Ossements que faire ?
Sujet commencé par : photos69 - Il y a 499 réponses à ce sujet, dernière réponse par Uriette1 personne suit ce sujet
Par photos69 : le 16/08/15 à 11:59:42
  DéconnectéDire merci3 | Bonjour, Je vous contacte car je me pose quelques questions.. Nous avons emménagé dans une petite maison depuis 6 mois. Cette maison était à l'abandon il y a un ou deux ans et d'après les voisins, les anciens locataire étaient très "bizarre", après eux,la maison n'a plus été loue et est devenu un squat. (Elle a ete refaite a neuf par les propriétaire quelques mois avant notre arrivé, nous sommes locataires) Or depuis deux mois nous avons adopté un chien.. Et celui ci ne cesse de creuser à différents endroits et nous ramène des os assez gros.. Ils sont souvent en morceaux. Mais ils sont assez large et épais. Le plus déstabilisant c'est que les anciens locataire n'avait pas de chien (et à moins d'avoir enterré un terre neuve, les os sont trop gros pour un chien, même si je souhaite que ce soit un gros chiens la dessous !). Ce n'est pas une ancienne ferme non plus. A un des endroits où mon chien creuse sans cesse (tas de sable au milieu de l'herbe, dont je n'arrive pas à me débarrasser d'ailleurs, j'ai l'impression qu'il y a 3 tonnes de sable la dessous !) nous avons retrouver une carte de bus d'un enfant enterré. Les anciens locataires n'ayant pas d'enfant. Je me demande comment elle a pu se retrouver ici enterré au milieu de notre terrain. Je me fais peut être des films. Mais connaissant l'histoire de la maison. J'ai un peu peur ! J'ai arrêté mes travaux de jardinage et de remise en état du terrain car j'angoisse d'y trouver quelques choses de plus choquant.. Que doit on faire dans ce genre de cas ? Prévenir la gendarmerie quand même ? |
Par noirah : le 04/09/15 à 22:21:18
| Dire merci | tu as peut être raison colomba |
Par Akhal9 : le 04/09/15 à 22:21:29
| Dire merci | l'histoire c'était pour nous faire patienter... Photos69 reviendra t-elle un jour nous dire ce qui se cachait au fond de son jardin? le suspens est à son comble  pas de soucis noirah  Message édité le 04/09/15 à 22:22 |
Par dejavu : le 04/09/15 à 22:54:10
| Déconnecté Dire merci | En fait la police enquête et lit avec des yeux ronds notre histoire en se disant qu'il n'y a pas de fumée sans feu car nous donnons trop de détails véridiques |
Par Chrysalis : le 04/09/15 à 23:58:29
| Dire merci | au moins oui^^ et on archive tous les os dans l'ordre qu'on les enterre en donnant aux "personnages" pour s'en rappeler  |
Par sheytana : le 05/09/15 à 09:57:51
| Dire merci | dejavu Mais PTDR Eux aussi ont hâte d'avoir le fin mot de notre histoire  Pour le fichier word, vous avez une idée de sur quoi je pourrais le partager ? |
Par sheytana : le 05/09/15 à 10:52:59
| Dire merci | Par contre noirah j'ai pas compris le "planton" ?? Justine repris le bus avec son air de dame BCBG très convenable et se redit au poste de police, car un certain séduisant agent Cubitus lui avait laissé un sms des plus attrayant ! bien entendu, avant d'arriver au poste, elle se changea dans un fourré avec les habits prévus à cet effet dans le sac de sport ! et ce fut dans une tenue d'aqua poney noire et orange qu'elle se rendit faire sensation au poste de police. Radius était planton et avec un grand sourie il la fit entrer. hum hum se dit Justine il se pourrait que j'ai ferrer 2 poulets au lieu d'un seul, ... Cubitus fit alors son entrée ... "Ah bonjour Justine, merci de nous faire l'honneur de votre présence !" Il ne loupa pas le regard déshabillant que Radius lançait à Justine, et senti naître un peu de rivalité masculine : "Oh merci Radius d'avoir accueillit notre invitée, vous pouvez disposer maintenant je m'occupe d'elle. - Depuis quand tu sais t'occuper d'une femme toi ?" Hélas, l'inspecteur Talin interrompit cette petite guéguerre, avec une urgence : "Cubitus, Radius, j'ai besoin de vous tout de suite. Vous êtes les seuls en qui j'ai une confiance aveugle, et nous avons une affaire urgente !" Contrarié dans son plan drague, Cubitus prit tout de même Justine à part très rapidement : "J'aimerais beaucoup vous revoir... De façon plus... Informelle... - Oh Mr l'agent, nous pourrions peut-être nous retrouver autour d'un bon dîner un de ces soirs ? - Ce serait fantastique, Justine ! Je vous laisse le choix dans la date !" Appo et Guillemette s'étaient rendues au domicile de Justine, en espérant qu'elle n'y serait pas cette fois. En effet, la veille Guillemette avait été prise en flagrant délit de fouinage par Justine et Albert. Cette fois-ci, elle se devait d'être plus discrète. Elle ne souhaitait pas qu'on lui colle en prime une réputation de cleptomane ou de voyeuse. |
Par Uriette : le 05/09/15 à 11:43:26
| Déconnecté Dire merci | "Ah bonjour Justine, merci de nous faire l'honneur de votre présence !" Il ne loupa pas le regard déshabillant que Radius lançait à Justine, et senti naître un peu de rivalité masculine : "Oh merci Radius d'avoir accueillit notre invitée, vous pouvez disposer maintenant je m'occupe d'elle. - Depuis quand tu sais t'occuper d'une femme toi ?" Hélas, l'inspecteur Talin interrompit cette petite guéguerre, avec une urgence : "Cubitus, Radius, j'ai besoin de vous tout de suite. Vous êtes les seuls en qui j'ai une confiance aveugle, et nous avons une affaire urgente !" Contrarié dans son plan drague, Cubitus prit tout de même Justine à part très rapidement : "J'aimerais beaucoup vous revoir... De façon plus... Informelle... - Oh Mr l'agent, nous pourrions peut-être nous retrouver autour d'un bon dîner un de ces soirs ? - Ce serait fantastique, Justine ! Je vous laisse le choix dans la date !" Appo et Guillemette s'étaient rendues au domicile de Justine, en espérant qu'elle n'y serait pas cette fois. En effet, la veille Guillemette avait été prise en flagrant délit de fouinage par Justine et Albert. Cette fois-ci, elle se devait d'être plus discrète. Elle ne souhaitait pas qu'on lui colle en prime une réputation de cleptomane ou de voyeuse. Elles furetèrent le gîte que Justine habitait, puis, curieuses entreprirent une fouille méticuleuse. Il y avait toute une collection de chapelets, de crucifix, et d'images de la vierge dans le placard de l'entrée. Justine habitée par Satan était-elle folle de messe ? Appo et Guillemette se concertèrent, il était peut-être plus judicieux de commencer par l'arrière boutique ? Le cellier derrière la cuisine abritait un énorme congélateur, Guillemette et Appo se regardèrent d'un air effrayé. La Marquise et son amie allaient-elles découvrir le corps inanimé de l'amant. Doucement elles soulevèrent le couvercle redoutant ce qu'elles allaient y découvrir, un bras, une jambes ? Mais non, seulement un hachis parmentier, des tripes aux papillotes, de la tourte aux cailles et bien sûr le boudin qui faisait la réputation de Justine. A l'arrière une collection de bouteilles de vin, la marquise les prit une à une pour en regarder les millésime : - Aimer