Ossements que faire ?
Sujet commencé par : photos69 - Il y a 499 réponses à ce sujet, dernière réponse par sheytana1 personne suit ce sujet
Par photos69 : le 16/08/15 à 11:59:42
  DéconnectéDire merci3 | Bonjour, Je vous contacte car je me pose quelques questions.. Nous avons emménagé dans une petite maison depuis 6 mois. Cette maison était à l'abandon il y a un ou deux ans et d'après les voisins, les anciens locataire étaient très "bizarre", après eux,la maison n'a plus été loue et est devenu un squat. (Elle a ete refaite a neuf par les propriétaire quelques mois avant notre arrivé, nous sommes locataires) Or depuis deux mois nous avons adopté un chien.. Et celui ci ne cesse de creuser à différents endroits et nous ramène des os assez gros.. Ils sont souvent en morceaux. Mais ils sont assez large et épais. Le plus déstabilisant c'est que les anciens locataire n'avait pas de chien (et à moins d'avoir enterré un terre neuve, les os sont trop gros pour un chien, même si je souhaite que ce soit un gros chiens la dessous !). Ce n'est pas une ancienne ferme non plus. A un des endroits où mon chien creuse sans cesse (tas de sable au milieu de l'herbe, dont je n'arrive pas à me débarrasser d'ailleurs, j'ai l'impression qu'il y a 3 tonnes de sable la dessous !) nous avons retrouver une carte de bus d'un enfant enterré. Les anciens locataires n'ayant pas d'enfant. Je me demande comment elle a pu se retrouver ici enterré au milieu de notre terrain. Je me fais peut être des films. Mais connaissant l'histoire de la maison. J'ai un peu peur ! J'ai arrêté mes travaux de jardinage et de remise en état du terrain car j'angoisse d'y trouver quelques choses de plus choquant.. Que doit on faire dans ce genre de cas ? Prévenir la gendarmerie quand même ? |
Par sheytana : le 09/10/15 à 22:10:44
| Dire merci | MIRACLE, MIRACLE ! acclama la foule, alors que Gérard Menvussadanmavy saluait la foule, en annonçant au spectateur : - Mesdames, Messieurs, Le père Scapula, Pasteur de la paroisse d'Osselaid, grand maitre exorciste ! La foule applaudit ! - Bravo, Bravo ! - Mesdames, Messieurs, Justine Bibeurre, paroisienne possédées d'Osselaid, réduite à un tas de paillettes par la SEULE volonté divine ! dit-il en indiquant les tas de paillettes multicolores retombées sur le sol. - Bravo, Bravo, hurlait-on. - Finalement c'est donc bien un exorcisme ? demanda quelqu'un dans la foule. - Mesdames et Messieurs, prions pour le salut de son âme ! Le silence se fit au pied de la statue de la vierge. Les gens s'agenouillères sauf une. - Alors le prêtre était pas un chippendale ? - Mais chutttt ! laissez les gens qui veulent prier en toute tranquillité. - Mes frères et mes soeurs, dit Scapula en prenant la parole, prions pour le salut de Justine Bibeurre, un paroissienne pieuse, fin cordon bleu, célèbre pour son interprétation à capella de la chanson du boudin... - Pardon, pardon, pardon, dit la silhouette qui se frayait un passage entre les gens agenouillés. Mais Scapula ne se laissa pas perturber. - Prions pour que le seigneur l'accueille auprès de lui malgré ses...dit-il gravement avant d'être interrompu. - Non, mais si c'est pas un chippendale, moi je me casse, pardon madame... dit la silhouette. - Si la petite dame qui s'en va voulait bien le faire avec un peu plus de discrétion, demanda Scapula qui cherchait ses mots. Gérard acquièsca : - si quelqu'un avait la bonté d'indiquer la sortie à la dame... dit-il Un homme avec une canne blanche se leva. - Attendez-moi je viens avec vous ! - Vous étiez aussi venu pour le strip tease ? - Non moi je suis aveugle, je suis venu pour le concert. - C'était vraiment pourri leur truc ! Ils s'en allèrent, et ouvrirent la voie à plusieurs autres. Lorsque tout le monde s'en fut allé, Scapula et Menvussadmavy s’apprêtèrent à quitter les lieux. Mais ils furent rattrapés par un policier : "Eh oh vous deux là, c'est bien beau vos p'tites représentations de rue, mais il me semble que vous n'aviez demandé aucune autorisation. V'là une p'tite amende bien salée, et maintenant vous allez me nettoyer tout ça et plus vite que ça !!" L'inspecteur Talin était arrivé à la chapelle Fistine avec ses collaborateurs. Guillemette leur avait parlé de la trappe et du couloir sombre, aussi ils découvrirent la salle et les ossements assez rapidement. Le corps était décomposé depuis bien longtemps, mais ils prirent tout de même soin de récupérer jusqu'au dernier petit bout d'os. Il se fit intérieurement la promesse de faire parler ces os, même si pour cela il lui fallait regarder Bones jusqu'à la dernière saison. Ils étaient sans doute les clefs pour élucider l'affaire Van Houten. Ce serait d'ailleurs un sacré retournement de situation si celui-ci était vraiment innocent. Il aurait couru derrière le mauvais criminel depuis tout ce temps. Et maintenant, tout semblait plutôt accuser Albert Le Maire. Mais comment avait-il fait pour être disculpé par son ADN à l'époque, l'ADN ne trompe pas... Soudain, un éclair traversa son esprit. Le Maire avait tellement insisté pour qu'il utilise les cheveux de son côté gauche. Était-il possible qu'il ait trafiqué son ADN de ce côté là ? Ou alors, qu'il soit différent de son autre côté ? C'était une idée folle, si improbable, si stupide... Mais, il devait en avoir le cœur net ! "Il faut retrouver le Maire ! Agent Coxis, vous devez me retrouver Albert Rézina. Mais faites ça discrètement OK ? Je ne veux pas d'un scandale médiatique pour l'instant..." Message édité le 09/10/15 à 22:16 |
Par sheytana : le 09/10/15 à 22:11:34
| Dire merci | Argh meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerde  |
Par sheytana : le 09/10/15 à 22:14:10
| Dire merci | Ça va être difficile de concaténer là noirah , pourquoi il a fallu qu'on poste en même temps  J'essaie de faire un truc... |
Par sheytana : le 09/10/15 à 22:21:58
