuer d'accepter mais faire trainer le verre et prétexter " ce n'est pas le même vin, pas de mélange - mais dépêche toi de finir !- non, je préfère apprécier, au pire je gouterai dans le verre de mon mari "

Puis c'est juste passé a " non merci "
QUOI T'ES ENCEIIIIINTE?
( Ou variante traitement médicamenteux, c'est toi qui conduis? murge récente...) Comme s'il fallait justifier de sa non consommation.

J'explique en 2 mots . Devoir gérer le delirium tremens de sa mère a plusieurs centaines de km, avoir vu l'épave de sa vie.
Souvent les gens font " ....ah ...."

Noël, j'ai bu 1/2 verre de vin pour accompagner le saumon et un autre 1/2 pour le fromage. Pour le plaisir de l'association des goûts.

Je ne souhaite pas arrêter de consommer , mais de manière très modérée. Que ce ne soit ni la pression sociale ni l'habitude qui poussent a consommer, mais juste pour le plaisir de goûter de bons produits.




Par Galuska : le 29/12/19 à 14:02:59

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CaroDadou yep je suis pas loin de Vimoutiers et de sa statue de Marie Harel qui tient son paquet de frometon^^
Je suis allée au repas du village annuel juste après mon déménagement, histoire de me présenter etc. C'était pas des trous normands qu'ils servaient... mais des PUITS normands. Une crotte de sorbet noyée dans un océan d'alcool. Les papys étaient d'humeur chantante à la fin du repas...

Je ne bois que très occasionnellement, et franchement ça m'arrive souvent de préférer le goût d'un cocktail sans alcool plutôt qu'avec... Je n'ai aucun problème à refuser un verre, en général un simple "je préfère le jus de fruits" ou toute autre excuse ça passe très bien. Je trouve que les mentalités ont pas mal évolué dans le bon sens là-dessus. Dans les années 80/90 tout le monde picolait, et tout le monde conduisait complètement torché.

Par TalikaQueen : le 29/12/19 à 14:26:07

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L'alcool est vraiment entré dans la coutume et c'est bien triste .

Je n'ai jamais bu une goutte d'alcool . Tout le monde le sait et tout le monde me fait la réflexion: " aller un fond , juste un doigt , juste un peu " blablabla.

Ca me gonfle au plus haut point. Avec les plus chiant , j'ai laissé me servir , puis j'ai prit leur verre , vider l'alcool et rempli de coca. Pourquoi eux ont le droit de "m'obliger" à boire de l'alcool et moi je ne pourrai pas les obliger à boire du sans alcool . Ça les a calmé , mais j'ai passé la soirée à vider des verres ...

Maintenant je ris encore moins avec un homme ancien alcoolique qui s'est fait soigner il y a peu et dont ses potes sont cons comme leurs pieds à ce sujet ...
Surtout que c'est des gars incapable de ne pas boire qui ont tous une nette tendance alcoolique .

Quand je vois leur irrespect envers leur pote , ça me met hors de moi donc je n'y vais plus. Et pis ils savent que je ne bois pas mais il n'y a jamais rien pour moi sauf un verre d'eau .

Ils poussent même mon homme à la bière sans alcool alors qu'on leur a expliquer que non , blablabla. L'être humain est con .

Bref vous l'aurez compris , j'ai la rage contre les chiants de l'alcool

Par Phèdre : le 29/12/19 à 14:38:22

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Je lis les réponses et ne peut répondre longuement avant ce soir, mais je me suis étouffée de rire.

chrysalis le baptême à la Veuve Cliquot , c’est mythique.

Idem pour le puits normand vous avez fait ma journée !

Oui c’est quelques personnes dans ma famille comme ça, et perso je trouve que ça fait plus « beauf » de forcer la main plutôt que d’essayer de comprendre que même sans alcool on peut être ouvert d’esprit et marrant ...

Mon copain s’est fait forcer la main alors qu’il conduisait, n’a donc pas fini son verre ...de mon côté j’ai dû y mettre de l’eau gazeuse pour qu’on arrête de le remplir

k.zel c’est sûr que les amis on les choisit...! Fort heureusement parmi mes amis quasiment personne ne force la main. Ils n’ont pas intérêt
Du coup je m’enivre si je veux, et je prends du plaisir à le faire puisque c’est un choix (quand je vais à Paris par ex, dans une ville où je suis à pied)

Par sheytana : le 29/12/19 à 14:40:04

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Et je ne comprends pas pourquoi certains y vont de leur petite plaisanterie ou vont carrément faire une remarque pour nous faire passer pour des rabats joies.---> Je pense que c'est surtout vrai pour les gens qui boivent d'habitude en fait
J'ai plein de collègues qui ne boivent pas d'alcool, ben c'est compris, encré, et personne les fait chier. Par contre, ceux qui ont l'habitude de boire, c'est vrai qu'on a beaucoup moins tendance à accepter qu'une fois, pour une raison ou une autre, ils ne veulent pas.
Clairement je suis une grosse fêtarde et je suis réputée pour picoler beaucoup, le jour où j'ai pas envie ben j'ai intérêt d'avoir un alibi en béton

Par Ulika : le 29/12/19 à 14:46:53

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et je suis réputée pour picoler beaucoup, le jour où j'ai pas envie ben j'ai intérêt d'avoir un alibi en béton

Ah bon ? Pas moi ,mais j'ai un caractère de "personne vient me chercher des poux sur la tête" ça doit jouer..