le blanc c'est une histoire de goût ! Ca ne nous avance pas vraiment dans nos recherches. Elles passèrent dans la pièce voisine, la chambre à coucher de Justine. Il y avait sur un fauteuil le poncho de Justine, elle avait passé beaucoup de temps à le tricoter, Appo l'avait entendue s'en vanter à la paroisse. Sur le lit défait, elles virent des cheveux roux. - Je parie que ce sont ceux d'Albert le maire ! s'exclama la marquise. Ah, elle n'a pas mis beaucoup de temps à remplacer son mari la fidèle Justine ! Grinça-t-elle des dents. Elle ouvrit la boite à bijoux qui se trouvait sur la table de nuit. Non pas qu'elle pensait y trouver des indices, mais par curiosité mal saine. - Tiens, une alliance... Elle regarda l'inscription à l'intérieur Brandon et Justine, l'alliance était beaucoup trop grande pour être celle de Justine, et puis il y avait des petites gouttes rouges. L'alliance n'aurait pas été en or, elle aurait pris cela pour de la rouille, mais là il n'y avait pas de doutes, c'était l'alliance et le sang de Brandon. Elle reposa la boite et l'alliance dans un reflexe de rejet. Mon dieu, que fallait-il faire ? Message édité le 05/09/15 à 12:07 Message édité le 05/09/15 à 12:17 Message édité le 05/09/15 à 12:29 Edit pour une question de forme. Message édité le 05/09/15 à 12:29 Message édité le 05/09/15 à 12:30 |
Par sheytana : le 05/09/15 à 12:16:13
| Dire merci | Aimer le blanc c'est une histoire de goût ! Ahahahahha excellente celle-ci |
Par sheytana : le 05/09/15 à 12:29:49
| Dire merci | Elles furetèrent le gîte que Justine habitait, puis, curieuses entreprirent une fouille méticuleuse. Il y avait toute une collection de chapelets, de crucifix, et d'images de la vierge dans le placard de l'entrée. Justine habitée par Satan était-elle folle de messe ? Appo et Guillemette se concertèrent, il était peut-être plus judicieux de commencer par l'arrière boutique ? Le cellier derrière la cuisine abritait un énorme congélateur, Guillemette et Appo se regardèrent d'un air effrayer. La Marquise et son amie allaient-elles découvrir le corps inanimé de l'amant. Doucement elles soulevèrent le couvercle redoutant ce qu'elles allaient y découvrir, un bras, une jambes ? Mais non, seulement du hachis parmentier, des tripes aux papillotes, de la tourte aux cailles et bien sûr le boudin qui faisait la réputation de Justine. A l'arrière une collection de bouteilles de vin, la marquise les prit une à une pour en regarder les millésime : - Aimer le blanc c'est une histoire de goût ! Ca ne nous avance pas vraiment dans nos recherches. Elles passèrent dans la pièce voisine, la chambre à coucher de Justine. Il y avait sur un fauteuil le poncho que Justine avait mis beaucoup de temps à tricoter, Appo l'avait entendue s'en vanter à la paroisse. Sur le lit défait, elles virent des cheveux roux. - Je parie que ce sont ceux d'Albert le maire ! s'exclama la marquise. Ah, elle n'a pas mis beaucoup de temps à remplacer son mari la fidèle Justine ! Grinça-t-elle des dents. Elle ouvrit la boite à bijoux qui se trouvait sur la table de nuit. Non pas qu'elle pensait y trouver des indices, mais par curiosité mal saine. - Tiens, une alliance... Elle regarda l'inscription à l'intérieur Brandon et Justine, l'alliance était beaucoup trop grande pour être celle de Justine, et puis il y avait des petites gouttes rouges. L'alliance n'aurait pas été en or, elle aurait pris cela pour de la rouille, mais là il n'y avait pas de doutes, c'était l'alliance et le sang de Brandon. Elle reposa la boite et l'alliance dans un reflexe de rejet. Mon dieu, que fallait-il faire ? Elles furent interrompues par un bruit de clef. Mince, ça ne pouvait pas être déjà Justine ? Elles se précipitèrent dans la cuisine, évitant soigneusement le salon, et se faufilèrent discrètement par la porte de derrière, pendant que Justine posait ses clefs dans le hall et enlevait ses chaussures en chantonnant en yaourt : "I'm a barbie geurle, ineuh barbie weeeeeuuuuuurlldeeeeeee ! La vie plastique, it'seuh fantastiqueeeeuuuuuhhh". Guillemette et Appo coururent rapidement en direction du petit bois avoisinant, histoire de se camoufler dans la végétation, mais Appo trébuchât sur un monticule de terre. Guillemette l'aida à se relever, lorsque la terre qui semblait franchement retournée à cet endroit l’intriguât. Pourquoi un si gros trou au milieu de nulle part ? C'était comme si Justine avait voulu planter un Baobab, puis c'était ravisée... L'herbe n'avait pas encore repoussée par dessus, ce devait être récent ! |
Par noirah : le 05/09/15 à 13:21:23
| Dire merci | le planton c'est l'agent de la gendarmerie qui accueille les "visiteurs" |
Par sheytana : le 05/09/15 à 13:22:03
| Dire merci | Aaah ok |
Par Uriette : le 05/09/15 à 15:34:14
| Déconnecté Dire merci | Elles furent interrompues par un bruit de clef. Mince, ça ne pouvait pas être déjà Justine ? Elles se précipitèrent dans la cuisine, évitant soigneusement le salon, et se faufilèrent discrètement par la porte de derrière, pendant que Justine posait ses clefs dans le hall et enlevait ses chaussures en chantonnant en yaourt : "I'm a barbie geurle, ineuh barbie weeeeeuuuuuurlldeeeeeee ! La vie plastique, it'seuh fantastiqueeeeuuuuuhhh". Guillemette et Appo coururent rapidement en direction du petit bois avoisinant, histoire de se camoufler dans la végétation, mais Appo trébuchât sur un monticule de terre. Guillemette l'aida à se relever, lorsque la terre qui semblait franchement retournée à cet endroit l’intriguât. Pourquoi un si gros trou au milieu de nulle part ? C'était comme si Justine avait voulu planter un Baobab, puis c'était ravisée... L'herbe n'avait pas encore repoussée par dessus, ce devait être récent ! - Tiens, on dirait qu'un chat est venu récemment ici dit-elle. Elle se saisit d'une branche morte pour commencer à gratter la terre et en tira le bracelet au nom de la Marquise. - Avoue Guillemette que la présence de ton bracelet ici est troublante. - Le chat l'aurait amené ici. - Le chat, tu en as de bonnes, toi ce sont les chiens qui font ça et il n'y a pas de chien dans cette histoire ! - Appo, tu ne vas pas croire que... blêmit la marquise. - Chut... quelqu'un arrive souffla Appo. En effet l'agent Cubitus se rendait chez Justine à travers le bois. Il avait certainement des intentions douteuses... Il toqua à la fenêtre : - Justine c'est moi, cubitus... - Oui je vous ai entendu souffler dans le bois. Justine frêmit Cubitus aurait pu trouver la tombe et tout révéler au grand jour, mieux valait le laisser entrer pour voir et au pire le faire disparaitre après tout elle n'était pas à un boudin près et la fête paroissiale aurait bientôt lieu. Cubitus se mit à parler, parler, parler, on ne l'arrêtait plus, il avait réserver sa verve à cette femme joyeuse. Justine aurait préférer le faire cesser le temps d'une minute, mais elle n'en eut pas l'occasion, car le téléphone de l'agent sonna : - excusez-moi c'est Chris Talin qui m'appelle dans le cadre de l'enquête de la girouette, je venais juste passer vous faire un petit coucou et admirer votre tenue d'aqua poney. |