| Dire merci | noirah Je te propose ça, est-ce que ça te va ? - C'était vraiment pourri leur truc ! Ils s'en allèrent, et ouvrirent la voie à plusieurs autres. Scapula et Menvussadmavy s’apprêtèrent à quitter les lieux. Mais ils furent rattrapés par un policier : "Eh oh vous deux là, c'est bien beau vos p'tites représentations de rue, mais il me semble que vous n'aviez demandé aucune autorisation. V'là une p'tite amende bien salée, et maintenant vous allez me nettoyer tout ça et plus vite que ça !!" C’est alors qu'une brume épaisse vient envahir très rapidement tout Veracruz ... on y voyait pas plus loin que le bout de son nez, et là,... c'est vraiment là que cet adage pris tout son sens. La foule décidé de rester sur place pour éviter de se piétinée et finir étouffé. Scapula et Gérard furent pris d'un intense delirium qui les conduisit dans une folie intense à s’immoler afin de se purifier du rite qu'ils venaient de pratiquer. Mais malheureusement, ils n'ont pas anticipé qu'on ne se remet pas d'une immolation ... Une immense lumière perça la brume et la foule crue encore à un exorcisme et ne se rendit pas compte du delirium des deux hommes. Pendant ce temps à Osselaid, L'inspecteur Talin était arrivé à la chapelle Fistine avec ses collaborateurs. Guillemette leur avait parlé de la trappe et du couloir sombre, aussi ils découvrirent la salle et les ossements assez rapidement. Le corps était décomposé depuis bien longtemps, mais ils prirent tout de même soin de récupérer jusqu'au dernier petit bout d'os. Il se fit intérieurement la promesse de faire parler ces os, même si pour cela il lui fallait regarder Bones jusqu'à la dernière saison. Ils étaient sans doute les clefs pour élucider l'affaire Van Houten. Ce serait d'ailleurs un sacré retournement de situation si celui-ci était vraiment innocent. Il aurait couru derrière le mauvais criminel depuis tout ce temps. Et maintenant, tout semblait plutôt accuser Albert Le Maire. Mais comment avait-il fait pour être disculpé par son ADN à l'époque, l'ADN ne trompe pas... Soudain, un éclair traversa son esprit. Le Maire avait tellement insisté pour qu'il utilise les cheveux de son côté gauche. Était-il possible qu'il ait trafiqué son ADN de ce côté là ? Ou alors, qu'il soit différent de son autre côté ? C'était une idée folle, si improbable, si stupide... Mais, il devait en avoir le cœur net ! "Il faut retrouver le Maire ! Agent Coxys, vous devez me retrouver Albert Rézina. Mais faites ça discrètement OK ? Je ne veux pas d'un scandale médiatique pour l'instant..." Soudain, un éclair multicolore et très bruyant se fit. un grand BOUM suvit d'un tremblement de terre,.... La marquise et appoline se dserrenet l'une contre l'autre,... les policiers était morts de peur. puis le clame revient d'un seul coup, ... Enfin, ça c'est ce que crurent les Osselaidiens ... Car, dans sa villa, au milieu de son lit douillet et d'une multitudes de paillettes multicolores, c'est une Justine nue qui s'éveilla. comme si de rien n'était, elle avala les cachets (smarties) (assortis aux paillettes) avec le verre d'eau qui était sur sa table de nuit. Puis elle prit une douche, revêtit sa tenue d'aqua poney rose pâle, et décidé d'aller prendre l'air elle se sentait l'esprit embrumé (et pour cause) quand, dans la rue, elle croisa ... Message édité le 09/10/15 à 22:51 |
Par noirah : le 10/10/15 à 09:02:25
| Dire merci | ah ben oui des plombes que je n'ai pas pris le temps d'écrire un bout et hop ! pas grave tu as très bien rattrapé  |
Par sheytana : le 11/10/15 à 08:11:00
| Dire merci | Soudain, un éclair multicolore et très bruyant se fit. un grand BOUM suvit d'un tremblement de terre,.... La marquise et appoline se dserrenet l'une contre l'autre,... les policiers était morts de peur. puis le clame revient d'un seul coup, ... Enfin, ça c'est ce que crurent les Osselaidiens ... Car, dans sa villa, au milieu de son lit douillet et d'une multitudes de paillettes multicolores, c'est une Justine nue qui s'éveilla. comme si de rien n'était, elle avala les cachets (smarties) (assortis aux paillettes) avec le verre d'eau qui était sur sa table de nuit. Puis elle prit une douche, revêtit sa tenue d'aqua poney rose pâle, et décidé d'aller prendre l'air elle se sentait l'esprit embrumé (et pour cause) quand, dans la rue, elle croisa Oui : "Ça alors ? Mais qu'est-ce que tu fais là ? La voisine devait s'occuper de toi et elle te laisse divaguer de la sorte ? Elle va m'entendre celle-là !" Elle rentra le chat et lui donna quelques croquettes. La nuit était tombée. Dans ce coin d'Osselaid, seuls les chats osaient s'aventurer pour courser les nombreux rats qui peuplaient les détritus. Pourtant, une silhouette encagoulée avançait rapidement, esquivant les matous en silence. Elle rejoignit une seconde silhouette. "Tu es sur de ne pas avoir été suivi ? Des soupçons commencent à peser sur nous... - Oui, je suis certain, nous sommes venus seuls, répondit l'homme qui venait d'arriver. - Bien. Pourquoi tu n'as pas achevé la Marquise et sa conne de copine comme c'était convenu ? - Cet abruti d'Albert m'en a empêché !! - Si nous les avions tuées, j'aurais eu 2 voix en moins aux prochaines élections ! Se défendit Albert. - J'espère qu'elle ne t'ont pas reconnu. Quelle connerie de laisser échapper de potentielles témoins! - Ne t'inquiète pas Jean, elles auraient posé plus de souci si elles n'avaient pas été retrouvées. Et c'est Albort qui a fait tout le boulot, impossible qu'elles m'aient reconnu moi... Rassura Albert. - Mouais... J'espère pour vous en tous cas, c'est hors de question que je plonge avec vous et que je perde ma place de procureur. - Vos électeurs, vos places, mais vous n'avez donc que ça en tête ?! Alors que nous sommes si près de mettre la main sur le trésor des Mont Fémur. - Eh oui Monsieur Albort Del, c'est facile à dire pour toi, tu n'as rien à perdre, tu n'as même pas de véritable existence. Je ne vais pas renoncer au pouvoir pour l'argent moi. Je veux les deux!... Au fait, c'est bon, j'ai pris soin de cet abruti de Gérard. Il commençait à devenir vraiment trop fouineur. Les freins de sa voiture ont malencontreusement prit un autre tournant, ahahaha ! - Ahahahaha, riaient en cœur Albert et Albort. Bon boulot !... Et maintenant qu'est-ce qu'on fait pour Talin ? Message édité le 11/10/15 à 08:14 |
Par Uriette : le 11/10/15 à 10:04:33