Par Fluoxetine : le 29/12/19 à 14:47:42

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En France il y a un gros problème et hypocrisie avec l'alcool : "c'est pas de l'alcool, c'est du vin" ben voyons

Par Galuska : le 29/12/19 à 15:00:18

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Pour (essayer) d'être un peu plus sérieuse... je pense que les gens qui aiment boire, ou qui ont besoin de boire, se trouvent tous les prétextes possibles. Et un des meilleurs, c'est d'être accompagnés. Boire seul c'est pas marrant, ça fait alcoolo... alors qu'à partir de 2 on est plus alcoolique mais "sociable" et "festif". D'où leur acharnement à vouloir remplir les verres de tous ceux qui se trouvent dans leur périmètre. Ils nous obligent pas à boire pour nous "décoincer" ou nous inclure, ils nous obligent à boire pour se donner une raison de se resservir aussi. C'est le typique "je te sers et je me sers aussi au passage".

Après il y a une catégorie d'êtres infâmes, qui sont heureusement moins courants: ceux qui prennent un plaisir fou à bourrer la gueule des autres. Ceux qui remplissent ton verre dès que tu tournes la tête avec des mélanges immondes façon "cercueil", t'emmerdent toute la soirée avec des "allez bois, t'as même pas touché à ton verre, regarde je t'accompagne (faux)" et qui rêvent de te voir tituber jusqu'aux toilettes pour se foutre de ta gueule à gorge déployée. Comment ça, ça sent le vécu? Ceux-là, j'ai appris à les éviter comme la peste...

Par sheytana : le 29/12/19 à 15:04:24

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ulika Lol on peut pas dire non plus que ça ne soit pas le cas pour moi je pense
Pour autant j'ai systématiquement 1 million de réflexions ça c'est clair.

Par paquerette20 : le 29/12/19 à 15:15:14

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sheytana : je suppose que les gens te demande 20 fois si t'es enceinte ?

Car moi qui aime bien tous les alcools et qui aiment bien boire, si je ne bois pas clairement on me regarde avec un air suspicieux en faisant des allers retours entre mon visage et mon ventre

Moi j'aime bien cette idée de mois sans alcool, d'ailleurs je vais le faire une fois passées les 2 soirées consécutives pour fêter la bonne année... ça me fera pas de mal de mettre mon foi au repos et puis si je veux perdre du poids en 2020, y'a pas de secret, faut pas boire ses calories ....

Par CaroDadou : le 29/12/19 à 15:28:37

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@galuska je suis à 4km de chez toi, en fait

Par sheytana : le 29/12/19 à 15:30:32

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paquerette20 Effectivement c'est une des blagues récurrentes, avec le "Haaaan t'as encore la gueule de bois d'hier c'est ça ?"

Et du coup en général je finis toujours vraiment par devoir me justifier "Je dois conduire 1h après pour rentrer chez moi et j'aimerais mieux rentrer vivante en fait"...

Par loloka06 : le 29/12/19 à 15:56:31

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Je n'ai jamais vu autant de consommation d'alcool que depuis que je suis en Bretagne.
Pas fait une seule soirée sans que ça finisse par un mec qui s'endort sur la table.
Idem pour le verre qui se remplit tout seul.
Selon la compagnie, et où je suis (a savoir si je reste dormir ou s'il faut que je prenne la voiture), je laisse faire ou non. Mais autant de temps en temps j'apprécie l'ivresse, autant je vis super mal la gueule de bois, alors forcément, je finis par m'arrêter assez rapidement et je finis ma soirée au coca ou au jus.
Mon ex n'a pas se contrôle, et je peut même pas compter le nombre de soirées où il se mettait mal, a ne plus rien se souvenir le lendemain...
Pour lui, c'est sûr, c'est la pression sociale (faire comme les copains, jamais refuser de boire, ce serait mal vu!), couplé a la jeunesse.

Mon père était alcoolique (bon il picole toujours pas mal ) , pour pouvoir sociabiliser (aka trainer au bistrot) ...

