Je compassionne...mon roman , vos avis !^^
Sujet commencé par : satana - Il y a 94 réponses à ce sujet, dernière réponse par satanaPar satana : le 07/07/08 à 14:31:32
| Dire merci | ouverte à tout type de conseils , et autres... Introduction La pluie tombait drùe sur le petit village de Mauron , en Bretagne . Les goutes dévallaient les facades des maisons , creusant dans leurs sillages des rainures noires . Les flaques s'amoncellaient lentement sur la chaussée , la route , si elles ne s'écoùlaient pas dans le canniveau . Les nouvelles larmes du ciel renouvellaient les lac miniatures , crépittant à la surface . Tout était gris . Sombre . Mélancollique . Un ronronnement de moteur parvenait à filtrer à travers le rideau de pluie . La Lune même ne parvenait pas à éclaircir les contrées , qui restaient plongées dans cette obscurité morbide et sinistre . Ce fut à proximité de l'hippodrome que le véhicule apparù . C'était un monospace bleu , et pas de première jeunesse . La voiture tournat dans un virage ombragé par les arbres sur le bas-côté : chênes , frênes et chataigners se disputaient la meilleure place pour grandir paisiblement . Auprès d'un carrefour perdu au beau millieu de la campagne , le clignotant du monospace se mit en route . La voiture bleue se garra lentement sur le côté . Et la pluie continuait de tomber . La portière avant , côté conducteur s'ouvrit . Apparù un pied , chaussé d'une paire de basket , bientôt suivit du reste de la jambe . Puis , le buste , les bras , la nuque et la tête . L'homme sorti entièrrement de sa voiture , et referma la portière pour éviter d'innonder l'intérieur . Ce n'était pas qu'il tenait à son véhicule . Il avait trop d' àge , et tombait en ruine . Mais il était son seul moyen de transport . A part le vélo . Mais le vélo fatigue , et au trot ... . L' homme resta là , le visage tourné vers une Lune invisible , cachée derrière les nuages emplis de tristesse . La fraicheur de la nuit fit frissoner l'homme . Il ressera autour de lui son blouson en jean , et soupira . Trop de choses passées . Trop de travail . Trop d'enfants . Trop de souffrances.... Trop de tout ! Un sourire mélancolique passa furtivement sur le visage de l'homme . Il ne cesserait jamais de dramatiser . Apres un drnier regard vers l'étendue boueuse qui s'étendait dans les champs , l'homme remonta dans sa voiture , pas mécontent . Mais sa fille lui avait demandé de regarder pour elle la campagne sous les pleurs des nuages . Son enfant . Sa fille . Marie . |
DéconnectéPar satana : le 07/07/08 à 14:33:44
| Dire merci | faute d'orthographe...dsl !!!^^  Chapitre premier De la fenêtre de sa chambre , Marie regardait ardement son jardin . Il était exactement trois heures du matin , elle aurait dù être au lit . Mais l'impatience l'empêchait de dormir , ne serai-ce qu'une seule minute . De toute facon , elle avait autres choses à faire ...attendre le retour de son père , par exemple... Marie soupira , elle qui détestait attendre !! Dans son pyjama blanc rayé de rose , Marie rejoignit son lit en s'appuyant aux murs et aux meubles de sa chambre . Son pied droit dérapa maladroitement sur un magazine ; Marie tomba à la renverse . Un parquet dur et froid l'acceuillit dans sa chùte . Elle jura , puis tenta de se relever . Mais ses jambes refusaient de lui obéir . Marie soupira de nouveau ; de mécontentement , cette fois-ci . La jeune-fille écoùta les bruits de la maisonnée : Le silence . Ouff ! Un peu plus et la Tante Sophie allait rapliquer... Marie ne se demanda pas comment elle allait se relever . Elle avait l'habitude , en fait . En se dressant sur ses bras , et en poussant sur ses poignets de facon énergique , elle pourait se redresser le temps de s'accrocher quelques part . Un coup d'oeil alentour aprit à Marie que le bras de son fauteuil ferait parfaitement l'affaire . Marie comptat jusqu'a trois : Un.. Deux... Trois ! La jeune-fille bondit sur son fauteuil avant que ses jambes malades ne se dérobent , et s'agrippa au bras du siège... Et alors .... "- Haaaaaa......" Marie s'écrasa par terre de nouveau , le fauteuil l'accompagnant dans sa deuxième chùte . Le meuble bascula à quelques centimètres de sa tête . |
Par satana : le 07/07/08 à 14:36:12
| Dire merci | la suite , je suis obligée de poster petit à petit , sinon ca ne marche pas   " - Ouff... Soulgement . Soudain , des bruits de pas gravissant l'escalier portèrent jusqu'aux oreilles de Marie . - Ho non...gromela-t'elle . La porte de la chambre s'ouvrit à a volée , révélant le visage rouge de Tante Sophie . Son regard de rapace enroba toute la pièce , et s'arrêtta sur Marie , étendue par terre , aux côtés de son fauteuil renversé . - Que se passe-t'il , içi ?! Il va falloir que vous m'expliquiez , chère Marie . Tante Sophie avait l'habitude néfaste de vouvoyer sa nièce , qui avait appris à faire de même , avec le temps . - Je...je suis tombée , ma Tante ... - Oui , ça , je peux m'en rendre compte toute seule !!! Mais ce fauteuil ? - Heuu....j'ai voulu me ratraper , mais il...il est tombé avec moi...bégaya Marie . Les explications n' avaient jamais été son fort . Et être par terre comme une vieille chaussette craseuse , le visage couleur aubergine de Tante Sophie penché sur elle...n'arrangeait pas les choses . Tante Sophie retroussa ses lèvres violacées et pulpeuses en un sourire sadique : - Cessez donc de faire tant de bruits , Marie . Ou souhaitez-vous peut-être réveiller toute la maison ? Votre père , Mr Orasiel n'apprécierait certainement pas ... Pour ceux qui n'ont jamais vécu avec Tante Sophie , cela pourrait paraitre comme une remarque sans importance . Mais pour Marie , cela en avait . Tante Sophie menacait de raconter à son père qu' elle avait fait exprès de faire tout ce bruit ! Il faut avouer que Tante Sophie n'aimait pas particulièrement Marie . Après tout , n'était-t'elle pas la fille d'un homme assez fortuné , Mathias Orasiel ? N'avait-t'elle pas tout un escadron de femmes de chambres , de cuisiniers , et de chaiffeur sous son service ? Il était évident qu'elle éveille quelques jalousies de pars et d'autres . - Pardonnez-moi , Tante Sophie , je ne l'ai pas fait exprès !! J'ai chùté accidentèllement sur un livre... Mais cela ne servait à rien de s'excuser , d'implorer , de supplier . Tante Sophie restait de marbre . ( Marie n'avait en aucun cas supplié sa Tante à genoux pour qu'elle ne dise rien à son père . Après-tout , Marie était une jeune-fille de haut rang , et les adolescentes de son statut ne s'abaissent pas à de telles manières .) . Lorsque Tante Sophie fut sortie de sa chambre - qui était ma foie , fort spacieuse - Marie poussa un soupir de soulagement . Elle s'allongeat sur son lit (entre-temps , Tante Sophie avait aidé Marie à se redresser sur son séant , de bien mauvaises grace , naturellement) . " Tante Sophie va peut-être raconter n'importe quoi à papa , il ne la croierat jamais . Il sait bien qu'elle me déteste...et ferait tout ce qui est en son possible pour me mettre la honte " pensa Marie . La jeune-fille ne s'inquiétat pas outre-mesure . Son père l'adorait , et il n'avait aucunes raison de la punir pour une faute qu'elle n'avait pas commise . Enfin , si , le patatras digne du plus grand hippopotame avait été crée par elle , mais accidentellement . Donc , elle ne risquait rien . Son réveil ( neuf et haut de gamme , à la pointe de la technologie ) indiquait trois heures et demie du matin . Avant de sombrer dans le sommeil , Marie entr'appercù la lumière des phares riccocher sur la facade des écurires en face de sa chambre... |
Par satana : le 07/07/08 à 14:36:49
| Dire merci | - Cher frère , je dois vous annoncer une bien mauvaise nouvelle , dit Tante Sophie . Mathias Orasiel levat les yeux de son journal et observa sa soeur ainée : de taille moyenne , rousse ( de coloration ) , le visage violacé en permanence et deux petits yeux porcins bien incrustés dans la peau jouflue . Tante Sophie frisait la cinquantaine . " Elle est d'une laideur pas possible , songea Mathias , et encore , je reste poli " . Inutile de préciser que le père de Marie n'appréciait sa soeur , que parce-qu'elle était sa soeur , et qu'il l'ébergeait , que parcequ'il ne pouvait la laisser à la rue . - Je t'en prie , Sophie . La femme laide levat ses doubles-mentons tout flageolant de graisses , signe d'une grande joie perfide mal dissimulée . - Votre fille , Marie (elle avait grogné ce nom avec dégoùt ) fait du grabuge . Elle ne respecte pas les règles de la maisonnée , et... Tante Sophie continuait à parler comme un moulin à parole , inlasablement . Mathias eut tôt fait de replonger le nez dans son journal . Il était question de Marie , naturellement . Tante Sophie ne jubilait jamais si sa nièce nétait pas dans une sitiation délicate . Le monologue incessant de sa soeur emplissait la salle à manger et , Mathias commencait à s'endormir , bercé par le rythme monocorde et la voix grincante de sa soeur . Un majordome interompit sa transe en apportant un plateau supportant deux tasses et une carafe . L'homme à tout faire déposa le plateau sur la table de bois de chêne verni , et dit d'une voix douce et calme : - Votre thé , Monsieur . - Merci , Thomas . Vous pouvez disposer . Le majordome esquissa une courbette avant de quitter la pièce . Il n'avait eut aucun regard vers Tante Sophie , qui détestait cela , même si en elle avait l'habitude . Sur les terres du manoir d' Ourangour , elle n'était qu'une invitée . Içi , c'était Mathias qui concervait tous les honneurs . Mathias et sa fille , cette petite peste de Marie ! Heureusement que la femme de Mathias - cette garce , cette catin de Rose !- avait décédé sinon , Sophie aurait frisé la crise cardiaque . Ou la dépression . Sophie retint un soupir furieux , et contempla les vestiges de la salle à manger . Toute de bois . C'était la première impression que lui avait faite la pièce lorsqu'elle l'avait visitée . Le plafond haut , en bois verni , des murs blancs , un parquet sombre , et trois fenêtres aux motifs compliqués . Quant aux meubles ! De bois noir ou brun , cirés de la veille , hautains et gracieux tout en étant simples et à l'apparence lourde . Cette pièce était compliquée . C'est pour cela que Sophie l'aimait . Tante Sophie n'aimait pas les choses trop simples . - Votre fille et d'un tel contraste , par apport Rose , Mathias . " Sophie avait susurré cela d'une façon annodine , mais il persistait ce soupçon de haine , à qui Mathias n'était jamais indifférent . La quarentaine , brun aux yeux bleus , fins et tout en souplesse , le duc était séduisant mais ne faisait rien pour se mettre en valeur . Ses cheveux mal peignés et sa chemise qu'il oubliait toujours de boutonner jusqu'en haut faisaient de lui l'atraction pour jeunes femmes . Mais il n'était pas intéressé . La mort de son épouse , Rose , l'avait détruit . Petit à petit , il s'était reconstruit mais au fond de son àme demeurait la soufrance , la faille . Et Sophie savait où la trouver . |
Par satana : le 07/07/08 à 14:37:12
| Dire merci | " - Dommage qu'elle n'ait pas plus ressemblé à Rose....Marie aurait été beaucoup plus séduisante avec des cheveux blonds et bouclés , non ? Ho , Rose était si jolie !.. - Arètte ton cirque , Sophie... - Et vous vous souvenez , comment ses lèvres avaient la façon de se retrousser lorsqu'elle souriait ?!... - Arètte.. - Ho oui , Rose était tellement belle , si atirante , si envoùtante ! Il est normal que vous aillez été séduit , Mathias . Quel désastre qu'elle n'ait pas survécu à ce cancer... - TAIS-TOI !!!" Matihas avait hurlé . Sophie s'interompit , la bouche entr' ouverte . Elle avait gagné le jeu . Mathias avait flanché . Pour conclure la partie , la femme ajouta : - Malheureusement , vous n'avez pas d'héritier , Mathias . Elle allait quitter la pièce , mais Mathias la retint pas la bras : - L'époque où les Rois se mariaient avec des dizaines de femmes pour avoir plus de chances qu'un héritier voit le monde est révolue , Sophie . Je me fiche de ne pas avoir de fils pour qu'il reprènne le manoir à ma mort - il frissonna - . J'ai aimé Rose . Et je l'aime toujours . Je ne me remarierais pas . Il y a Marie , de toute façon... - Oui , mais vous pouvez être certains qu'elle n'héritera pas de vos terres , Mathias . Vous vous souvenez de votre neveu , mon fils ? Non , bien sur . Cela fait quatorze ans que vous ne l'avez pas vù - je l'avais amené avec moi pour vous féliciter de la naissance de Marie . Depuis , nombres de choses se sont passées et il m'a été enlevé la garde de Théo . Théo va avoir quinzes ans en juillet , il est jeune , il a des projets . Il veut se lancer dans une carrière politique . Ne cerais-ce pas un bon appuis d'avoir un bon lot de terre toutes prètes , de l'argent et un nom de famille de renommée ? Sophie ricanna . Vous ne resterez pas éternel , Mathias . Théo prendra votre place , croyez-moi . Puis , pour terminer : Et il n'épouserat pas une fille de rues , lui , au moin , qui ne lui ferat pas de filles indésirables , mais un garçon ! Un garçon qui puisse lui assurer la prospérité de sa famille ! " Mathias lacha le bras de sa soeur , dépitté . Sophie fila dignement vers ses appartements , ses talons aiguilles claquant de manière désagréable sur le parquet , puis sur le carrelage noir et blanc , avant de disparaitre dans le hall . |