Par noirah : le 05/09/15 à 21:30:30
| Dire merci | - Tiens, on dirait qu'un chat est venu récemment ici dit-elle. Elle se saisit d'une branche morte pour commencer à gratter la terre et en tira le bracelet au nom de la Marquise. - Avoue Guillemette que la présence de ton bracelet ici est troublante. - Le chat l'aurait amené ici. - Le chat, tu en as de bonnes, toi ce sont les chiens qui font ça et il n'y a pas de chien dans cette histoire ! - Appo, tu ne vas pas croire que... blêmit la marquise. - Chut... quelqu'un arrive souffla Appo. En effet l'agent Cubitus se rendait chez Justine à travers le bois. Il avait certainement des intentions douteuses... Il toqua à la fenêtre : - Justine c'est moi, cubitus... - Oui je vous ai entendu souffler dans le bois. Justine frêmit Cubitus aurait pu trouver la tombe et tout révéler au grand jour, mieux valait le laisser entrer pour voir et au pire le faire disparaitre après tout elle n'était pas à un boudin près et la fête paroissiale aurait bientôt lieu. Cubitus se mit à parler, parler, parler, on ne l'arrêtait plus, il avait réserver sa verve à cette femme joyeuse. Justine aurait préférer le faire cesser le temps d'une minute, mais elle n'en eut pas l'occasion, car le téléphone de l'agent sonna : - excusez-moi c'est Chris Talin qui m'appelle dans le cadre de l'enquête de la girouette, je venais juste passer vous faire un petit coucou et admirer votre tenue d'aqua poney. Lorsque Cubitus sorti de chez Justine, il croisa la marquise et Appo qui discutait ferme de la prochaine réunion tupperware. Cubitus se dit que décidément, les femmes de ce quartier étaient des vraies passionnées de cuisine, lui qui était si friand des deux, il s'en voyait ravi ... Guillemette avait harcelé Appo afin que cette dernière ne se rue pas sur Cubitus en voulant tout lui raconter. réfléchie lui avait-t-elle dit, il va nous demander pourquoi nous sommes au courant pour l'alliance, et nous sommes rentrées par effraction, de plus, je ne m'explique pas ce bracelet, je l'ai effectivement perdu récemment et je ne voudrais pas payer pour quelque chose que je n'ai pas commis. Appo avait acquiescé en trouvant que la marquise qui était passionnée de Navarro et était vraiment de bons conseils. elle même aurait du y regardé plus souvent mais elle préférait secrètement Louis la Brocante ... c'est ainsi que d'un commun accord elles avaient pris un air dégagé et une conversation de ménagère pour croiser Cubitus. il n'y avait vu que du feu, les deux enquêtrices en herbe étaient ravies. Chemin faisant, elles voulurent faire un crochet à l'Eglise afin de pouvoir se repentir de cette intrusion chez Justine. Message édité le 05/09/15 à 21:31 |
Par Kat... : le 05/09/15 à 21:47:29
| Dire merci | il avait réserver sa verve à cette femme joyeuse C'est enorme! Je kiffe |
Par cyberds : le 05/09/15 à 23:00:36
| Dire merci | -le choix dans la date ! -Elles furetèrent le gîte que Justine habitait ( celle là ... ) je connaissais "elles habitaient des gites ignobles" , belle adaptation ! - curieuses entreprirent une fouille -folle de messe -tourte aux cailles je n'ai pas le temps de tout lire, je finirais demain mais vous faites fort, très fort !! |
Par cyberds : le 05/09/15 à 23:01:56
| Dire merci | aaaaaaaaaaaaaahhh "le poncho de Justine, elle avait passé beaucoup de temps à le tricoter, " "Aimer le blanc c'est une histoire de goût " Message édité le 05/09/15 à 23:03 |
Par Uriette : le 05/09/15 à 23:31:17
| Déconnecté Dire merci | Bravo cyberds ! Allez je t'aide pour demain, il y en a 3 qui restent à trouver... Et je m'escuse pour mes nombreuses fautes j'irai expier mes fautes en faisant des devoirs conjugaux. Message édité le 05/09/15 à 23:51 |
Par kefiretlome : le 06/09/15 à 00:50:54
| Dire merci | Oui, c'est vrai qu'il y a un paquet de fautes quand même Et d'un peu toutes les contributrices.... Faudra corriger sur le fichier final (si tant est qu'il y ait une fin...)  |
Par cyberds : le 06/09/15 à 08:24:07
| Dire merci | Tripes aux papillotes que j'avais loupé évidemment La verve joyeuse Et je cherche pour souffler dans le bois mais rien ne vient... ( et je n'ai pas lu " il court il court le furet " pourtant y'avait moyen ! |
Par Uriette : le 06/09/15 à 08:59:13
| Déconnecté Dire merci | Comme Kat avait déjà trouvé "la verve à la femme joyeuse" je l'avais déjà intégré dans le décompte mais la citation exacte est : il avait réserver sa verve à cette femme joyeuse. Justine aurait préféré le faire cesser le temps d'une minute, Il en reste deux donc ! Dont une qui n'est vraiment pas facile, et qu'une autre contributrice a faite certainement sans le vouloir bien avant. Message édité le 06/09/15 à 08:59 |
Par Uriette : le 06/09/15 à 10:06:31
| Déconnecté Dire merci | Lorsque Cubitus sorti de chez Justine, il croisa la marquise et Appo qui discutait ferme de la prochaine réunion tupperware. Cubitus se dit que décidément, les femmes de ce quartier étaient des vraies passionnées de cuisine, lui qui était si friand des deux, il s'en voyait ravi ... Guillemette avait harcelé Appo afin que cette dernière ne se rue pas sur Cubitus en voulant tout lui raconter. réfléchie lui avait-t-elle dit, il va nous demander pourquoi nous sommes au courant pour l'alliance, et nous sommes rentrées par effraction, de plus, je ne m'explique pas ce bracelet, je l'ai effectivement perdu récemment et je ne voudrais pas payer pour quelque chose que je n'ai pas commis. Appo avait acquiescé en trouvant que la marquise qui était passionnée de Navarro et était vraiment de bons conseils. elle même aurait du y regardé plus souvent mais elle préférait secrètement Louis la Brocante ... c'est ainsi que d'un commun accord elles avaient pris un air dégagé et une conversation de ménagère pour croiser Cubitus. il n'y avait vu que du feu, les deux enquêtrices en herbe étaient ravies. Chemin faisant, elles voulurent faire un crochet à l'Eglise afin de pouvoir se repentir de cette intrusion chez Justine. Enfin Appo, parce que la Marquise ferait semblant, elle en avait presque mauvaise conscience. Chemin faisant, elles passèrent devant l'hôtel-restaurant "l'exotique, mangez épicé" très réputé pour la qualité de ses urinoirs. Par la devanture elles virent que l'écran télé passait en boucle les informations locales. Ca fit tilt chez la Marquise : peut-être que les journalistes auraient des nouveaux éléments à leur fournir. Elles entrèrent dans le restaurant. Elles commandèrent, Appo une suze et la Marquise un demi de bière. Aux informations, on annonçait en vrac : la réunion annuelle des corbeaux anonymes pour délateurs féconds, des bains de soleil qu'il fallait prendre de nuit pour éviter le risque de cancer, et des bain de minuit qu'il fallait prendre de jour pour éviter la noyade. Puis il y eut un long reportage sur le Docteur Alain Colo, qu'on appelait trivialement Al, qui