Par dejavu : le 29/12/19 à 16:22:51

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Mon père disait qu'il fallait faire la différence entre celui qui boit de l'alcool et qui est donc un alcoolique et celui qui ne boit que du vin et qui est un ivrogne ;-)

Par Maratre : le 29/12/19 à 16:26:52

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Je n'ai jamais bu de ma vie , et je trouve justement que cela a bien évolué , on ne passe plus pour la rabat joie maintenant.

Et mon mari dit souvent : "c'est elle qui conduit au retour " sauf qu'en vrai il prend le volant car il trouve qu'il conduit mieux bourré que moi pas bourrée


Message édité le 29/12/19 à 16:28

Par swann : le 29/12/19 à 16:27:17

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''Mais autant de temps en temps j'apprécie l'ivresse, autant je vis super mal la gueule de bois, alors forcément, je finis par m'arrêter assez rapidement et je finis ma soirée au coca ou au jus. ''
Idem

Mais comment vous comprenez:'' la mortalité commence au premier verre'' ...quand même si ça veut dire que qui boit un premier verre'' peut devenir dépendant, ok, alors c'est mal dit

Par kirikou : le 29/12/19 à 16:50:56

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Et mon mari dit souvent : "c'est elle qui conduit au retour " sauf qu'en vrai il prend le volant car il trouve qu'il conduit mieux bourré que moi pas bourrée
Lire ça me fait bien plus peur que rire

Mais comment vous comprenez:'' la mortalité commence au premier verre''
Pour moi ça veut dire que conduire ne serait-ce qu'avec un verre a des effets sur la conduite.
Ceci-dit, l'alcool, c'est comme d'autres drogues (certaines rendant dépendants dès la première prise) : certains arriveront à consommer "raisonnablement", d'autre seront dépendant à la première prise (c'est moins vrai avec l'alcool je trouve, mais c'est l'idée).


Par Pascale1 : le 29/12/19 à 17:22:24

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Oui, ça doit dépendre de l'entourage, car j'ai jamais entendu ce genre de réflexion et j'ai pourtant pas mal de gens qui ne boivent pas d'alcool autour de moi
Je ne bois pas ds le cadre du boulot (déjeuner, dîner, resto,...) ou alors très légèrement (soit un kir, soit un verre de vin mais pas plus), je ne bois pas plus qd je conduis, et rien du tt si je conduis de nuit, que j'ai beaucoup de route à faire ou que je suis fatiguée.

On a qd même des potes avec qui on aime picoler (raisonnablement = pas être saoule quoi!) et on a aussi la parade: on dort sur place
Là, on a 4 potes qui viennent pour le réveillon du 31, la question en pose pas, tt le monde dort à la maison, pourtant, ils habitent tous à moins de 40 km

Par dilou : le 29/12/19 à 17:28:03

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Je bois peu, je déteste la sensation d'ivresse et encore plus la gueule de bois. On n'insiste jamais pour que je boive plus et si on le faisait je n'aurais aucun scrupule à répondre "non, ça me suffit", sans chercher aucun prétexte

Par K.Zel : le 29/12/19 à 17:34:36

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phedre : ce n'est pas moi qui ai dit qu'on a les amis qu'on choisit, je pense que c'est plus compliqué que ça ou alors on vire les dépressifs qui rigolent pas, les handicapés qui peuvent pas suivre en rando, ceux qui portent des chaussettes avec leurs sandales et compagnie.

Par taraa : le 29/12/19 à 17:49:12

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J'apprécie que dans les soirées où je vais il y a de très gros buveurs mais ils prévoient toujours les softs que j'aime bien.
Ils savent que j'apprécie certains alcools à petite dose donc on me propose mais j'ai le choix sans jugement.

Par beeboylee : le 29/12/19 à 18:05:25

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Je bois du bon vin regulierement parce que je fais de la bonne bouffe
J'adore lalcool mais je fais gaffe à ce que je bois tant en qualite que quantité.
Je n ai pris qu une cuite ds ma vie,ds l euphorie dun repas magnifique à l ile maurice où le charmant tenancier de la micro gargotte où nous avions divinement mangé a sorti plein de vieux rhum qui m a ete fatal.
Si je dois conduire, si je suis fatiguee,s il fait chaud je ne bois pas ou quasi pas.

Mais bon marre d'entendre le panel de mise en garde sur lalcool,le BBQ la viande le poisson ,etc etc.
A un moment,j aimerais pouvoir respirer sans me dire que tout ce qui est bon ou festif tue.

Puis,chais pas...Autour de moi ds mon cercle d amis proches personne ne prend de cuite

Par kirikou : le 29/12/19 à 18:13:50

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Mais bon marre d'entendre le panel de mise en garde sur lalcool

Ben je dirais bien la même chose parce que pour nous, le message est passé : on sait quand il ne faut pas boire et on a plus l'alcool "dégustatif" que "cuite".