Par satana : le 07/07/08 à 14:38:18
| Dire merci | voila , c'était l'introduction et le chapitre un !^^ je mettrai le chapitre deux dans le courant de l'apres-midi , j'attends quelques avis d'abord !^^ pour ceux qui ont lù jusqu'ici , merci de leur patience |
Par satana : le 07/07/08 à 15:51:51
| Dire merci | je retire ce que je viens de dire : je ne remercie personne ! -_- " 20personnes ont vù mon post , AUCUNE n'a donné son avi . pas simpa . si c'est comme ca , et comme y a plus personne , je continue à écrire mon roman et je vous dirais rien du tout ! que dalle !   satana est triiiiiste |
Par sheytana : le 07/07/08 à 16:46:29
| Dire merci | J'ai lu l'intro, c'est pas mal mais je trouve tes phrases trop courtes...Ca donne un rythme étrange au texte je trouve, mais c'est p-e fait expres.... |
Par sheytana : le 07/07/08 à 16:46:56
| Dire merci | J'ai lu l'intro, c'est pas mal mais je trouve tes phrases trop courtes...Ca donne un rythme étrange au texte je trouve, mais c'est p-e fait expres.... |
Par sheytana : le 07/07/08 à 16:47:30
| Dire merci | J'ai lu l'intro, c'est pas mal mais je trouve tes phrases trop courtes...Ca donne un rythme étrange au texte je trouve, mais c'est p-e fait expres.... |
Par bblamiss : le 07/07/08 à 16:55:34
| Dire merci | x3 ( dsl ça devient une habitude ) bon ok pour en revenir au sujet, pas encore eu le temps de lire tout mais jlirais ce soir |
Par sheytana : le 07/07/08 à 16:58:36
| Dire merci | Oups pour le triplet! J'ai lu la suite, j'aime beaucoup! Je préfere a l'introduction juste: Matihas avait hurlé---> Avait-hurlé Mathias Et Arètte ton cirque , Sophie... --> j'aime pas trop la formulation, je sais pas si c'est pas trop "familier" pour le langage global du texte... Par contre effectivement y'a beauuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuucoup de fautes d'orthographe  |
Par satana : le 07/07/08 à 17:07:34
| Dire merci | bon , la suite , comme vous avez étées gentilles Chapitre Second Le soleil pénétrait par flots ininterompu dans la chambre de Marie . Il éclairait toute la pièce : bibliothèque , petit salon " de princesse " comme s'amusait à le répéter Mathias , le tapis rapporté de Tunisie , l' armoire de bois blanc , les commodes , la table de nuit et le meuble à C.D . Marie se retourna en bougonnant dans son lit : un rayon de soleil trop lumineux venait de lui brùler les paupières . Malheureusement , Marie avait donné trop d'impulsion à son mouvement , et se retrouva par terre pour la toisième fois en moin de vingt-quatres heures . Des coups toquèrent à la porte . " Ho non , pas encore la Tante Sophie !! " supplia Marie . La porte s'ouvrit , et Mme Diamond pénétra dans la chambre . Un regard surprit se posa sur les vestiges du carnage de patinage artistiques tenté hier , au soir : fauteuil renversé , pile de livres explosée...Tante Sophie avait refusé à Marie de l'aider à remettre tout ça en place . Puis , Elisa Diamond s'approcha du lit : - Mademoiselle , c'est l'heure ... Pour toute réponse , elle reçu un grognement inaudible . Elisa sourit : - Il est dix heures , vous avez pù dormir un temps assez long...à moin que vous ne vous soyez endormie tardivement ? Nouveau grognement inaudible . " L'ado dans toute sa splendeur " songea Elisa . Elle rabatti la couverture sur les pieds de Marie , dévoilant son pyjama blanc rayé de rose . Aussitôt , la repartie : - Heee !!! Mais tu es folle , Elisa , ça caille !!! " Et Marie eut tôt fait de reprendre sa couette . Elisa croisa les bras , les décroisa . |
Par satana : le 07/07/08 à 17:08:18
| Dire merci | - Bon , je compte jusqu'à dix... - Pas la peine , je sortirais pas de mon plume . Laisse-moi dormir encore un peu , et toi , va jouer à nettoyer la cuisine . Elisa fronca les sourcils , et commenca à se dirriger vers la salle de bain personnelle de Marie . Celle-ci , surprise demanda : - Tu fais quoi ?...Oups . Elisa venait de revenir avec un grand seau à la main . - Si tu ne te lèves pas , je t'arrose ! Marie considéra le seau , et se leva immédiatement . Elle atrapa son fauteuil roulant , grimpa dedans , bon gré , mal gré . Elle fit jouer les roues , et s'avanca vers sa femme de chambre....un coup d'oeil dans le seau lui apprit....qu'il était....vide . Marie jetat un regard incendiaire à Elisa . La jeune-femme pouffa : - Que veux-tu ? Je n'allais pas t'arroser réèllement , ca aurait abimé ton pyjama rose... Nouveau regard incendiaire . - Bon , allez , petit-déjeuner , douche et ... - Lecon de français....maugréat Marie . " Un professeur particulier venait donner un cours de matière différente , chaques jours de la semaine . Le lundi était consacré aux mathématiques , le mardi au français , le jeudi à l'histoire et à la géographie , et enfin , Marie étudiait les sciences physiques et l'anglais le vendredi . Le mecredi matin , l'adolescente efectuait des devoirs à rendre à son professeur , qui notait les copies . Mais Marie , qui détestait ces leçons paticulières , ne cessait de critiquer son enseigante , Madeleine Hortense . Mme Hortense était toujours trop ceci , ou pas assez cela . Mathias Orasiel ne pouvait que conjurer sa fille de se calmer , certain qu'elle le remercierait plus tard . " De toute façon , ce serat ainsi jusqu'à tes seizes ans . Contente-toi d'essayer de tirer profit de ces leçons , ou bien d'attendre que le temps passe . " disait-t'il . Ce qui énervait encore plus Marie . Seize ans ! Encore deux ans à attendre , à patienter dans l'ennui et les baillements incessant...Autant attendre qu'un bec pousse à cette Mme Hortense . Marie fit glisser les roues de son fauteuil roulant , et s'engagea à la suite d' Elisa , dans l'ascenseur que son père avait fait installer spécialement pour elle . |
Par satana : le 07/07/08 à 17:08:43
| Dire merci | De retour dans la salle à manger , toujours aussi sombre et aussi angoissante , Marie prenait le plus lentement possible son petit déjeuner . Brioche Pasquier et Nutella . Parfait pour sa ligne d' " annorexique " , comme l'appellaient les enfants plus ou moin àgés de Mauron . Marie était légèrement en dessous du poid moyen d'une jeune fille de son àge . Mais ça ne faisait pas d'elle une adepte de la maigreur , loin de là ! Aucunes tartes au citron meringuées , élair au chocolat ou omelette norvégiènne ne survivait dans un rayon de moin de trois mètres auprès de Marie... . Elisa , qui était partie acceullir le professeur , Mme Hortense , revint , accompagnée de celle-ci . La femme , vêtue d'un tailleur sobre et d'un chemisier blanc la salua : " - Bonjour , Marie . Comment vas-tu , aujourd'hui ? - Aussi bien que possible , si je puis dire...et vous ? échangea la jeune fille . Au lieu de répondre , Hortense mima un mal de dos , et grimaça . - Je compassionne , Professeur . " Hortense grimaça encore plus . |