avait trouvé le germe-spore et cherchait dans les régions un vaccin pour s'en défaire. Le reportage fut long et sans aucun intérêt. - Trente minutes et toujours aucune allusion à ce qui se passe dans notre village ! déplora Appo à haute voix. - Pourquoi ? Jean Timépafutey n'a pas encore tout raconté à votre amie la Marquise ? Intervint Talin qui louait à l'hôtel sa chambres au mois. L'inspecteur se détendait accoudé au comptoir sirotant un café dans lequel il avait mis du whisky pour cacher son alcoolisme. Il prit une mine renfrognée qui éveilla la curiosité de la marquise : - Vous avez tant l'air boudeur à rester dans votre coin, y aurait-il quelque chose que vous nous cachez sciemment ? Talin replia son journal de presse spécialisé dans le foot, marqua un temps d'arrêt, puis prit la chose en riant. - Aha, ha, Marquise nous y voilà ! Votre obsession malsaine pour ce fait divers me parait bien suspecte ! Il attendit pour observer les réactions de ses interlocutrices. Appo semblait pâlir, comme prise sur le fait, mais la Marquise ne réagit pas : - Et qu'est-ce qui vous fait dire ça ? dit-elle d'un calme olympien. Message édité le 06/09/15 à 10:17 |
Par Kat... : le 06/09/15 à 10:36:11
| Dire merci | J'ai que les faciles, mon cerveau manque d'entraînement (ou de finesse!) pour tous les voir, pourtant, il y a des tournures de phrases qui laissent à penser qu'elles recèlent une subtilité mais j'ai beau les tourner et les retourner je ne les vois pas . J'étais pas spécialement contrepétrie... et étant dyslexique, c'est un sacré exercice déjà de mettre les lettres dans le bon ordre que ça en est un vrai casse-tête de devoir ensuite les inverser volontairement ! Je m'arrache les cheveux Là, j'en ai 2, mais je suis sure qu'il y en a d'autres... - La chambre au mois, - Germe-spore Je ne vois que les "évidences" |
Par sheytana : le 06/09/15 à 11:17:20
| Dire merci | kefiretlome Je corrige déjà les fautes et les ponctuations sur le fichier final. Faudra faire une relecture, mais sur mon fichier ça ressemble déjà à une vraie "nouvelle" |
Par Uriette : le 06/09/15 à 12:25:43
| Déconnecté Dire merci1 | Kat je te rassure je ne les trouverais pas non plus je pense, en tous cas pas toutes. Je spoile pour ceux qui voudraient chercher : Spoiler
Enfin Appo, parce que la Marquise ferait semblant, elle en avait presque mauvaise conscience. Chemin faisant, elles passèrent devant l'hôtel-restaurant "l'exotique, mangez épicé (et pissez)" très réputé pour la qualité de ses urinoirs. Par la devanture elles virent que l'écran télé passait en boucle les informations locales. Ca fit tilt chez la Marquise : peut-être que les journalistes auraient des nouveaux éléments à leur fournir. Elles entrèrent dans le restaurant.
Elles commandèrent, Appo une suze et la Marquise un demi de bière. Aux informations, on annonçait en vrac : la réunion annuelle des corbeaux anonymes pour délateurs féconds, des bains de soleil qu'il fallait prendre de nuit pour éviter le risque de cancer, et des bain de minuit qu'il fallait prendre de jour pour éviter la noyade. Puis il y eut un long reportage sur le Docteur Alain Colo, qu'on appelait trivialement Al, qui avait trouvé le germe-spore et cherchait dans les régions un vaccin pour s'en défaire. Le reportage fut long et sans aucun intérêt. - Trente minutes et toujours aucune allusion à ce qui se passe dans notre village ! déplora Appo à haute voix. - Pourquoi ? Jean Timépafutey n'a pas encore tout raconté à votre amie la Marquise ? Intervint Talin qui louait à l'hôtel sa chambres au mois. L'inspecteur se détendait accoudé au comptoir sirotant un café dans lequel il avait mis du whisky pour cacher son alcoolisme. Il prit une mine renfrognée qui éveilla la curiosité de la marquise : - Vous avez tant l'air boudeur à rester dans votre coin, y aurait-il quelque chose que vous nous cachez sciemment ? Talin replia son journal de presse spécialisé dans le foot, marqua un temps d'arrêt, puis prit la chose en riant. - Aha, ha, Marquise nous y voilà ! Votre obsession malsaine pour ce fait divers me parait bien suspecte ! Il attendit pour observer les réactions de ses interlocutrices. Appo semblait pâlir, comme prise sur le fait, mais la Marquise ne réagit pas : - Et qu'est-ce qui vous fait dire ça ? dit-elle d'un calme olympien. |
Par Kat... : le 06/09/15 à 12:32:24
| Dire merci | J'ai ouvert le spoiler, et toutes les "tournures" qu'on sent posées là dans un but bien précis quitte à noyer un peu l'histoire cachaient bien un mystère! Mais mon cerveau n'avait pas réussi à les remettre dans l'ordre . Bon, je n'ai pas été persévérante j'avoue |
Par kazoar : le 06/09/15 à 17:04:14
| Dire merci | Merci pour le spoiler, j'en avais loupé pas mal (dur de se concentrer avec un bébé dans les bras ! ) |
Par sheytana : le 08/09/15 à 08:15:59
| Dire merci | Enfin Appo, parce que la Marquise ferait semblant, elle en avait presque mauvaise conscience. Chemin faisant, elles passèrent devant l'hôtel-restaurant "l'exotique, mangez épicé" très réputé pour la qualité de ses urinoirs. Par la devanture elles virent que l'écran télé passait en boucle les informations locales. Ca fit tilt chez la Marquise : peut-être que les journalistes auraient des nouveaux éléments à leur fournir. Elles entrèrent dans le restaurant. Elles commandèrent, Appo une suze et la Marquise un demi de bière. Aux informations, on annonçait en vrac : la réunion annuelle des corbeaux anonymes pour délateurs féconds, des bains de soleil qu'il fallait prendre de nuit pour éviter le risque de cancer, et des bain de minuit qu'il fallait prendre de jour pour éviter la noyade. Puis il y eut un long reportage sur le Docteur Alain Colo, qu'on appelait trivialement Al, qui avait trouvé le germe-spore et cherchait dans les régions un vaccin pour s'en défaire. Le reportage fut long et sans aucun intérêt. - Trente minutes et toujours aucune allusion à ce qui se passe dans notre village ! déplora Appo à haute voix. - Pourquoi ? Jean Timépafutey n'a pas encore tout raconté à votre amie la Marquise ? Intervint Talin qui louait à l'hôtel sa chambres au mois. L'inspecteur se détendait accoudé au comptoir sirotant un café dans lequel il avait mis du whisky pour cacher son alcoolisme. Il prit une mine renfrognée qui éveilla la curiosité de la marquise : - Vous avez tant l'air boudeur à rester dans votre coin, y aurait-il quelque chose que vous nous cachez sciemment ? Talin replia son journal de presse spécialisé dans le foot, marqua un temps d'arrêt, puis prit la chose en riant. - Aha, ha, Marquise nous y voilà ! Votre obsession malsaine pour ce fait divers me parait bien suspecte ! Il attendit pour observer les réactions de ses interlocutrices. Appo semblait pâlir, comme prise sur le fait, mais la Marquise ne réagit pas : - Et qu'est-ce qui vous fait dire ça ? dit-elle d'un calme olympien. - Oh je ne sais pas, feignit Talin, le fait que Van Houten soit vôtre cousin germain, par exemple ? Le calme de Guillemette