| Déconnecté Dire merci | Car, dans sa villa, au milieu de son lit douillet et d'une multitudes de paillettes multicolores, c'est une Justine nue qui s'éveilla. comme si de rien n'était, elle avala les cachets (smarties) (assortis aux paillettes) avec le verre d'eau qui était sur sa table de nuit. Puis elle prit une douche, revêtit sa tenue d'aqua poney rose pâle, et décidé d'aller prendre l'air elle se sentait l'esprit embrumé (et pour cause) quand, dans la rue, elle croisa Oui : "Ça alors ? Mais qu'est-ce que tu fais là ? La voisine devait s'occuper de toi et elle te laisse divaguer de la sorte ? Elle va m'entendre celle-là !" Elle rentra le chat et lui donna quelques croquettes. La nuit était tombée. Dans ce coin d'Osselaid, seuls les chats osaient s'aventurer pour courser les nombreux rats qui peuplaient les détritus. Pourtant, une silhouette encagoulée avançait rapidement, esquivant les matous en silence. Elle rejoignit une seconde silhouette. "Tu es sur de ne pas avoir été suivi ? Des soupçons commencent à peser sur nous... - Oui, je suis certain, nous sommes venus seuls, répondit l'homme qui venait d'arriver. - Bien. Pourquoi tu n'as pas achevé la Marquise et sa conne de copine comme c'était convenu ? - Cet abruti d'Albert m'en a empêché !! - Si nous les avions tuées, j'aurais eu 2 voix en moins aux prochaines élections ! Se défendit Albert. - J'espère qu'elle ne t'ont pas reconnu. Quelle connerie de laisser échapper de potentielles témoins! - Ne t'inquiète pas Jean, elles auraient posé plus de souci si elles n'avaient pas été retrouvées. Et c'est Albort qui a fait tout le boulot, impossible qu'elles m'aient reconnu moi... Rassura Albert. - Mouais... J'espère pour vous en tous cas, c'est hors de question que je plonge avec vous et que je perde ma place de procureur. - Vos électeurs, vos places, mais vous n'avez donc que ça en tête ?! Alors que nous sommes si près de mettre la main sur le trésor des Mont Fémur. - Eh oui Monsieur Albort Del, c'est facile à dire pour toi, tu n'as rien à perdre, tu n'as même pas de véritable existence. Je ne vais pas renoncer au pouvoir pour l'argent moi. Je veux les deux!... Au fait, c'est bon, j'ai pris soin de cet abruti de Gérard. Il commençait à devenir vraiment trop fouineur. Les freins de sa voiture ont malencontreusement prit un autre tournant, ahahaha ! - Ahahahaha, riaient en cœur Albert et Albort. Bon boulot !... Et maintenant qu'est-ce qu'on fait pour Talin ? Dans l'ombre, Phallange le capitaine de gendarmerie suivait les 3 hommes à l'insu de leur plein gré. Il se félicitait. C'était pour lui l'occasion inespérée de se venger de l'affront que le procureur lui avait fait en confiant l'enquête à la police et non à la gendarmerie et de battre son rival de toujours : l'inspecteur Chris Talin. Le procureur et ses comparses Albert et Albort ignoraient que le fonctionnaire les faisait suivre déjà depuis un bon bout de temps. Gérard Mensoif était peut-être un ivrogne, un tête en l'air, mais il fallait bien reconnaitre que c'était le meilleur détective du pays. En commettant l'erreur d'informer le procureur, le détective avait provoqué une réaction en chaine, qui avait entrainé sa mort. Phallange connaissant les travers de Mensoif avait demandé la mise sous écoute, le gendarme avait vite fait le rapprochement entre les appels téléphoniques entre Gérard et Jean, et l'incendie puis l'accident. Il avait donc fait surveillé le Procureur, qui lui-même l'avait amené à surveiller Albert, qui lui même l'avait conduit à Albort. Depuis la mort de Gérard, Phallange avait même posé congé pour mener sa petite enquête personnelle. En surveillant Albert, il avait fait la connaissance indirecte d'Albort Del. Albort Del, était Albert mais sous son jour le plus sombre, voire la nuit la plus obscure. De jour Albert courrait les réunions publiques et les occasions de se faire mousser, d'être le maire le plus humain et le aimé de ses concitoyens. De nuit Albort fouillait les archives de la ville à la recherche de plans et d'informations concernant la cachette du Trésor des Mont Fémur. Les disputes entre Albert et Albort étaient fréquentes. Le premier reprochant au second son obsession pour le trésor, le second reprochant au premier sont obsession pour le pouvoir. Il n'était pas rare de les voir ainsi se disputer, à l'aube et au crépuscule, l'un ne voulant pas céder la place à l'autre pour poursuivre son oeuvre. C'était pour cela qu'on voyait peu Albert Rézina aux manifestations officielles qui se déroulaient la nuit. |
Par sheytana : le 11/10/15 à 10:14:37
| Dire merci | C'est énorme, pas mal le coup de l'écoute  Le suspense est à son comble !!! Message édité le 11/10/15 à 10:34 |
Par sheytana : le 11/10/15 à 10:33:10
| Dire merci | Dans l'ombre, Phallange le capitaine de gendarmerie suivait les 3 hommes à l'insu de leur plein gré. Il se félicitait. C'était pour lui l'occasion inespérée de se venger de l'affront que le procureur lui avait fait en confiant l'enquête à la police et non à la gendarmerie et de battre son rival de toujours : l'inspecteur Chris Talin. Le procureur et ses comparses Albert et Albort ignoraient que le fonctionnaire les faisait suivre déjà depuis un bon bout de temps. Gérard Mensoif était peut-être un ivrogne, un tête en l'air, mais il fallait bien reconnaitre que c'était le meilleur détective du pays. En commettant l'erreur d'informer le procureur, le détective avait provoqué une réaction en chaine, qui avait entrainé sa mort. Phallange connaissant les travers de Mensoif avait demandé la mise sous écoute, le gendarme avait vite fait le rapprochement entre les appels téléphoniques entre Gérard et Jean, et l'incendie puis l'accident. Il avait donc fait surveillé le Procureur, qui lui-même l'avait amené à surveiller Albert, qui lui même l'avait conduit à Albort. Depuis la mort de Gérard, Phallange avait même posé congé pour mener sa petite enquête personnelle. En surveillant Albert, il avait fait la connaissance indirecte d'Albort Del. Albort Del, était Albert mais sous son jour le plus sombre, voire la nuit la plus obscure. De jour Albert courrait les réunions publiques et les occasions de se faire mousser, d'être le maire le plus humain et le aimé de ses concitoyens. De nuit Albort fouillait les archives de la ville à la recherche de plans et d'informations concernant la cachette du Trésor des Mont Fémur. Les disputes entre Albert et Albort étaient fréquentes. Le premier reprochant