Par satana : le 07/07/08 à 17:09:21
| Dire merci | " - " Je compassionne " n'est pas vraiment ce que l'ont peut qualifier de corectement orthographié . Pour tout te dire , cela ne se dit pas , ce n'est pas français . - Ah ? Ben mince , alors . - C'est un verbe à revoir , à ce que j'en croit mes oreilles ." Puis , Hortense reprit , les rides tirées vèrs l'arrière : " - Dépêche-toi de t'habiller , je t'attends dans le bureau . Quelques exercices à préparer... " Dix minutes plus tard , Marie était face à son professeur , dans une pièce vaste et spacieuse . D'épaix rideaux laissaient filtrer le soleil , plongeant le bureau dans une moiteur presque étoufante . Mais une table de bois , postée devant un grand tableau noir , rendait la pièce un tant soit-peu plus morose . Mme Hortense , debout , une règle à la main , expliquait (tentait de faire rentrer dans le crâne de son élève serait plus vrai )des règles gramaticalles . "- Dis-moi , Marie . Trouves-tu que le mot " compassionner " sonne bien ? Résonne-t'il agréablement à tes oreilles ? N'y-a-t'il pas un défaut , un grain qui déstabilise la sonorité de ce mot ? " Marie observait son enseignante avec des yeux ronds . Depuis le temps qu'elle lui dictait des groupes de mots irréguliers , des règles d'othographes , jamais elle n'avait entendù pareille sornette ! Comme si un mot pouvait résonner " agréablement "....soit Hortense avait bù un peu trop de whisky la veille , soit elle avait un coup de chaud... " - Heuuu....commença Marie . Il ne sonne pas vrai , puisque cela ne se dit pas...je me trompe ? Hortense l'étudiat un instant , puis répondit : - Tu répèttes exactement ce que j'ai expliqué avant ce cours . " Marie fit la chose la plus censée , et que n'importe qui d'autre doué de raison aurait fait en cet instant : elle menti . |
Par satana : le 07/07/08 à 17:09:40
| Dire merci | " - Non , non , bien sur que non ! Qu'insinuez-vous là ?! Je ne comprends pas votre question , c'est tout . Ce n'est même pas un exercice ! Et puis , tout cela ne veut rien dire...la sonorité des mots ! La résonnance du verbe ! Jamais vous ne m'avez innitié à pareille façon d'étudier ! Légèrement déçue , Hortense laissat échaper un soupir preque innaudible à l'oreille de Marie . Celle-ci était perdue dans un océan de questions . - Bon . Tu n'es pas encore prètte , apparament . Tant-pis . Passons aux exercices plus " communs " si celui-ci te semble peu naturel . " Ce qui était déja moin intéressant . Ce fut à Marie d'être déçue . Elle tenta d'en savoir plus sur cette histoire de mots qui chantent , mais n'eut pour réponse qu'un vague grognement " tu n'es pas prètte , attends donc " . Tout cela à cause de ce verbe bien anormal chez Hortense , sans aucuns défauts (sauf celui de ne pas exister) chez Marie : Compassionner . A l'heure du dîner , l'orsqu'elle s'en allait manger , Marie suprit son père dans la salle à manger . Il criait presque . Il parlait d'un certain Théo , et de...Tante Sophie ? Quel raport pouvait-t'il y avoir entre ce mystérieux Théo et Tante Sophie ? Pourquoi cela plongeait-t'il son père dans cet état de frustation ? Marie s'endormie les yeux pleins de questions . |
Par satana : le 07/07/08 à 17:10:26
| Dire merci | bon , alors vous avez l'intro , les chapitres 1 et 2...vous voulez le 3 ? |
Par sheytana : le 07/07/08 à 18:53:47
| Dire merci | Vas y met le 3, mais tu m'as pas dit ce que tu pensais de mes commentaires Par contre la j'ai plus d'yeux, alors je lirais ce soir |
Par misstornado : le 07/07/08 à 19:18:37
| désolé je voudrais bien te dire ce que j'en pense...mais j'arrive pas a lire parce que j'ai un peu la flemme et puis c'est trop chiant a lire sur ordi mais promis je vais faire un effort et e te dit demain |
Par Glasgow : le 07/07/08 à 21:39:24
| Dire merci | La pluie tombait drùe sur le petit village de Mauron , en Bretagne . Les goutes dévallaient les facades des maisons , creusant dans leurs sillages des rainures noires . Les flaques s'amoncellaient (c'est uniquement quand ça forme un tas ce verbe, hors ce n'est pas le cas des flaques, tu peux dire qu'elles grossissaient, se formaient) lentement sur la chaussée , la route , si elles ne s'écoùlaient pas dans le canniveau . Les nouvelles larmes du ciel renouvellaient (répétition) les lac miniatures , crépittant à la surface . Tout était gris . Sombre . Mélancollique . Un ronronnement de moteur parvenait à filtrer à travers le rideau de pluie . La Lune même ne parvenait (répétition, tu peux dire que la lune même n'éclaircissait pas les contrées, le même signifiant qu'elle aussi n'y arrive pas) pas à éclaircir les contrées , qui restaient plongées dans cette obscurité morbide et sinistre . Ce fut à proximité de l'hippodrome que le véhicule apparù . C'était un monospace bleu , et pas de première jeunesse . La voiture tournat dans un virage ombragé (dur de se rendre compte que c'est ombragé quand il pleut) par les arbres sur le bas-côté : chênes , frênes et chataigners se disputaient la meilleure place pour grandir paisiblement . (bizarre la confrontation entre se disputer et grandir paisiblement, il s'agit toujours d'une compétition, la place n'est pas aquise définitivement) . Bon j'ai lut que ça pour le moment, y'a beeeeaucoup de fautes d'orthographe, alors soit relies toi, soit passe le au correcteur. Un petit conseil le "ù" est très rare (c'est a dire seulement pour le "où" j'en vois pas d'autres là tout de suite) Sinon y'a des fautes de syntaxes aussi, des mots qui ne vont pas avec ce qui sont sencer décrire Ce ne sont que des suggestions ah oui la ponctuation : il n'y a pas d'espace entre le dernier mot et le . ou la , mais un espace après. Comme ça : La pluie tombait drue sur le petit village de Mauron, en Bretagne. (d'ailleurs ici la virgule est superflue) |
Par Maihime : le 08/07/08 à 13:52:57
| Dire merci | le fond n'est pas mal, mais la forme lol beaucoup de fautes d'orthographe et de syntaxe mais sinon je veux bien la suite ^^ |
Par satana : le 08/07/08 à 14:48:46