Le fait est que quand j'en parle à mes élèves, des collégiens qui répètent donc ce qu'ils entendent à la maison, la plupart a le même discours que Maratre : vaut mieux un mec bourré qui conduit bien qu'une nana qui ne sait pas conduire. Même discours avec la vitesse. Bref, discours pathétique et sexiste pour justifier le fait de ne pas avoir à se modérer quant à sa prise d'alcool. D'ailleurs quand tu leur demandes, beaucoup boivent déjà régulièrement de l'alcool, du "gentillet" (type panaché) ou pas (type "une ptite prune avec papy le dimanche" . Au lycée pro d'à côté, l'alcoolisme est un vrai pb.
Je comprends donc le fait qu'on nous ressasse toujours le même discours. Malheureusement, c'est nécessaire pour certains (beaucoup?).


Message édité le 29/12/19 à 18:20

Par Erzebeth : le 29/12/19 à 18:31:19

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Je n'ai jamais bu une goutte d'alcool . Tout le monde le sait et tout le monde me fait la réflexion: " aller un fond , juste un doigt , juste un peu " blablabla.


talikaqueen vraiment, faut peut-être voir à changer d'entourage si les gens sont aussi peu respectueux.

Après effectivement celui (ou celle) qui picole bien d'habitude, le jour où il ne le fait pas, il se fait chambrer, mais ça reste du domaine de la vanne (j'ai un pote qui a eu bien chaud à son permis récemment... depuis il est passé au thé en soirée pour boire moins de bière... bah, on l'a bien taquiné quoi, mais ça reste bon enfant, et personne n'irait l'inciter à boire par contre).

Cela dit, clairement il y a quand même une évolution des mentalités, quand je vois les comportements différents entre la génération de mes parents et la mienne. Comme dit plus haut, dans les années 80-90, ça dérangeait personne de rouler bourré, maintenant, le fait d'avoir un "Sam" est quand même assez admis.
Et contrairement à Marâtre (et là je pense donc que ça illustre cette histoire générationnelle justement), avec mon copain donc, même si c'est moi qui conduit 98% du temps, le jour où je ne suis pas en forme, je lui dis et il ne boit pas, comme ça c'est lui qui conduit.

Par TalikaQueen : le 29/12/19 à 18:50:23

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erzebeth
Tous les nuisibles que j'ai pu virer je l'ai fait .

Il ne reste que ma belle famille mais eux ça va . Je dis ça dans le sens où ils savent que je ne bois pas mais à chaque fois , ils me proposent et avant même de finir leur phrase , ils s'excusent .
Bon ils font pareil à mon homme qui est tout juste soigné de son alcoolisme et ça c'est moins cool.
Après je peux comprendre que quand on a servit pendant 18 ans de l'alcool à quelqu'un , qui du jour au lendemain arrête, c'est compliqué de ne pas garder l'habitude.

Par ninicoton : le 29/12/19 à 19:19:28

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TalikaQueen : à l'inverse, si tu sais que la personne se sèvre, tu dois être encore plus vigilant sur le fait de ne pas lui donner envie et de ne pas le faire replonger !


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Par Pascale1 : le 29/12/19 à 19:30:47

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Entièrement d'accord avec ninicoton

Par equifeel : le 29/12/19 à 19:53:47

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Je ne bois pas d’alcool et ça ne pose pas de pb. Je ne me prends pas de réflexion ni rien. Au pire, un "toujours pas"? mais pas insistant du tout. Je n'aime pas l'alcool, passé le cidre (industriel, le vrai, j'aime pas), c'est trop fort pour moi, alors que des réflexions, parfois franchement lourde dingues, je m'en prends vis à vis de ce que je mange/mange pas.

Il m'est déjà arrivé de me retrouver à avoir mon verre remplit d'office il y a déjà un bon moment : ben il est resté plein tout le repas et a finis par être récupéré à un moment donné

Le 25, j'étais en famille (le 24, tranquille toute seule). A l'apéro, il y avait plus de boissons sans alcool proposées et avec du choix (pétillant de pomme, jus de fruits X 3 sortes, mister cocktail et un autre truc) que d’alcool (crémant, cidre et blanc) et ce n'était pas du au fait que les gens conduisaient après mais bien parce qu'on boit peu. un bon blanc avec l'entrée, un bon rouge avec la viande et c'est tout.
Il y a 20 ans, dans cette même famille, les choses étaient différentes.
Je pense que les choses ont changées. Ce ne sont pas les mêmes consommations aussi.
Les shot chez les jeunes, le whisky en fin de journée, c'est quand même fréquent ( et aussi quelque part culturel : c'est pareil dans les séries tv, avec l'idée de détente associée...)

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