au second son obsession pour le trésor, le second reprochant au premier sont obsession pour le pouvoir. Il n'était pas rare de les voir ainsi se disputer, à l'aube et au crépuscule, l'un ne voulant pas céder la place à l'autre pour poursuivre son oeuvre. C'était pour cela qu'on voyait peu Albert Rézina aux manifestations officielles qui se déroulaient la nuit. Se partager le même corps physique était aussi source de conflits. Tantôt Albert voulait faire pipi alors qu'Albort, non. Tantôt Albort voulait manger des sandwichs au fromage, alors qu'Albert est intolérant au gluten et au lactose : "On voit que ce n'est pas toi qui aura de l'eczéma partout sur la tronche après" protestait alors Albert. Albort avait également beaucoup plus de succès auprès des filles, mais celles-ci fuyaient dès qu'elles le voyaient de face, la moitié du visage d'Albert incrusté dans le sien... Néanmoins, l'un ne pouvait pas vivre sans l'autre. Albort l'avait apprit à ses dépends lorsqu'il avait tenté d'assassiner Albert à l'âge de 11 ans. Tout ça était le résultat de siècles de mariages consanguins. Phallange écouta encore parler les hommes. Ils étaient en train d’échafauder un plan pour se débarrasser de l'inspecteur Talin, qui commençait à devenir gênant. Le capitaine frémit. Il était tiraillé entre l'envie de voir Talin disparaître, et l'horreur qu'évoquait son meurtre. Il voulait à tout prix le battre, mais à la loyale, en brave justicier qu'il était. Si Talin venait à mourir assassiné, il n'aurait même pas le plaisir de lui rappeler chaque jour qu'il avait été meilleur que lui sur cette enquête. Il fallait à tout prix trouver une solution pour sauver Talin, tout en s'attribuant les honneurs de l'enquête. De plus, l'inspecteur lui serait redevable de sa vie, et après tout, ce serait déjà une victoire écrasante en soi ! Message édité le 11/10/15 à 10:36 |
Par Uriette : le 11/10/15 à 11:05:02
| Déconnecté Dire merci | Les disputes entre Albert et Albort étaient fréquentes. Le premier reprochant au second son obsession pour le trésor, le second reprochant au premier sont obsession pour le pouvoir. Il n'était pas rare de les voir ainsi se disputer, à l'aube et au crépuscule, l'un ne voulant pas céder la place à l'autre pour poursuivre son oeuvre. C'était pour cela qu'on voyait peu Albert Rézina aux manifestations officielles qui se déroulaient la nuit. Se partager le même corps physique était aussi source de conflits. Tantôt Albert voulait faire pipi alors qu'Albort, non. Tantôt Albort voulait manger des sandwichs au fromage, alors qu'Albert est intolérant au gluten et au lactose : "On voit que ce n'est pas toi qui aura de l'eczéma partout sur la tronche après" protestait alors Albert. Albort avait également beaucoup plus de succès auprès des filles, mais celles-ci fuyaient dès qu'elles le voyaient de face, la moitié du visage d'Albert incrusté dans le sien... Néanmoins, l'un ne pouvait pas vivre sans l'autre. Albort l'avait apprit à ses dépends lorsqu'il avait tenté d'assassiner Albert à l'âge de 11 ans. Tout ça était le résultat de siècles de mariages consanguins. Phallange écouta encore parler les hommes. Ils étaient en train d’échafauder un plan pour se débarrasser de l'inspecteur Talin, qui commençait à devenir gênant. Le capitaine frémit. Il était tiraillé entre l'envie de voir Talin disparaître, et l'horreur qu'évoquait son meurtre. Il voulait à tout prix le battre, mais à la loyale, en brave justicier qu'il était. Si Talin venait à mourir assassiné, il n'aurait même pas le plaisir de lui rappeler chaque jour qu'il avait été meilleur que lui sur cette enquête. Il fallait à tout prix trouver une solution pour sauver Talin, tout en s'attribuant les honneurs de l'enquête. De plus, l'inspecteur lui serait redevable de sa vie, et après tout, ce serait déjà une victoire écrasante en soi ! De toute façon pour l'heure, avant de trouver une manière de sauver Talin, Phallange devait écouter ce que se disaient les ombres d'Albort et de Jean. Il verrait ensuite. - Donc tu veux faire quoi avec Talin ? - L'envoyer chez cette folle de Justine pour une transformation express en boudin paroissial me paraitrait être une bonne idée ! Dit Albort, ça donnerait un os à ronger à cette charmante dame qui pour l'instant fait une fixation fâcheuse sur Albert. J'ai beau le lui répéter, il ne s'en méfie pas assez ! Ce que je lui dis rentre par mon oreille, et ressort par la sienne sans avoir été analysé ! Jean réfléchit. - Il est vrai que ce serait facile pour moi d'orienter d'obliger Talin à enquêter sur Justine, elle ne tarderait pas à le faire disparaitre comme elle l'a fait avec ses amants successifs. Dommage que la Marquise se soit intéressée d'un peu trop près à cette disparition ! Après tout c'est bien cette folle de Justine qui dépèce ses amants successifs avant de les servir aux diner paroissiaux... Ce ne serait que justice qu'elle paie un peu pour ses crimes... Et accessoirement ça éviterait à Albert de finir en eau de boudin... Phallange écoutait tout ceci avec attention. En enquêteur averti et militaire émérite, il n'avait rien à craindre des deux silhouettes qu'il espionnait. Le gendarme avait des lunettes à visions nocturne et tout le matériel pour écouter à distance. - Bon ok, on fait comme ça, dit Albort à Jean. Demain tu donnes l'odre à Talin de séduire Justine pour focaliser l'enquête sur la disparition de Brandon, d'ailleurs je me demande comment tu as pu être assez stupide pour laisser Talin enquêter sur Van Houtan, alors même que l'enquête concernait Brandon ! Jean n'apprécia pas la remarque. - Rappelle-moi qui a été assez con pour se faire embarquer des cheveux dans les griffes d'un chat ! La dispute entre les deux protagonistes sentant l'étau se fermer sur eux, conforta Phallange sur le fait que bientôt les deux compères se désolidariseraient et que leur entreprise criminelle ne s'en remettrait pas. Message édité le 11/10/15 à 11:05 Message édité le 11/10/15 à 11:06 |
Par sheytana : le 11/10/15 à 11:14:23
| Dire merci | PTDR  |
Par sheytana : le 11/10/15 à 21:10:05