avait laissé place à une franche surprise, mêlée à de la terreur. Elle reprit néanmoins : "Mais quel est le rapport entre mon cousin et ce qui se passe actuellement dans notre village ? Il ne peut pas y avoir de lien entre lui et Brandon, c'est pas possible ? C'est forcément Justine !!! - Et qu'est-ce qui vous en rend si certaine ?" La Marquise réalisa alors qu'elle en avait trop dit. Talin quant-à-lui était plutôt déconfit de ce qu'il venait d'apprendre. La Marquise semblait réellement déconcertée par cette nouvelle, et au vue de sa réaction, ne semblait pas au courant du retour de son cousin. Il se demanda alors s'il n'avait pas fait une gaffe de mettre cela sur le tapis. Guillemette tenta de changer de sujet. "Je n'ai plus vu mon cousin depuis l'affaire Rufus..., dit-elle. Désolée mais nous devons-y aller maintenant." L'affaire Rufus nous ramenait bien 10 ans auparavant. La Marquise était alors encore une adolescente boutonneuse, fan de hard-rock. C'était à peu près à cette période qu'elle s'était faite tatouer "Feuk the weulrd" sur la fesse gauche. Ce n'est que plus tard, quand elle apprit l'anglais, qu'elle comprit son erreur de jeunesse. Rufus était un jeune du village, un peu particulier : il était trisomique. Après des années de moqueries envers lui, on avait retrouvé ses restes sans vie et calcinés, et la police avait conclut qu'il avait été brûlé vif. Le principal suspect pour cet acte de cruauté sans nom avait longtemps été le cousin de Guillemette, sans qu'ils puissent malheureusement prouver quoique ce soit. Talin était à l'époque chargé de l'enquête. C'est d'ailleurs depuis ce moment qu'il a doucement sombré dans l’alcoolisme. Il était convaincu de la culpabilité de Van Houten, mais n'a pourtant jamais réussi à la démontrer. |
Par Kat... : le 08/09/15 à 11:39:59
| Dire merci | Talin replia son journal de presse spécialisé dans le foot, marqua un temps d'arrêt, puis prit la chose en riant. - Aha, ha, Marquise nous y voilà ! Votre obsession malsaine pour ce fait divers me parait bien suspecte ! Il attendit pour observer les réactions de ses interlocutrices. Appo semblait pâlir, comme prise sur le fait, mais la Marquise ne réagit pas : - Et qu'est-ce qui vous fait dire ça ? dit-elle d'un calme olympien. - Oh je ne sais pas, feignit Talin, le fait que Van Houten soit vôtre cousin germain, par exemple ? Le calme de Guillemette avait laissé place à une franche surprise, mêlée à de la terreur. Elle reprit néanmoins : "Mais quel est le rapport entre mon cousin et ce qui se passe actuellement dans notre village ? Il ne peut pas y avoir de lien entre lui et Brandon, c'est pas possible ? C'est forcément Justine !!! - Et qu'est-ce qui vous en rend si certaine ?" La Marquise réalisa alors qu'elle en avait trop dit. Talin quant-à-lui était plutôt déconfit de ce qu'il venait d'apprendre. La Marquise semblait réellement déconcertée par cette nouvelle, et au vue de sa réaction, ne semblait pas au courant du retour de son cousin. Il se demanda alors s'il n'avait pas fait une gaffe de mettre cela sur le tapis. Guillemette tenta de changer de sujet. "Je n'ai plus vu mon cousin depuis l'affaire Rufus..., dit-elle. Désolée mais nous devons-y aller maintenant." L'affaire Rufus nous ramenait bien 10 ans auparavant. La Marquise était alors encore une adolescente boutonneuse, fan de hard-rock. C'était à peu près à cette période qu'elle s'était faite tatouer "Feuk the weulrd" sur la fesse gauche. Ce n'est que plus tard, quand elle apprit l'anglais, qu'elle comprit son erreur de jeunesse. Rufus était un jeune du village, un peu particulier : il était trisomique. Après des années de moqueries envers lui, on avait retrouvé ses restes sans vie et calcinés, et la police avait conclut qu'il avait été brûlé vif. Le principal suspect pour cet acte de cruauté sans nom avait longtemps été le cousin de Guillemette, sans qu'ils puissent malheureusement prouver quoique ce soit. Talin était à l'époque chargé de l'enquête. C'est d'ailleurs depuis ce moment qu'il a doucement sombré dans l’alcoolisme. Il était convaincu de la culpabilité de Van Houten, mais n'a pourtant jamais réussi à la démontrer. L'affaire s'était soldée par un non lieu, le juge ayant conclu à un suicide par immolation, forcément suivi par l'ensemble du village qui "l'avaient tous trouvé toujours suspect avec son handicap", et les rumeurs sur Van Houten avaient alors laissées place au silence et au contentement d'une affaire enfin résolue et rassurante, puisque le coupable de cet attroce drame s'était lui même donné la mort et ne risquait donc plus d'effrayer les jeunes du quartier. |
Par kazoar : le 08/09/15 à 13:03:23
| Dire merci | Talin replia son journal de presse spécialisé dans le foot, marqua un temps d'arrêt, puis prit la chose en riant. - Aha, ha, Marquise nous y voilà ! Votre obsession malsaine pour ce fait divers me parait bien suspecte ! Il attendit pour observer les réactions de ses interlocutrices. Appo semblait pâlir, comme prise sur le fait, mais la Marquise ne réagit pas : - Et qu'est-ce qui vous fait dire ça ? dit-elle d'un calme olympien. - Oh je ne sais pas, feignit Talin, le fait que Van Houten soit vôtre cousin germain, par exemple ? Le calme de Guillemette avait laissé place à une franche surprise, mêlée à de la terreur. Elle reprit néanmoins : "Mais quel est le rapport entre mon cousin et ce qui se passe actuellement dans notre village ? Il ne peut pas y avoir de lien entre lui et Brandon, c'est pas possible ? C'est forcément Justine !!! - Et qu'est-ce qui vous en rend si certaine ?" La Marquise réalisa alors qu'elle en avait trop dit. Talin quant-à-lui était plutôt déconfit de ce qu'il venait d'apprendre. La Marquise semblait réellement déconcertée par cette nouvelle, et au vue de sa réaction, ne semblait pas au courant du retour de son cousin. Il se demanda alors s'il n'avait pas fait une gaffe de mettre cela sur le tapis. Guillemette tenta de changer de sujet. "Je n'ai plus vu mon cousin depuis l'affaire Rufus..., dit-elle. Désolée mais nous devons-y aller maintenant." L'affaire Rufus nous ramenait bien 10 ans auparavant. La Marquise était alors encore une adolescente boutonneuse, fan de hard-rock. C'était à peu près à cette période qu'elle s'était faite tatouer "Feuk the weulrd" sur la fesse gauche. Ce n'est que plus tard, quand elle apprit l'anglais, qu'elle comprit son erreur de jeunesse. Rufus était un jeune du village, un peu particulier : il était trisomique. Après des années de moqueries envers lui, on avait retrouvé ses restes sans vie et calcinés, et la police avait conclut qu'il avait été brûlé vif. Le principal suspect pour cet acte de cruauté sans nom avait longtemps été le cousin de Guillemette, sans qu'ils puissent malheureusement prouver quoique ce soit. Talin était à l'époque chargé de l'enquête. C'est d'ailleurs depuis ce moment qu'il a doucement sombré dans l’alcoolisme. Il était convaincu de la culpabilité de Van Houten, mais n'a pourtant jamais réussi à la démontrer. L'affaire s'était soldée par un non lieu, le juge ayant conclu à un suicide par immolation, forcément suivi par l'ensemble du village qui "l'avaient tous trouvé toujours suspect avec son handicap", et les rumeurs sur Van Houten avaient alors laissées place au silence et au contentement d'une affaire enfin résolue et rassurante, puisque le coupable de cet attroce drame s'était lui même donné la mort et ne risquait donc plus d'effrayer les jeunes du quartier. Peu de temps après, prétextant une rentrée d'argent inopinée, Van Houten avait mis les voiles pour le continent sud américain. "Il n'y a pas de cacao à Cuba ! je vais tenter de faire fortune dans un pays émergent" avait-il expliqué à qui voulait l'entendre. Et Talin, qui ne voulait pas l'entendre, était resté dans ce village à siroter sa bière en regardant l'ombre du clocher s'allonger dans le crépuscule, jusqu'à disparaitre complètement. |