| Dire merci | dsl pour les fautes d'orthographes krrr krrr mais j'ai fait copier/coller à partir de word-pad...et comme je tape ce qui me vient à l'esprit , je fais pas forcément gaffe aux fautes... et comme j'ai dit que je le montrerais à mes parents que quand il serat terminé , bah...les fautes persévèreront un tant soit peu , désoée  merci de vos suggestion , et glas' , les espaces avant et après le point , c'est pour que ça soit plus lisible...et puis j'ai pris l'habitude... merci de vos conseils et tout et tout !!! maihiiiime  je vous met la suite ! |
Par satana : le 08/07/08 à 14:52:29
| Dire merci | Chapitre Troisième Le lendemain , Marie avait des contrôles . Elle se leva tôt , s'habilla à la va-vite et descendit dans la salle à manger . Elle avala rapidement ses tartines de Nutella , et , en attendant son professeur , décida d'aller saluer son père . Il était encore au manoir ce matin , chose rare . Mathias se trouvait dans son bureau , à l'étage , face à la salle de billard . Marie prit furtivement l'ascenseur , en espérant de ne croiser ni Elisa ni un quelquonque autre domestique qui pourait lui reprocher de ne pas travailler seule en attendant Mme Hortense . La jeune fille regarda prudemment le couloir du deuxième étage , avant de faire avancer son fauteuil roulant dans l'allée . |
Par satana : le 08/07/08 à 14:53:20
| Dire merci | Elle avait la bizarre impression d'être une espionne à la recherche d'un code secret , ou d'un rubis d'une valeur innestimable . Ce fù avec le sourire aux lèvres que Marie frappa à la porte du bureau . Quelques secondes planèrent avant que ne viènne la réponse de Mathias . " - Entrez ! Marie entra . La pièce était plongée dans une semie-obscurité , et les draps jetés sur le fosa ne laissait aucun doùte sur l'endroit où son père avait pasé la nuit . Pourquoi avait-t'il dormi dans son bureau ? Marie ravalla ses questions en voyant la mine de papier mâché de Mathias . En plus d' être resté toute la nuit dans son bureau , il n'avait pas dormi . Pas beaucoup , tout du moin , assuraient ses yeux vitreux . Il ne s'était même pas rasé . Marie s'approcha et lui fit la bise . Elle senti les poils rèches comme du crin de chaval criser sous sa joue . La jeune fille frissonna . Pour elle ne savait quelle raison tordue , voir son père dans cet état ne lui plaisait pas . Pas du tout . - Ah , c'est toi , Marie . Le ton fatigué de son père déplu instantanément à Marie . Une odeur forte lui monta aux narines lorsque Mathias lui rendi sa bise . Il puait l'alcool . Marie fronça les sourcils , jeta un regard circulaire à la pièce . Là . Sur le bureau de bois ciré , deux bouteilles contenant un liquide doré trônaient . L'une était vide , l'autre à demi vidée . |
Par satana : le 08/07/08 à 14:55:03
| Dire merci | Mathias avalla sa salive . Sa pomme d'adam dansait la salsa dans sa gorge . - Tu as bù . Cela relevait plus de l'accusation que de l'intérogation . - Juste un petit peu... Marie leva un sourcil ironique , et désigna du doigt la bouteille à moitiée vide . - Presque deux bouteilles de Planteur ! Ce n'est pas rien . - Oui , mais du bon Planteur ! Essel....Eccel...Exellent ! ( hips ) . - D'ordinnaire , tu ne bois pas ! Un petit verre de champagne à Noel et au Nouvel An , parfois à mon anniversaire et au tien...mais c'est tout ! Marie criait presque . Sa détresse était apparente , elle ne comprenait pas . C'était comme si son père la laissait sur un bas-côté de la route . Elle ne voulait pas se sentir seule . - Je survivrais , t'inquiètte . - " t'inquiètte " ? Mon pauvre papa , tu as perdu la tête ! Tu restes toujours poli...et tu me contraries à chaque fois que je conjugue mal un mot , ou que je m'exprime mal ! - Ah oui ? Je...je ne m'en souviens pas .( hips ) . Marie esquisa une grimace de dégoùt et secoua la tête . Ses boucle noires dansèrent joliement autour de son doux visage pàle . Son père avait bù un coup de trop...et il était entièrement saoul . - Tu es completement îvre , papa . " Mathias baissa les yeux au sol , honteux . Marie ajouta , avant de quitter la pièce : |
Par satana : le 08/07/08 à 14:55:29
| Dire merci | " - Je voulais te parler , mais apparament , tu n'es pas bien disposé...Je repasserais ce soir . En fesant pivoter son fauteuil roulant , Marie eut une idée . Si son père ne voulait pas parler de ce Théo...peut-être se laisserait-t'il amadouer dans un état de coma éthylique ? Manière un peu barbarre d'obtenir des informations , certes...mais cela ne coùttait rien d'essayer . Mathias ne tarderait pas à s'écrouler dans son sofa , pour dormir longtemps...il se réveillerait avec une bonne migraine , et avec un peu de chance aurait-t'il oublié cet épisode de la journée... Marie tourna la tête vers on père . Il était debout , près de son bureau , l'air honteux et confù . Marie se surprit à éprouver de la compassion et de la gène . Ce n'était certanement pas à elle de s'occuper des problèmes son père ! Il était asser grand pour ça . Et puis , elle avait ses propres ennuis...survivre en présence de Tante Sophie , par exemple . Marie chercha ses mots , et demanda , l'air de ne pas y toucher : - Mais , au fait...je voudrais savoir...tu sais...ce garçon , là...c'est qui ? Mais oui , tu sais bien ! Quel est son nom , déja..." Marie jouait la comédie . Le nom de Théo n'avait cessé de flotter dans sa tête toute la nuit . Impossible qu'elle ne l'oublie !! Elle dosait parfaitement ses mots . Mathias avait relevé la tête , signe d'intéret : " - De quoi tu veux parler ( hips ) , ma chérie ? Marie dissimula un sourire extasif . - De ce jeune homme appellé ...Tom ? Non...Timothée ? Non plus...Théodore ? Théo...Théo , voila ! Hier , je t'ai entendù parler de ce Théo...il avait l'air de e préoccuper l'esprit...j'aurais voulù savoir qui c'était...si j'y ai le droit , cela va de soit . Mathias fronca les sourcils et mima tellement bien un air méfiant que Marie crù un instant qu'il allait la rembarrer . Mais non . - C'est un de tes cousins , je crois...oui , il a...ton àge , c'est ça...mais , je ne sais plus qui sont ses parents... La joie de Marie retomba d'un cran . C'aurait été trop facile . Elle soupira , et dit : - Tant pis . Mais merci de l'info ! A plus... - A bientôt , corigea Mathias , signe qu'il reprenait concience . Marie jugeat préférable de prendre congé . Avant qu'il ne se rende compte de sa bévue , si bévue il y avait... |
Par satana : le 08/07/08 à 14:55:53