| Dire merci | De toute façon pour l'heure, avant de trouver une manière de sauver Talin, Phallange devait écouter ce que se disaient les ombres d'Albort et de Jean. Il verrait ensuite. - Donc tu veux faire quoi avec Talin ? - L'envoyer chez cette folle de Justine pour une transformation express en boudin paroissial me paraitrait être une bonne idée ! Dit Albort, ça donnerait un os à ronger à cette charmante dame qui pour l'instant fait une fixation fâcheuse sur Albert. J'ai beau le lui répéter, il ne s'en méfie pas assez ! Ce que je lui dis rentre par mon oreille, et ressort par la sienne sans avoir été analysé ! Jean réfléchit. - Il est vrai que ce serait facile pour moi d'orienter d'obliger Talin à enquêter sur Justine, elle ne tarderait pas à le faire disparaitre comme elle l'a fait avec ses amants successifs. Dommage que la Marquise se soit intéressée d'un peu trop près à cette disparition ! Après tout c'est bien cette folle de Justine qui dépèce ses amants successifs avant de les servir aux diner paroissiaux... Ce ne serait que justice qu'elle paie un peu pour ses crimes... Et accessoirement ça éviterait à Albert de finir en eau de boudin... Phallange écoutait tout ceci avec attention. En enquêteur averti et militaire émérite, il n'avait rien à craindre des deux silhouettes qu'il espionnait. Le gendarme avait des lunettes à visions nocturne et tout le matériel pour écouter à distance. - Bon ok, on fait comme ça, dit Albort à Jean. Demain tu donnes l'odre à Talin de séduire Justine pour focaliser l'enquête sur la disparition de Brandon, d'ailleurs je me demande comment tu as pu être assez stupide pour laisser Talin enquêter sur Van Houtan, alors même que l'enquête concernait Brandon ! Jean n'apprécia pas la remarque. - Rappelle-moi qui a été assez con pour se faire embarquer des cheveux dans les griffes d'un chat ! La dispute entre les deux protagonistes sentant l'étau se fermer sur eux, conforta Phallange sur le fait que bientôt les deux compères se désolidariseraient et que leur entreprise criminelle ne s'en remettrait pas. Le lendemain matin, Oui réveilla Justine pour avoir ses croquettes. Elle avait l'impression d'avoir dormi des jours, et se sentait bien reposée. Elle ne s'était plus sentie aussi bien depuis très longtemps. Des mois, voir des années. Elle se sentait d'humeur légère, pourtant elle avait du mal à se souvenir de sa précédente journée. Et celles d'avant, c'était pire encore. Elle essaya de se remémorer les derniers événements, mais son dernier souvenir clair, était Brandon en train de lui demander sa main. D'ailleurs, où était-il ? Elle se mit à le chercher dans toute la maison. Où avait-il bien pu passer ? Il n'avait pas passé la nuit avec elle, et ça ne lui ressemblait guère... Message édité le 11/10/15 à 21:10 |
Par noirah : le 11/10/15 à 21:11:56
| Dire merci | super tout ça ! bon là je suis malade et HS j'espère pouvoir écrire un morceau bientôt |
Par kazoar : le 12/10/15 à 15:27:36
| Dire merci | Que de rebondissements…. Trop bon !!  |
Par Loarghann : le 12/10/15 à 16:35:06
| Dire merci | Quelle belle avancée dans le récit ! Bravo! Et la mosaique adn, trop fort ! |
Par Cliona : le 13/10/15 à 09:06:52
| Dire merci | Le lendemain matin, Oui réveilla Justine pour avoir ses croquettes. Elle avait l'impression d'avoir dormi des jours, et se sentait bien reposée. Elle ne s'était plus sentie aussi bien depuis très longtemps. Des mois, voir des années. Elle se sentait d'humeur légère, pourtant elle avait du mal à se souvenir de sa précédente journée. Et celles d'avant, c'était pire encore. Elle essaya de se remémorer les derniers événements, mais son dernier souvenir clair, était Brandon en train de lui demander sa main. D'ailleurs, où était-il ? Elle se mit à le chercher dans toute la maison. Où avait-il bien pu passer ? Il n'avait pas passé la nuit avec elle, et ça ne lui ressemblait guère... Il se passait décidément quelque chose d'étrange dans cette maison...Après avoir cherché Brandon partout sans le trouver, elle se dit qu'il était sans doute parti lui chercher des croissants comme il le faisait souvent...Ce souvenir la fit sourire aux anges, ce qui lui donna un air angélique plutôt inquiétant et elle se mit le casque de son Ipod vert fluo dans les oreilles...Tout en se disant que cette couleur jurait horriblement avec sa tenue d'aquaponey préférée, la rose pâle, elle le mit en route, sans voir que derrière elle... |
Par sheytana : le 13/10/15 à 17:37:37
| Dire merci | Il se passait décidément quelque chose d'étrange dans cette maison...Après avoir cherché Brandon partout sans le trouver, elle se dit qu'il était sans doute parti lui chercher des croissants comme il le faisait souvent...Ce souvenir la fit sourire aux anges, ce qui lui donna un air angélique plutôt inquiétant et elle se mit le casque de son Ipod vert fluo dans les oreilles...Tout en se disant que cette couleur jurait horriblement avec sa tenue d'aquaponey préférée, la rose pâle, elle le mit en route, sans voir que derrière elle Oui se faisait les griffes sur son canapé. Elle grimpa sur son vélo d'appartement, et se mit à chanter, au gré de sa playlist, tantôt du Britney Spears, tantôt du Zaz. Après sa demi-heure d'exercice quotidienne, elle ouvrit le frigo pour préparer son déjeuner, mais elle n'y trouva que de la viande avariée. "Étrange.... Se dit Justine, on dirait que ça a bien dix jours... Pourtant, je devais être à la maison tout ce temps ?" Elle sortit unes à unes les pièces de viande. "Mais quelle horreur ce truc, on ne dirait même pas du bœuf, c'est Brandon qui a acheté une viande aussi merdique ??" Alors qu'elle était en train de jeter tout ça dans un grand sac poubelle, Justine fut interrompue par la sonnette. "J'arrive!!!!!" Elle ouvrit la porte, et fut surprise de voir tout un régiment de police devant sa maison : "Bonjour Justine, nous sommes venus perquisitionner chez toi, ordre du procureur. D'ailleurs, je ne m'attendais pas à te voir ici, je te croyais à Veracruz ?". Justine tomba des nues : "Mais... Qui êtes-vous ? Et pourquoi voulez vous perquisitionner chez moi ? Et c'est quoi Veracruz ??" L'inspecteur Talin la regarda d'un air interrogateur. Elle le connaissait, et elle devait bien se douter de la raison de leur visite. Il suspecta alors qu'elle devait chercher à lui faire commettre une erreur, pour pouvoir demander le vice de procédure. Il reprit donc calmement et en tâchant de ne rien oublier : "Bonjour, je suis l'inspecteur Chris Talin, mes hommes et moi devons perquisitionner votre maison par ordre du Procureur Jean Timépafutey, dans le cadre de l'enquête de la mort de votre mari Brandon Bi-Beurre..." Le visage de Justine se remplit d'effroi : "Brandon est MORT????????" Message édité le 13/10/15 à 17:40 |