Par sheytana : le 08/09/15 à 13:23:58
| Dire merci | L'affaire s'était soldée par un non lieu, le juge ayant conclu à un suicide par immolation, forcément suivi par l'ensemble du village qui "l'avaient tous trouvé toujours suspect avec son handicap", et les rumeurs sur Van Houten avaient alors laissées place au silence et au contentement d'une affaire enfin résolue et rassurante, puisque le coupable de cet attroce drame s'était lui même donné la mort et ne risquait donc plus d'effrayer les jeunes du quartier. Peu de temps après, prétextant une rentrée d'argent inopinée, Van Houten avait mis les voiles pour le continent sud américain. "Il n'y a pas de cacao à Cuba ! je vais tenter de faire fortune dans un pays émergent" avait-il expliqué à qui voulait l'entendre. Et Talin, qui ne voulait pas l'entendre, était resté dans ce village à siroter sa bière en regardant l'ombre du clocher s'allonger dans le crépuscule, jusqu'à disparaitre complètement. Les deux filles étaient parties précipitamment du restaurant. La Marquise était perdue dans ses pensées. Appo l'en tira : "C'est quoi cette histoire avec ton cousin Guillemette ? Tu ne m'en avais jamais parlé ! -... C'est une histoire sordide. Mon cousin était soupçonné d'avoir immolé un jeune trisomique. Mais ça c'était soldé par un non-lieu... Et je n'ai jamais cru à la culpabilité de mon cousin Germain. Germain était un garçon extra, il n'aurait jamais fait ça. En plus, il déteste le Cacao, mais je n'ai plus jamais eu de ses nouvelles après ce drame..." La Marquise s’interrompit, car les larmes lui montaient aux yeux. "Il faut vraiment qu'on tire au clair toute cette histoire. Et j'ai le sentiment que beaucoup de pistes mènent encore et toujours chez Justine..." L'inspecteur Talin était en pleine réflexion depuis le départ des deux filles. Ce cheveu roux incriminait forcément Germain Van Houten. En effet, il n'y avait que deux roux dans tout le coin : Germain et Albert. Germain avait fuit, et Albert avait été disculpé grâce aux analyses de cheveux de l'époque. Chris se souvenait d'ailleurs qu'Albert avait beaucoup insisté pour qu'on lui prélevât plutôt les cheveux du côté gauche de sa tête, car son côté droit était déjà beaucoup moins pourvu. Cela avait fait sourire l'inspecteur qu'un mec aussi moche puisse se soucier d'avoir 3 cheveux en moins d'un côté ou de l'autre, alors qu'il y avait déjà tellement à se soucier sur le reste de sa figure. Message édité le 08/09/15 à 13:33 |
Par Kat... : le 08/09/15 à 14:16:01
| Dire merci | Germain ! Et le côté bi-goût d'Albert ! |
Par Uriette : le 09/09/15 à 09:00:54
| Déconnecté Dire merci | Peu de temps après, prétextant une rentrée d'argent inopinée, Van Houten avait mis les voiles pour le continent sud américain. "Il n'y a pas de cacao à Cuba ! je vais tenter de faire fortune dans un pays émergent" avait-il expliqué à qui voulait l'entendre. Et Talin, qui ne voulait pas l'entendre, était resté dans ce village à siroter sa bière en regardant l'ombre du clocher s'allonger dans le crépuscule, jusqu'à disparaitre complètement. Les deux filles étaient parties précipitamment du restaurant. La Marquise était perdue dans ses pensées. Appo l'en tira : "C'est quoi cette histoire avec ton cousin Guillemette ? Tu ne m'en avais jamais parlé ! -... C'est une histoire sordide. Mon cousin était soupçonné d'avoir immolé un jeune trisomique. Mais ça c'était soldé par un non-lieu... Et je n'ai jamais cru à la culpabilité de mon cousin Germain. Germain était un garçon extra, il n'aurait jamais fait ça. En plus, il déteste le Cacao, mais je n'ai plus jamais eu de ses nouvelles après ce drame..." La Marquise s’interrompit, car les larmes lui montaient aux yeux. "Il faut vraiment qu'on tire au clair toute cette histoire. Et j'ai le sentiment que beaucoup de pistes mènent encore et toujours chez Justine..." L'inspecteur Talin était en pleine réflexion depuis le départ des deux filles. Ce cheveu roux incriminait forcément Germain Van Houten. En effet, il n'y avait que deux roux dans tout le coin : Germain et Albert. Germain avait fuit, et Albert avait été disculpé grâce aux analyses de cheveux de l'époque. Chris se souvenait d'ailleurs qu'Albert avait beaucoup insisté pour qu'on lui prélevât plutôt les cheveux du côté gauche de sa tête, car son côté droit était déjà beaucoup moins pourvu. Cela avait fait sourire l'inspecteur qu'un mec aussi moche puisse se soucier d'avoir 3 cheveux en moins d'un côté ou de l'autre, alors qu'il y avait déjà tellement à se soucier sur le reste de sa figure. Talin regarda les deux femmes s'éloigner. Vues de derrière elles avaient quelque chose de ravissant. Il senti son côté féministe prendre le dessus : il ne devait pas considérer les femmes comme des objets de convoitise. Il fallait qu'il les considère pour ce qu'elles étaient, et celles-ci étaient des mégères ! Son téléphone vibra sur le comptoir. Le petit écran affichait : "Walter Loo". Talin décrocha : - Inspecteur, il y a du nouveau, rendez-vous au plus vite au commissariat. Talin rassembla ses affaires pour s'engouffrer ensuite dans sa vieille berline. Il démarra, calla une première, puis une seconde fois. Peut-être n'aurait-il pas dû mettre tant de whisky dans ses café, car en sortant de sa place, il arracha l'arrière de la 2CV de Scapula. Sa voiture une fois sur la chaussée, il fit les 200m qui séparaient l'hôtel du commissariat en première. Devant le commissariat, Cubitus faisait le planton. Talin lui tendis les clés de la berline : "gare-là, stp". Talin poussa la porte du commissariat, salua Radius qui était à l'accueil, puis toqua au bureau du commissaire. - Entrez ! Talin poussa la porte du bureau. Le procureur et le commissaire l'attendaient : - Vous tombez bien Talin, nous venons d'avoir des nouvelles des autorités Cubanaises dit le commissaire Walter Loo, qui nous ont dit avoir extradé Van Houten vers le Costa-Rica. Les autorités Costa-Ricanaises, disent que Van Houten vient de mourir d'une speticémie fulgurante dans une de leur prison insalubres. Ils ont fait un prélèvement ADN sur le cadavre pour vérifier, mais ils sont sûrs à 100%. Van Houten étant le seul prisonnier roux costa-ricanais. - Et vous pouvez me dire comment les cheveux de Van Houten mort au Costa-Rica se retrouvent dans les griffes d'un chat du village ? |