| Dire merci | Après avoir rédigé deux contrôles de français , un de mathématiques et un dernier d'anglais , Marie monta dans sa chambre pour réfléchir . Ses devoirs avec Mme Hortense avait occupés tout son esprit , mais à présent , comme chaques fois lorsqu'elle n'avait plus rien à faire , les mauvaises pensées l'assaillaient . Marie se demandait pourquoi son père avait eut honte d'être pris en flagrant délit , ce matin . S'il craignait que quelqu'un le surprènne en train de boire , pourquoi n'avait-t'il pas dissimulé l'alcool aux yeux indiscrets ? Comme s'il avait peur d'une seule personne , et que cette personne ne montait jamais le voir dans son bureau . Marie resta songeuse un instant , puis , un pensée de mauvaise augure lui traversat la tête . Elle ne montait presque jamais dans le bureau de son père . Peut-être...Peut-être que c'était elle qu'il craignait ? Mais qu'est-ce-qu'une adolescente pouvait lui faire ? A part lui reprocher de boire en cachette ? Rien du tout . " A moin...A moin qu'il pense que je ne vais lui reprocher quelque chose plus tard ? Que je le laisse là...Tout seul ? " se demanda Marie . C'était plausible , après-tout...Quoique assez surprenant de la part de Mathias . Lui qui ne baissait jamais les bras ! Puis , les pensées de Marie affluèrent vers un autre sujet de préocupation : Mme Hortense . Aujourd'hui , la professeur s'était comportée normalement . Alors qu'hier encore , elle était dans tous ses états ! Dans le penchant déçue , elle n'aurait pas pù mieux faire . Marie se demanda si cette femme bùvait . Si oui , cela pouvait expliquer son comportement anormal , et sa manie nouvelle d'entendre les mots résonner . Sinon...peut-être que cette femme avait des problèmes psychatriques ? Non...cela ne lui ressemblait que tres peu . Et puis , son père n'aurait jamais engagé une personne à problèmes mentaux . Mathias la pritégeait . Marie était tout ce qui lui restait . Marie se levat de son lit , et s'asseyat dans son fauteuil roulant . Elle en avait mare de ces idées débiles ! Pourquoi , lorsqu'elle s'ennuiyait , son cerveau se mettait-t'il à fonctionner de cette mannière ? cela n'vait aucun sens . Et , dans ces moments là , elle ne pouvait plus réfléchire de son plein gré ! Jusqu'à ce qu'une idée d'occupation lui traverse l'esprit . En ce moment même , Marie voulait aller voir les chevaux , aux écuries . En prenant l'ascenseur , Marie croisa Elisa et Thomas en grande conversation . Elle s'approcha d'eux pour les saluer poliement , mais les deux domestiques s'interompirent instantanément . Marie , qui détestait cela mais refusait de s'énerver , commenca l'échange comme ceci : |
Par satana : le 08/07/08 à 14:56:18
| Dire merci | " - Bonjour , Elisa , Bonjour , Thomas . Comment allez-vous ? Thomas jeta un regard embarassé à Elisa , qui le regarda en biais . Tous deux semblaient extremement gênés . Finalement , Elisa répondit calmement - un peu trop , peut-être - : - Bien , Mademoiselle , merci de vous inquiéter de notre santé . Cela nous touche énormémént... Thomas amplifia les paroles avec une affirmation de la tête . Il la secoua si fort que son menton toucha son cou . " Décidément , ces deux - là ne tournent pas ronds " songea Marie . Si Elisa recommencait à la vouvoyer , c'est qu'il y avait un problème . - De rien . Mais , pourquoi vous êtes-vous arrêtés de parler à mon approche ? Nouveau regard embarassés à Elisa , nouvelle réponse de la jeune domestique : - Ce n'est pas poli , Mademosielle . - Oui...cela dépend des cas . Mais losrque la fille du Maitre demande à saoir quel était le sujet des conversations de deux domestiques , ils se doivent de lui répondre , non ? - Ou-Oui , Mademoiselle...bégaya Elisa . Le rouge commençait à lui monter aux joues . Elle redoutait le reste... - Bien . Donc , Elisa , je vous demande quel était le sujet de votre conversation que avez eut un intant plus tôt avec Thomas ? Thomas se raidit instinctivement . Elisa ne se départit pas encore de son sang-froid . - Nous parlions...Nous parlions de Alwais , Mademoiselle . Il ne va pas bien ... - Il boite , Mademoiselle , complétat furtivement Thomas . Marie les considéra un moment , hésitant sur la conduite à tenir . Elle n'avait pas suivi de cours sur la manière de faire parler ses domestiques . Elle hopta pour une mise en garde : - Je ne vous crois pas une seule seconde , Elisa . Alwais va tres bien , et il ne boite certainement pas , Thomas . Vous savez tout aussi bien que moi que si vous m'avez menti et que je vais me plaindre à mon père , il risque de vous renvoyer ? Mais si vous continuez d'affirmer qu'Alwais est boiteux , je peux aller vérifier et demander à un palefrenier de lui prodiguer les premiers soins , en attendant d'appeller le vétérinaire... Alwais était le cheval personnel de Marie . C'était un jeune new-forest souris , de seulement 7 ans . Mathias était allé en Angleterre spécialement pour assister à une foire aux chevaux , en espérant trouver celui qui conviendrait pour l'anniversaire des treizes ans de Marie . Et il était revenu avec Alwais dans ses bagages . Elisa échangea un regard qui en disait long sur ses pensées avec Thomas , et dit : - Alwais va tres bien , c'est exact . Mais hélas , nous ne pouvons point répondre à votre question sans mentir , Mademoiselle . J'en uis désolée , mais il nous es impossible de vous dire la vérité . C'est le Maitre lui-même qui nous a ordonné de nous taire , à Thomas et à moi , ainsi qu'à tous les autres domestiques du manoir . L'information fit hoqueter Marie de surprise . Ainsi , c'était son père qui lui interdissait de savoir ? La révolte commenca à bouilloner dans Marie . Les yeux pleins de colères , elle lançat en faisant se retourner son fauteuil roulant : - Tres bien , Parfais . Je vous prierais de m'excuser , mais j'ai un cheval à examiner , au cas-ou vos afiramations se réveleraient exactes . Et je vous prierais de ne plus parler de ce sujet soi-disant interdit devant-moi , et s'il-vous-plaît...NE M'APPELLEZ PLUS MADEMOISELLE !!!!" |
Par satana : le 08/07/08 à 14:56:38
| Dire merci | je met le 3 ? |
Par satana : le 08/07/08 à 14:57:07
| Dire merci | pardon le 4 ? |
Par Maihime : le 08/07/08 à 15:09:58
| Dire merci | Le lendemain , Marie avait des contrôles . Elle se leva tôt , s'habilla à la va-vite et descendit dans la salle à manger . Elle avala rapidement ses tartines de Nutella , et , en attendant son professeur , décida d'aller saluer son père . Il était encore au manoir ce matin , chose rare . Mathias se trouvait dans son bureau , à l'étage , face à la salle de billard . ca me fait bizarre lool sinon fosa=> sofa nan? (je corrige pas tout hein, enfin sauf si tu le veux xD) |