Par sheytana : le 13/10/15 à 18:06:11
| Dire merci | Au fait, sachez que.... Lien Lien Lien |
Par sissy : le 13/10/15 à 18:36:27
| Dire merci | Trop Fort!!! |
Par Akhal9 : le 14/10/15 à 22:39:25
| Dire merci | les filles une d'entres vous n'aurait un fichier de l'histoire ? ça fait un moment que je ne me suis pas connecté sur le fofo faute de temps et je suis complètement perdue dans le récit  |
Par sheytana : le 14/10/15 à 22:41:18
| Dire merci | akhal9 Ben si, moi MP moi ton mail, je te l'envoie |
Par Akhal9 : le 14/10/15 à 22:43:09
| Dire merci | Top, je t'envoie ça |
Par sheytana : le 14/10/15 à 22:45:43
| Dire merci | Done |
Par Halaska : le 22/10/15 à 00:08:33
| Dire merci | Et sinon : Lien |
Par stephy92 : le 22/10/15 à 09:06:02
| Dire merci | mais lol |
Par sheytana : le 22/10/15 à 17:02:48
| Dire merci | Mais pliée de rire |
Par noirah : le 22/10/15 à 21:49:06
| Dire merci | j'adooooooooooooooooooore !!! punaise pas vraiment le temps et l'inspiration en ce moment mais il va falloir qu'on la boucle cette histoire ! on la fera éditer et on sera riiichessss ! (ah non ça c'est ds les films !) |
Par Uriette : le 24/10/15 à 10:08:42
| Déconnecté Dire merci | Alors qu'elle était en train de jeter tout ça dans un grand sac poubelle, Justine fut interrompue par la sonnette. "J'arrive!!!!!" Elle ouvrit la porte, et fut surprise de voir tout un régiment de police devant sa maison : "Bonjour Justine, nous sommes venus perquisitionner chez toi, ordre du procureur. D'ailleurs, je ne m'attendais pas à te voir ici, je te croyais à Veracruz ?". Justine tomba des nues : "Mais... Qui êtes-vous ? Et pourquoi voulez vous perquisitionner chez moi ? Et c'est quoi Veracruz ??" L'inspecteur Talin la regarda d'un air interrogateur. Elle le connaissait, et elle devait bien se douter de la raison de leur visite. Il suspecta alors qu'elle devait chercher à lui faire commettre une erreur, pour pouvoir demander le vice de procédure. Il reprit donc calmement et en tâchant de ne rien oublier : "Bonjour, je suis l'inspecteur Chris Talin, mes hommes et moi devons perquisitionner votre maison par ordre du Procureur Jean Timépafutey, dans le cadre de l'enquête de la mort de votre mari Brandon Bi-Beurre..." Le visage de Justine se remplit d'effroi : "Brandon est MORT????????" Puis saisissant la signification de ce qu'elle venait d'apprendre elle commença à vasciller : - mort ? bégaya-t-elle, comment est-ce possible murmura-t-elle... des sanglots commençaient à lui monter à la gorge... c'est pas possible... Où... Quand... comment ? Talin ne su quoi choisir dans le panel des émotions, soit Justine était sincère, et il regretta de suite la manière dont il venait d'annoncer la mort de Brandon. Soit elle se payait littéralement la tête de l'officier ce qui le mettait en colère. De toute façon il n'avait pas le choix, il devait obéir aux ordres du procureur. - Madame, on sait que ce n'est pas très agréable mais nous devons enquêter, il se grattait la tête en se demandant ce qu'il allait bien pouvoir tirer de cette chose fragile qui sanglotait en venant d'apprendre la disparition de son mari. Asseyez-vous là, voulez-vous qu'un de mes hommes vous apporte quelque chose à boire ? Elle renifla, à l'heure qu'il était, elle n'avait envie de rien, elle fit signe que non. - Et Robert votre ancien amant qu'est-il devenu ? et Steve ? Elle renifla encore avant de sortir une longue lamentation. - Que viennent faire mes anciens amants dans la disparition de Brandon, vous croyez que c'est eux qui ont fait le coup ? Alors c'est chez eux que vous devriez être, dit-elle avec la colère du désespoir ! - Ils sont morts aussi, affirma l'inspecteur. Elle resta stupéfaite et redoubla de larmes : - Je porte malheur à tous ceux qui m'aiment, inspecteur, un conseil éloignez-vous de moi ou vous aussi vous allez mourir ! Cette fois la jeune femme n'était plus qu'un torrent de larmes, elle demandait Scapula. - Mais Scapula n'est pas là, comme vous le savez, il est parti à Véracruz avec vous où il est mort. Justine redoubla de larmes, lorsque Albert Rézina fit irruption dans la pièce. Il vit Justine pleurant à chaude larme sur le sort de ses amants disparus et de son prêtre adoré. Elle le regarda : - Albert, oh, Albert, dit-elle en se jetant dans les bras du maire, Steve, Rob, Brandon, le père Scapula,oh, Albert ne me dites pas que vous aussi allez mourir ! Albert sentit un frisson chaud le parcourir : - Non, Justine, je suis hélas encore bien vivant ! Il lui essuya les larmes, Talin vous n'avez pas honte de conclure à la mort de Brandon alors que vous n'avez aucune preuve de sa disparition. Ma petite Justine, il ne faut pas en vouloir à ces messieurs qui ne font que leur travail. Je sais combien il est difficile d'être suspecté à tort tout simplement parce qu'on a des comportements un peu bizarres. - Rezina, que faites-vous ici ? Je pensais que nous avions été très clairs, vous laissez les autorités faire leur travail, vous n'êtes pas des équipes, dit sèchement le procureur qui venait de faire irruption dans la maison. |
Par Cliona : le 29/10/15 à 13:27:57