Par Cliona : le 09/09/15 à 09:06:26
| Dire merci | Talin regarda les deux femmes s'éloigner. Vues de derrière elles avaient quelque chose de ravissant. Il senti son côté féministe prendre le dessus : il ne devait pas considérer les femmes comme des objets de convoitise. Il fallait qu'il les considère pour ce qu'elles étaient, et celles-ci étaient des mégères ! Son téléphone vibra sur le comptoir. Le petit écran affichait : "Walter Loo". Talin décrocha : - Inspecteur, il y a du nouveau, rendez-vous au plus vite au commissariat. Talin rassembla ses affaires pour s'engouffrer ensuite dans sa vieille berline. Il démarra, calla une première, puis une seconde fois. Peut-être n'aurait-il pas dû mettre tant de whisky dans ses café, car en sortant de sa place, il arracha l'arrière de la 2CV de Scapula. Sa voiture une fois sur la chaussée, il fit les 200m qui séparaient l'hôtel du commissariat en première. Devant le commissariat, Cubitus faisait le planton. Talin lui tendis les clés de la berline : "gare-là, stp". Talin poussa la porte du commissariat, salua Radius qui était à l'accueil, puis toqua au bureau du commissaire. - Entrez ! Talin poussa la porte du bureau. Le procureur et le commissaire l'attendaient : - Vous tombez bien Talin, nous venons d'avoir des nouvelles des autorités Cubanaises dit le commissaire Walter Loo, qui nous ont dit avoir extradé Van Houten vers le Costa-Rica. Les autorités Costa-Ricanaises, disent que Van Houten vient de mourir d'une speticémie fulgurante dans une de leur prison insalubres. Ils ont fait un prélèvement ADN sur le cadavre pour vérifier, mais ils sont sûrs à 100%. Van Houten étant le seul prisonnier roux costa-ricanais. - Et vous pouvez me dire comment les cheveux de Van Houten mort au Costa-Rica se retrouvent dans les griffes d'un chat du village ? Talin sentit sa mâchoire se décrocher d'étonnement... - Hein ? Comment ça ? Je ne comprend pas... - Oui, expliquez moi ce phénomène... - euh...ben...C'est que je ne suis pas devin moi ! protesta vigoureusement Talin devant l'insistance des deux hommes. Comment voulez vous que je le sache ??? Justine doit avoir une idée elle, c'est SON chat après tout ! - L'ennui Talin, c'est que Justine... |
Par sheytana : le 09/09/15 à 09:18:26
| Dire merci | Talin regarda les deux femmes s'éloigner. Vues de derrière elles avaient quelque chose de ravissant. Il senti son côté féministe prendre le dessus : il ne devait pas considérer les femmes comme des objets de convoitise. Il fallait qu'il les considère pour ce qu'elles étaient, et celles-ci étaient des mégères ! Son téléphone vibra sur le comptoir. Le petit écran affichait : "Walter Loo". Talin décrocha : - Inspecteur, il y a du nouveau, rendez-vous au plus vite au commissariat. Talin rassembla ses affaires pour s'engouffrer ensuite dans sa vieille berline. Il démarra, calla une première, puis une seconde fois. Peut-être n'aurait-il pas dû mettre tant de whisky dans ses café, car en sortant de sa place, il arracha l'arrière de la 2CV de Scapula. Sa voiture une fois sur la chaussée, il fit les 200m qui séparaient l'hôtel du commissariat en première. Devant le commissariat, Cubitus faisait le planton. Talin lui tendis les clés de la berline : "gare-là, stp". Talin poussa la porte du commissariat, salua Radius qui était à l'accueil, puis toqua au bureau du commissaire. - Entrez ! Talin poussa la porte du bureau. Le procureur et le commissaire l'attendaient : - Vous tombez bien Talin, nous venons d'avoir des nouvelles des autorités Cubanaises dit le commissaire Walter Loo, qui nous ont dit avoir extradé Van Houten vers le Costa-Rica. Les autorités Costa-Ricanaises, disent que Van Houten vient de mourir d'une speticémie fulgurante dans une de leur prison insalubres. Ils ont fait un prélèvement ADN sur le cadavre pour vérifier, mais ils sont sûrs à 100%. Van Houten étant le seul prisonnier roux costa-ricanais. - Et vous pouvez me dire comment les cheveux de Van Houten mort au Costa-Rica se retrouvent dans les griffes d'un chat du village ? Talin sentit sa mâchoire se décrocher d'étonnement... - Hein ? Comment ça ? Je ne comprend pas... - Oui, expliquez moi ce phénomène... - euh...ben...C'est que je ne suis pas devin moi ! protesta vigoureusement Talin devant l'insistance des deux hommes. Comment voulez vous que je le sache ??? Justine doit avoir une idée elle, c'est SON chat après tout ! - L'ennui Talin, c'est que Justine... ... dit que c'est le chat de son mari ! Nous avons tenté de le chercher afin de l'interroger, mais celui-ci demeure introuvable ! L'inspecteur sursauta, il ne s'était même pas rendu compte de la disparition de Brandon. C'était pourtant le jardinier du commissariat ! Le commissaire commença à se demander si son obsession pour Van Houten ne l'avait pas mené sur une fausse piste. Après tout cette histoire avait commencé près de chez Justine, et celle-ci n'avait même pas été sérieusement interrogée. "Radius, allez chercher Cubitus et venez avec moi. Nous avons quelques questions à poser à Madame Bi-Beurre à propos de la disparition de son mari" Radius était ravi d'avoir à nouveau un prétexte pour revoir Justine. Il demanda quelques minutes pour aller se faire beau avant de rejoindre le commissaire. Pour une fois il aurait un coup d'avance sur Cubitus. |
Par kazoar : le 09/09/15 à 11:03:42
| Dire merci | J'adore j'adore, l'enquête avance !!! |
Par Loarghann : le 09/09/15 à 11:06:16
| Dire merci | yep, l'enquete avance, et c'est vraiment très chouette à lire, même sans contrepèteries ! Continuez, continuez ! |
Par sheytana : le 09/09/15 à 11:10:28
| Dire merci | Mais continuez vous-même aussi |
Par Uriette : le 09/09/15 à 11:11:13