Par satana : le 08/07/08 à 15:15:53
| Dire merci | heuuu...ben , en fait , maihime , je préfererais pas , passque que si y a mon futur auditeur qui passe par là...il va se demander ...même si je sais que c'est possible d'être auteur à 12...( j'en ai 14 )...je préfère pas...alors , chuuut , d'accord ? sofa , oui , tu as raison !^^ je suis restée trois heures plantée devant mon ordi pour me décider quoi mettre à la place de canapé...comme les Orasiel sont riche , canapé , ça fait pas assez chic sofa , ok , merci je met la suite dans ...quelques secondes  |
Par Maihime : le 08/07/08 à 15:21:29
| Dire merci | je veux le 4 ^^ |
Par satana : le 08/07/08 à 15:22:56
| Dire merci | voila pour toi ! Chapitre quatrième Après avoir quitté dignement le dolestique et la femme de chambre , Marie emprunta l'ascnseur . Elle bouillonait . Savoir que son père lui cachait des choses la mettait hors d'elle . Evidemment , il y avait toujours eut ls secrets des affaires que Mathias concevait avec les autres personnes de haut rangs , mais cela s'arrettait là . Entre eux-deux , il n'y avait jamais eut de cachoteries innutiles . Lorsque quelque chose était mis sur la table et que l'un d'eux ne voulait pas parler de ça , il le disait haut et fort . Marie longea l'allée qui menait aux écuries . Des moineaux et des merles gazouillaient dans les chênes à l'orée de la forêt , une odeur d'herbe fraichement coupée et de foin flottait dans l'air . Le bleu azur du ciel et l'absence de nuage gris ne laissait aucun doùte sur la beauté du temps à venir . Dans un pré réservé aux juments poulinières , un poulain né il y a deux semaines s'ébattait joyeusement , courant comme un dératté vers la colture de bois , tournant au dernier moment , si bien que Marie eut peur pour lui maintes fois de suite . Elle s'arretta un instant pres de la barrière , pour le regarder batifoler parmis les hautes herbes et les papillions . Ca sentait le printemps . Marie reprit sa route . Elle contourna la grange de bois , construite l'année dernière après que l'anciènne n'ai étée foudroyée par un éclair égaré . Le sentier de béton ( spécialement conçu pour éviter à Marie de patiner dans le vide sur des gravillions indésirables ) traversait une étendue de prés où paisaient des chevaux et des champs cultivés . Le foin aurait tôt fait d'être coupé . Un cheval à la robe clairsemée vint acceullir Marie , au trot . Elle reconnu Stendag , le splendide cheval de race lusitaniènne de son père . L'étalon levait haut les genoux , et sa queue flottait au vent comme la bannière d'un quelconque club de suporters de sa beauté naturelle ou de sa souplesse légendaire . De nouveau , Marie s'arrêttat . L'étalon s'approcha sufisament près pour que Marie puisse le caliner un peu . Stendall était la star de l'élevage du manoir d'Ourangour . En plus de faire des compétitions de dressage , il était le reproducteur du haras . Marie l'appréciait pour son carectère volontaire et toujours pret à travailler . Grace à lui , son père avait résussi à reprendre le dessus après la mort de sa mère . Mais à présent , Mathias passait le plus clair de son temps en voyage d'affaire , et avait conclù que l ' aprentissage de figure de spectacle équestre de Stendag ne répondait plus de lui . Le bel étalon blanc resta ainsi des jours à jongler entre le pré , le padock et l'écurie . Bizarement , ce fù grace à Tante Sophie s'il réussi à faire prospérer ses qualités pour le spectacle . La mauvaise femme , avarre de richesse et de célébrité , avait vù en Stendag une chance de se faire connaitre et de gagner de l'argent plus qu'un pauvre animal laissé dans son ennui . Elle avait suppié Mathias de le remettre au travail et , comme les résultats étaient brillant , il accepta d'engager un entraineur spécialisé en la matière . Six mois plus tard , le Haras d'Ourangour donnait son tout prmier spectacle équestre , dont la star était bien évidamment Stendag . Il avait exécuté à la perfection pirouette , cabriole et piafer , ainsi que bien d'autres figures de dressage de haut niveau . Rapidement après cette représentation équestre , le haras était le sujet de presque toutes les conversations de Mauron , et des environs de la commune . Ce qui ravissait Tante Sophie . Marie lissa le poil luisant de sueur de l'étalon . Apparement , l'animal avait sùbit une scéance d'entrainement il y à peu... Marie se demanda qui avait été chargé de le monter . Peut-être Jacques , le palefrenier ( mais qui avait d'assez bonnes notions d'équitation ) ou bien Natacha ( alias Tacha ) la cavalière/ entraineuse . Elle s'amusa à nouer et dénouer les tresses de la crinière du cheval blanc , et décida de reprendre son chemin . Le sentier ne faisait pas un kilomètre , mais si elle continuait à s'arretter toute les cinq minutes , elle n'était pas arrivée ! |
Par satana : le 08/07/08 à 15:23:26
| Dire merci | Dans l'écurie principale , Marie rencontra Natacha . La jeune femme sortait Eclypse de son box . La jument avait des bandes de repos aux tendons . " - Salut , Tacha ! Contrairement aux relations qu'entretenait Marie avec Elisa et Thomas , Tacha ne se gênait pas pour tutoyer l'adolescente . Celle-ci non plus . - Coucou . Tu viens voir Alwais ? Il est dans le box numéro 17 , si tu le cherches... Marie haussa les sourcils : - Le 17 ? Mais , c'est le box d' Enchanteur , normalement ! Puis , après avoir croisé le regard triste de Tacha , elle se reprit : il y a un problème , Tacha ? - Il se fait vieux . Ton père veut le mèttre à la retraite , dans le pré toute l'année . Il a mérité une belle fin de vie , tu ne crois pas ? - Si...si , bien sur . Dans quel pré est-ce-qu'il serat ? Il serat tout seul ? - Non , répondit la cavalière . Ce bon gros pèpèrre vivra dans le pré de retraite de P'tibilou et Pacifique . Ils s'entendent bien , et puis les chevaux aiment la compagnie , c'est bien connù..." Marie laissa la jeune femme rousse à son travail , et s'approcha du box numéro 17 . A l'intérieur , un beau hongre de robe souris somnolait . Marie ouvrit les loquets de la porte , et appella son grand poney . L'animal ne prit même pas la peine d'ouvir les yeux , ne serais-ce que d'un milimètre . A la place , il fit efectuer des mouvements de rotation à ses oreilles . Les oreilles des chevaux étaient semplabes à celles des chats : elles sétaient mobiles . " - Hé , Gros...tu veux aller te promener ? Il fait beau , dehors . Il faut en profiter , tu ne crois pas ? Le new-forest souffla par ses naseaux , comme s'il comprenait sa jeune maitresse . Marie partit