| Dire merci | Puis saisissant la signification de ce qu'elle venait d'apprendre elle commença à vasciller : - mort ? bégaya-t-elle, comment est-ce possible murmura-t-elle... des sanglots commençaient à lui monter à la gorge... c'est pas possible... Où... Quand... comment ? Talin ne su quoi choisir dans le panel des émotions, soit Justine était sincère, et il regretta de suite la manière dont il venait d'annoncer la mort de Brandon. Soit elle se payait littéralement la tête de l'officier ce qui le mettait en colère. De toute façon il n'avait pas le choix, il devait obéir aux ordres du procureur. - Madame, on sait que ce n'est pas très agréable mais nous devons enquêter, il se grattait la tête en se demandant ce qu'il allait bien pouvoir tirer de cette chose fragile qui sanglotait en venant d'apprendre la disparition de son mari. Asseyez-vous là, voulez-vous qu'un de mes hommes vous apporte quelque chose à boire ? Elle renifla, à l'heure qu'il était, elle n'avait envie de rien, elle fit signe que non. - Et Robert votre ancien amant qu'est-il devenu ? et Steve ? Elle renifla encore avant de sortir une longue lamentation. - Que viennent faire mes anciens amants dans la disparition de Brandon, vous croyez que c'est eux qui ont fait le coup ? Alors c'est chez eux que vous devriez être, dit-elle avec la colère du désespoir ! - Ils sont morts aussi, affirma l'inspecteur. Elle resta stupéfaite et redoubla de larmes : - Je porte malheur à tous ceux qui m'aiment, inspecteur, un conseil éloignez-vous de moi ou vous aussi vous allez mourir ! Cette fois la jeune femme n'était plus qu'un torrent de larmes, elle demandait Scapula. - Mais Scapula n'est pas là, comme vous le savez, il est parti à Véracruz avec vous où il est mort. Justine redoubla de larmes, lorsque Albert Rézina fit irruption dans la pièce. Il vit Justine pleurant à chaude larme sur le sort de ses amants disparus et de son prêtre adoré. Elle le regarda : - Albert, oh, Albert, dit-elle en se jetant dans les bras du maire, Steve, Rob, Brandon, le père Scapula,oh, Albert ne me dites pas que vous aussi allez mourir ! Albert sentit un frisson chaud le parcourir : - Non, Justine, je suis hélas encore bien vivant ! Il lui essuya les larmes, Talin vous n'avez pas honte de conclure à la mort de Brandon alors que vous n'avez aucune preuve de sa disparition. Ma petite Justine, il ne faut pas en vouloir à ces messieurs qui ne font que leur travail. Je sais combien il est difficile d'être suspecté à tort tout simplement parce qu'on a des comportements un peu bizarres. - Rezina, que faites-vous ici ? Je pensais que nous avions été très clairs, vous laissez les autorités faire leur travail, vous n'êtes pas des équipes, dit sèchement le procureur qui venait de faire irruption dans la maison. - C'est au sujet de Brandon just...... - Braaaaaaaaaaaaandooooooooooooooooooooon !!!! Mon Braaaaaaaaaaaaaaaaaaandoooooooooooooooooon !!! Hulula de plus belle Justine, en s'essuyant le nez au passage sur la belle chemise en coton d'égypte d'Albert Albert repoussa délicatement Justine pour l'éloigner de sa précieuse chemise et fronça le nez, écoeuré par les traces vertes qu'il y découvrit dessus..."ça, tu me le paieras cher ma petite Justine" pesta-t-il intérieurement en découvrant les dégâts. - Oui et bien quoi Brandon ? - Braaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaandooooooooooooooooooooon mon Braaaaaaaaaaaaaaaaaaandoooooooooooooooon !!! se remit à hululer Justine Talin s'approcha et, interrogeant silencieusement du regard le procureur qui lui donna la permission, asséna une formidable mandale à Justine qui se tut, sonnée. - Bon, maintenant qu'on est au calme, qu'avez vous à nous dire au sujet de Bran...de ce qui nous occupe ? - Bien Monsieur le Procureur, figurez vous que j'ai appris incidemment que Brandon... |
Par Kat... : le 02/11/15 à 20:31:06
| Dire merci | - C'est au sujet de Brandon just...... - Braaaaaaaaaaaaandooooooooooooooooooooon !!!! Mon Braaaaaaaaaaaaaaaaaaandoooooooooooooooooon !!! Hulula de plus belle Justine, en s'essuyant le nez au passage sur la belle chemise en coton d'égypte d'Albert Albert repoussa délicatement Justine pour l'éloigner de sa précieuse chemise et fronça le nez, écoeuré par les traces vertes qu'il y découvrit dessus..."ça, tu me le paieras cher ma petite Justine" pesta-t-il intérieurement en découvrant les dégâts. - Oui et bien quoi Brandon ? - Braaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaandooooooooooooooooooooon mon Braaaaaaaaaaaaaaaaaaandoooooooooooooooon !!! se remit à hululer Justine Talin s'approcha et, interrogeant silencieusement du regard le procureur qui lui donna la permission, asséna une formidable mandale à Justine qui se tut, sonnée. - Bon, maintenant qu'on est au calme, qu'avez vous à nous dire au sujet de Bran...de ce qui nous occupe ? - Bien Monsieur le Procureur, figurez vous que j'ai appris incidemment que Brandon... Mais Justine ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase, et profitant que l'attention des hommes soit tout ailleurs et que ses esprits soit -un tant soit peu- revenus, elle s'éclipsa discrètement, et dès qu'elle fut sortie sans se faire remarquer, couru tant qu'elle put. Elle couru, couru, ses jambes étaient mues d'une force qu'elle ne soupçonnait pas et qui la poussait à fuir. Ses larmes coulaient sans interruption le long de ses joues faisant dégouliner son maquillage excessif sur pommettes affreusement creusées par ces derniers jours. Tout se bousculait sans cesse dans sa tête. Était-ce réellement possible qu'elle ait perdu en si peu de temps tous les gens qui composaient son entourage? La légende que lui racontait souvent sa marâtre en la berçant (trop près du mur) était-elle vraie? Portait-elle malheur à tout ce qui l'aimait? Serait-elle condamnée toute sa vie à voir disparaitre les êtres les plus chers? Pourquoi n'avait elle aucun souvenir de ses derniers jours? Qu'avez donc il pu se passer pour qu'elle découvre maintenant tant d'horreur ? Avait elle dormi aussi longtemps? Qu'est-ce que Jessica pouvait bien trouver à Roger Rabit, après tout ce n'était qu'un lapin ? Comment se sortir de ce cauchemar? Allait-elle se réveiller et réaliser que tout cela n'était qu'un mauvais rêve? Elle se pinça de toutes ses forces le bras mais la douleur était bien réelle et ses larmes redoublèrent... Pourquoi toute cette violence autour d'elle depuis qu'elle était née? Pourquoi elle, si fervente paroissienne, attirait elle les foudres de Dieu? Pourquoi Donald Duck ne portait pour tout vêtement dans la vie qu'un tee-shirt mais que lorsqu'ils sortait du bain, c'était torse nu et autour de la taille qu'il nouait sa serviette? Pourquoi la soupçonnait-on d'être mêlée à toutes ces atrocités? Était-ce vraiment vrai ? Avait-elle été droguée? Comment discerner la réalité? Ses pas l'avaient mené tout près du cimetière, et à présent fatiguée, à bout de souffle, mais suffisamment loin de tout ça, elle s'autorisait à ralentir pour faire le point et essayer de rassembler ses esprits bien éparpillés en ce soir de pleine lune. Le soir? Avait-elle couru toute la journée? Elle n'avait à présent plus aucune certitude, si ce n'est d'être épuisée, et cela lui faisait le plus grand bien, car sa fatigue physique et toutes les douleurs associées, ainsi que ce vilain bleu sur son bras lui permettait de se focaliser sur autre chose que ces questions qui bouillonnaient dans sa cervelle. Elle s'assit sur une tombe pour souffler. Enfin. |