| Déconnecté Dire merci | Talin poussa la porte du bureau. Le procureur et le commissaire l'attendaient : - Vous tombez bien Talin, nous venons d'avoir des nouvelles des autorités Cubanaises dit le commissaire Walter Loo, qui nous ont dit avoir extradé Van Houten vers le Costa-Rica. Les autorités Costa-Ricanaises, disent que Van Houten vient de mourir d'une speticémie fulgurante dans une de leur prison insalubres. Ils ont fait un prélèvement ADN sur le cadavre pour vérifier, mais ils sont sûrs à 100%. Van Houten étant le seul prisonnier roux costa-ricanais. - Et vous pouvez me dire comment les cheveux de Van Houten mort au Costa-Rica se retrouvent dans les griffes d'un chat du village ? Talin sentit sa mâchoire se décrocher d'étonnement... - Hein ? Comment ça ? Je ne comprend pas... - Oui, expliquez moi ce phénomène... - euh...ben...C'est que je ne suis pas devin moi ! protesta vigoureusement Talin devant l'insistance des deux hommes. Comment voulez vous que je le sache ??? Justine doit avoir une idée elle, c'est SON chat après tout ! - L'ennui Talin, c'est que Justine... ... dit que c'est le chat de son mari ! Nous avons tenté de le chercher afin de l'interroger, mais celui-ci demeure introuvable ! L'inspecteur sursauta, il ne s'était même pas rendu compte de la disparition de Brandon. C'était pourtant le jardinier du commissariat ! Le commissaire commença à se demander si son obsession pour Van Houten ne l'avait pas mené sur une fausse piste. Après tout cette histoire avait commencé près de chez Justine, et celle-ci n'avait même pas été sérieusement interrogée. "Radius, allez chercher Cubitus et venez avec moi. Nous avons quelques questions à poser à Madame Bi-Beurre à propos de la disparition de son mari" Radius était ravi d'avoir à nouveau un prétexte pour revoir Justine. Il demanda quelques minutes pour aller se faire beau avant de rejoindre le commissaire. Pour une fois il aurait un coup d'avance sur Cubitus. Talin ordonna à Cubitus d'aller faire le planton sur l'avenue de l'école. A cette heure-ci, elle était engorgée. Avec pas moins de 8 ralentisseurs, cinq giratoires et deux feux rouges, il n'était pas rare que les enfants à vélo narguent les véhicules automobiles en commettant toutes sortes d'infractions : doubler par la droite, feux grillés, giratoires en contre sens, sans compter ceux qui prenaient les ralentisseurs pour des tremplins. Cette avenue été devenue la principale source de financement des équipements de la police locale et Cubitus prépara son carnet de souches. Tout à coup il se rendit compte que l'air guilleret de Radius cachait quelque chose de louche. Lorsque Radius et Talin arrivèrent devant la maison de Madame Bi-beurre, celle-ci était en pleine conversation avec sa voisine. Elle était en tenue d'aqua poney de latex vert et tenait à la main, palme masque et tuba. Elle gesticulait et parlait à vive voix. Talin et Radius n'eurent pas le temps de sortir de la voiture et d'expliquer la raison de leur présence, que déjà elle anticipait les désirs de l'agent Radius ignorant la présence de Talin qui en prit ombrage. - Radius vous êtes radieux aujourd'hui ! J'expliquais à la voisine qu'en allant à ma séance d'aqua poney, j'allais passer au commissariat pour déposer ceci ! Elle tendit une main droite de plastique tout recouvert de terres, puis poursuivit : - Voyez, il n'y avait pas lieux d'en faire toute une histoire ! - Vous voyez inspecteur, ce n'est pas aujourd'hui que je vais passer les menottes à madame Bi-beurre. Talin prit un air circonspect pour considérer l'objet. Message édité le 09/09/15 à 11:12 |
Par sheytana : le 09/09/15 à 11:19:29
| Dire merci | Mais PTDR Talin ordonna à Cubitus d'aller faire le planton sur l'avenue de l'école. A cette heure-ci, elle était engorgée. Avec pas moins de 8 ralentisseurs, cinq giratoires et deux feux rouges, il n'était pas rare que les enfants à vélo narguent les véhicules automobiles en commettant toutes sortes d'infractions : doubler par la droite, feux grillés, giratoires en contre sens, sans compter ceux qui prenaient les ralentisseurs pour des tremplins. Cette avenue été devenue la principale source de financement des équipements de la police locale et Cubitus prépara son carnet de souches. Tout à coup il se rendit compte que l'air guilleret de Radius cachait quelque chose de louche. Lorsque Radius et Talin arrivèrent devant la maison de Madame Bi-beurre, celle-ci était en pleine conversation avec sa voisine. Elle était en tenue d'aqua poney de latex vert et tenait à la main, palme masque et tuba. Elle gesticulait et parlait à vive voix. Talin et Radius n'eurent pas le temps de sortir de la voiture et d'expliquer la raison de leur présence, que déjà elle anticipait les désirs de l'agent Radius ignorant la présence de Talin qui en prit ombrage. - Radius vous êtes radieux aujourd'hui ! J'expliquais à la voisine qu'en allant à ma séance d'aqua poney, j'allais passer au commissariat pour déposer ceci ! Elle tendit une main droite de plastique tout recouvert de terres, puis poursuivit : - Voyez, il n'y avait pas lieux d'en faire toute une histoire ! - Vous voyez inspecteur, ce n'est pas aujourd'hui que je vais passer les menottes à madame Bi-beurre. Talin prit un air circonspect pour considérer l'objet. Soudain, il se souvint du seul endroit où il avait vu un objet similaire. C'était un vieux boulard gay, où les hommes aimaient se faire fister par des mains en plastique. "Cela provient de votre collection personnelle, Mme Bi-Beurre ?" Demanda Talin avec un sourire taquin. Message édité le 09/09/15 à 11:22 |
Par Uriette : le 09/09/15 à 11:52:24
| Déconnecté Dire merci | Talin ordonna à Cubitus d'aller faire le planton sur l'avenue de l'école. A cette heure-ci, elle était engorgée. Avec pas moins de 8 ralentisseurs, cinq giratoires et deux feux rouges, il n'était pas rare que les enfants à vélo narguent les véhicules automobiles en commettant toutes sortes d'infractions : doubler par la droite, feux grillés, giratoires en contre sens, sans compter ceux qui prenaient les ralentisseurs pour des tremplins. Cette avenue été devenue la principale source de financement des équipements de la police locale et Cubitus prépara son carnet de souches. Tout à coup il se rendit compte que l'air guilleret de Radius cachait quelque chose de louche. Lorsque Radius et Talin arrivèrent devant la maison de Madame Bi-beurre, celle-ci était en pleine conversation avec sa voisine. Elle était en tenue d'aqua poney de latex vert et tenait à la main, palme masque et tuba. Elle gesticulait et parlait à vive voix. Talin et Radius n'eurent pas le temps de sortir de la voiture et d'expliquer la raison de leur présence, que déjà elle anticipait les désirs de l'agent Radius ignorant la présence de Talin qui en prit ombrage. - Radius vous êtes radieux aujourd'hui ! J'expliquais à la voisine qu'en allant à ma séance d'aqua poney, j'allais passer au commissariat pour déposer ceci ! Elle tendit une main droite de plastique tout recouvert de terres, puis poursuivit : - Voyez, il n'y avait pas lieux d'en faire toute une histoire ! - Vous voyez inspecteur, ce n'est pas aujourd'hui que je vais passer les menottes à madame Bi-beurre. Talin prit un air circonspect pour considérer l'objet. Soudain, il se souvint du seul endroit où il avait vu un objet similaire. C'était un vieux boulard gay, où les hommes aimaient se faire fister par des mains en plastique. "Cela provient de votre collection personnelle, Mme Bi-Beurre ?" Demanda Talin avec un sourire taquin. Justine feignit ne pas comprendre l'allusion. Après tout, elle devait faire honneur à sa réputation de bonne paroissienne. - Que voudriez-vous que je fisse avec une choses pareille ? Justine employa l'imparfait du subjonctif à bon escient, mais Radius n'étant pas un aficionados du bescherelle l'interpréta comme un léger défaut de prononciation et rougit de la première image qui lui vint à l'esprit. |
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