Par stephy92 : le 02/11/15 à 20:59:43
| Dire merci | Pourquoi Donald Duck ne portait pour tout vêtement dans la vie qu'un tee-shirt mais que lorsqu'ils sortait du bain, c'était torse nu et autour de la taille qu'il nouait sa serviette? je me suis tjs posé la question |
Par Kat... : le 02/11/15 à 21:41:19
| Dire merci | Si seulement quelqu'un pouvait répondre à Justine par voie divine nous aurions tous la réponse à cette question qui secoue la terre entière depuis toujours !!! |
Par toto00789 : le 03/11/15 à 19:14:45
| Dire merci | Personne pour le point final? |
Par Kat... : le 03/11/15 à 23:22:13
| Dire merci | C'est dur de mettre un point final : 1/ Parce qu'il y aura toujours quelqu'un pour rebondir et faire partir l'histoire dans un sens qu'on n'avait même pas imaginé! 2/ Parce qu'il faut une sacré imagination pour surenchérir sur l'explosion en paillettes de l'héroïne principale; 3/ Parce que mettre le point final, c'est... S'interdire la possibilité de continuer ... Et que même si le récit s'essouffle un peu, on a toujours en tête de prendre le temps de revenir de temps à autre de rajouter sa griffe. Un point final c'est... La fin ! J'avais imaginé que la fin se ferait quand l'auteur du post initial reprendrait possession de son post pour nous raconter les résultats de l'enquête de police! Ou alors il faut faire une fin suspens qui nous laisse la possibilité d'une trilogie  |
Par sheytana : le 04/11/15 à 09:09:44
| Dire merci | Ou alors il faut faire une fin suspens qui nous laisse la possibilité d'une trilogie Je vote pour ça, parce que ce serait aussi dommage de pas pouvoir "aller au bout de notre idée"... Un texte inachevé ce serait dommage... |
Par Cliona : le 04/11/15 à 13:38:33
| Dire merci | Mais Justine ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase, et profitant que l'attention des hommes soit tout ailleurs et que ses esprits soit -un tant soit peu- revenus, elle s'éclipsa discrètement, et dès qu'elle fut sortie sans se faire remarquer, couru tant qu'elle put. Elle couru, couru, ses jambes étaient mues d'une force qu'elle ne soupçonnait pas et qui la poussait à fuir. Ses larmes coulaient sans interruption le long de ses joues faisant dégouliner son maquillage excessif sur pommettes affreusement creusées par ces derniers jours. Tout se bousculait sans cesse dans sa tête. Était-ce réellement possible qu'elle ait perdu en si peu de temps tous les gens qui composaient son entourage? La légende que lui racontait souvent sa marâtre en la berçant (trop près du mur) était-elle vraie? Portait-elle malheur à tout ce qui l'aimait? Serait-elle condamnée toute sa vie à voir disparaitre les êtres les plus chers? Pourquoi n'avait elle aucun souvenir de ses derniers jours? Qu'avez donc il pu se passer pour qu'elle découvre maintenant tant d'horreur ? Avait elle dormi aussi longtemps? Qu'est-ce que Jessica pouvait bien trouver à Roger Rabit, après tout ce n'était qu'un lapin ? Comment se sortir de ce cauchemar? Allait-elle se réveiller et réaliser que tout cela n'était qu'un mauvais rêve? Elle se pinça de toutes ses forces le bras mais la douleur était bien réelle et ses larmes redoublèrent... Pourquoi toute cette violence autour d'elle depuis qu'elle était née? Pourquoi elle, si fervente paroissienne, attirait elle les foudres de Dieu? Pourquoi Donald Duck ne portait pour tout vêtement dans la vie qu'un tee-shirt mais que lorsqu'ils sortait du bain, c'était torse nu et autour de la taille qu'il nouait sa serviette? Pourquoi la soupçonnait-on d'être mêlée à toutes ces atrocités? Était-ce vraiment vrai ? Avait-elle été droguée? Comment discerner la réalité? Ses pas l'avaient mené tout près du cimetière, et à présent fatiguée, à bout de souffle, mais suffisamment loin de tout ça, elle s'autorisait à ralentir pour faire le point et essayer de rassembler ses esprits bien éparpillés en ce soir de pleine lune. Le soir? Avait-elle couru toute la journée? Elle n'avait à présent plus aucune certitude, si ce n'est d'être épuisée, et cela lui faisait le plus grand bien, car sa fatigue physique et toutes les douleurs associées, ainsi que ce vilain bleu sur son bras lui permettait de se focaliser sur autre chose que ces questions qui bouillonnaient dans sa cervelle. Elle s'assit sur une tombe pour souffler. Enfin. Se retournant pour s'excuser auprès du mort qu'elle dérangeait dans son sommeil éternel en s'asseyant sans façon, en pleurs, échevelée d'avoir couru et le visage couvert de traînées de maquillage dégoulinant, elle écarquilla soudainement les yeux tellement grandement qu'ils semblèrent prendre toute la place sur sa figure...Car sur la pierre tombale était inscrit les mots suivants : "A notre regrettée Justine Bibeurre, puisse-t-elle reposer en paix" WTF ?????? Justine ne comprenait plus rien et resta là bouche bée pendant quelques minutes (ou était ce des heures) quand soudain, venu de l'autre bout du cimetière, un bruit formidable ébranla tout le quartier... |
Par Kat... : le 04/11/15 à 14:10:20
| Dire merci | C'est le moment ou on doit faire mourir tout le monde dans une explosion nucléraire ? Merde lol, ça va compliquer l'idée de la trilogie  |
Par Cliona : le 04/11/15 à 14:20:19
Par Uriette : le 04/11/15 à 19:01:23
| Déconnecté Dire merci | Mais excellent ! Mais non Kat. Si Justine est sur sa propre tombe c'est qu'elle est morte depuis le début de l'histoire on se retrouve avec un nouveau contexte avec une infinité de possibilité. .je peux pas ajouter de paragraphes car pas de pc et c'est galère avec le téléphone...... |
Par sheytana : le 05/11/15 à 09:54:09
| Dire merci | Le coup de la tombe c'est génialissime |
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