chercher de l'aide dans l'écurie , comme il lui était impossible de faire rouler son fauteuil sur de la paille . Ce fut Thomas qu'elle croisa en chemin ... Elle lui exposa sa situation , et il ne pù faire que de la suivre dans le box de Alwais . Il ne lui acorda pas même un regard , indiférent , comme si leur disputte d'il y avait un quart d'heure n'avait jamais eut lieu . Lorsque Alwais fù sellé , et Marie en tenue de cavalière (vestiaire à côté des écuries ) Thomas conduisit le duo dans la cour goudronnée . Le poney piaffa d'impatience . Il avait tres envie de partir...tout comme sa cavalière ! Thomas souleva Marie de terre pour la déposer en travers de la selle de Alwais , tel un sac à patate... Marie poussa sur ses bras pour se mettre dans la position à califourchon . Enfin , Thomas saisit deux lanières de cuir qu'il avait pris dans la sellerie , et fixa les chevilles de Marie aux étrillers . - Merci , remercia-t'elle d'une voix plate . Vous pouvez disposer , Thomas ... - Je vous en prie , tout le plaisir était pour moi , Mademoiselle...le domestqie ne pù aller plus loin : le regard incendiaire de sa jeune maitresse lui coupa la parole . - Ne m'appellez pas Mademoiselle , siffla-t'elle . Ou sinon , ce sera moi qui aurait le plaisir de vous faire renvoyer... Thomas s'inclina légèrement , imperturbable . Puis , lorsque le serviteur se fù éloigner sufisamment , Marie dit à son double poney : - Prèt , Alwais ? " Le duo cavalier / cheval s'éloigna d'u pas souple et régulier vers les sentiers menant à maintes ballades dans la rase campagne . |
Par satana : le 08/07/08 à 15:23:49
| Dire merci | De retour au manoir , lorsque le soleil commençait à se coucher , Marie fù prise d'anguoisse . Elle avait completement oublié son père... A cette heure tardive , il devait être revenù à un état potable , après avoir cùvé son vin . Elle ne lui avait pas dit qu'elle partait se promener à cheval sur les terres du manoir . Si Thomas ne lui avait rien dit , elle allait recevoir un savon... Mathias n'était pas trop sévère , mais tres strict sur les heures de dîner , souper et autres horaires à respecter . Un jour , Marie avait fait la grasse matinée , et elle avait donc étée en retard à son cour de mathématiques . Son père l'avait punie d'un mois sans équitation . Une si grande contrainte pour un si petit chamboullement deprévisions !!! La jeune fille confia Alwais à un palefrenier , et alla se changer en quatrième vitesse après avoir retrouvé son fauteuil roulant . Puis , elle se dirigea vers le manoir . " Si Thomas a parlé à papa , il n'y aura que du silence . Si papa n'était au courant de rien , je vais recevoir un flot de parole sur la figure , en plus de quelques postillions égarés . Chouette , les employés offrent même un supplément " ! ironisa Marie . Elle pénétra dans la hall carrellé . Pour l'instant , rien . " Tant mieux ! Finalement , peut-être que Thomas a eut le bon sens d'avertir papa..." Dans la cuisine , une odeur délicieuse de canard à l'orange chatouillat les narines de Marie . Elle sourit de soulagement . Son père était là , adossé à un évier d'alumium , l'air serein et pas du tout inquiet . Il dictait quelques recomandations de dernière minute au chef cusinier : " - Souvenez-vous , Brice : je veux que ce repas soit près pour demain midi , pas une minute de plus ! C'est un tes gros contrat qui est en jeu , je ne vous permettrait pas de tout gacher..." Mathias venait d'appercevoir Marie , affalée et fatiguée dans on fauteuil roulant . Il parù gêné un instant , mais dit d'une voix neutre : |
Par Maihime : le 08/07/08 à 15:24:08
| Dire merci | ok, juste pas de "t" a la 3eme personne du singulier aux verbes du 1er groue (trouva pas trouvat) ^^ parce que je te jure c'est dur pour moi de lire ce genre de faute comprends moi lool (mais j'ai pas compris ton histoire d'éditeur et tout lol ) |
Par satana : le 08/07/08 à 15:24:47
| Dire merci | " - Ah , Marie...tu tombes bien ! Accepterais-tu de goùter la sauce du Chef ? Sauce forestière aux champignons et à la fleur de fraise des bois...ce nest pas courant , comme recette ; mais c'est exquis ! Goùtte , tu verras par toi même . Après que Marie eut goùté la fameuse sauce forestière pour faire bonne mesure , Mathias s'en retournat à ses paperasses . Mais avant cela , il enjoingnit Marie de le suivre dans la salle de billard . Le père prit soigneusement une perche brillante de propreté , et enleva le triangle qui retanait les billes . - Je suis désolé , pour ce matin , commenca-t'il . J'ai quelques ennuis avec un riche homme d'affaire de Paris , et je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit . Tu sais comment c'est ...on désespère de rester fatigué le lendemain , on lit en espérant que le someil viènne...Mais il n'est pas venù . Mathias s'arrêtta un temps , pour prendre le temps de viser une bille rouge . - Ce n'est rien , tu sais , je me doùtais un peu que ce serais quelque chose dans ce genre là , que tu me sortirais comme excuse... - Mais je ne cheche pas des excuses ! s'indigna Mathias . Non , je me suis réfugié un court instant dans la boisson . Mais cet instant s'est révélé plus long que prévù , et le lendemain matin , j'étais îvre . - Je t'ai pardonné juste après notre entre-vue , tu sais , je criai un peu , mais juste pour la forme...béguayat Marie . Elle craignait que son père ne se souviènne de sa ruse pour lui soutirer des informations . Mathias secoua ses cheveux bruns et darda ses grands yeux bleus sur une boule récalcitrante . Une seconde plus tard , cette ernière finisait au fond d'un trou . - Je sais , que tu m'as pardonné . Tu es incapable de rester fachée contre moi bien longtemps , je te connais , tu sais ! assura l'homme d'un ton amusé . Marie transpirait légèrement . Assise au fond de son fauteuil rutilant , elle se sentait vulnérable , comme exposée à un grand danger . - Mais je dois te parler , Marie . Tu as abusé de mon état pour me dérober quelques informations qui n'avaient aucunes raison de t'aller . Je suppose que tu as enquètté sur ce misérable Théo ? j'ai encore rien écrit d'autre après laissez-moi le temps de terminer le chapitre 4 et je vous le poserais plus tard  |
Par Maihime : le 08/07/08 à 15:32:41
| Dire merci | . Elle reconnu Stendag , le splendide cheval de race lusitaniènne de son père . L'étalon levait haut les genoux , et sa queue flottait au vent comme la bannière d'un quelconque club de suporters de sa beauté naturelle ou de sa souplesse légendaire . De nouveau , Marie s'arrêttat . L'étalon s'approcha sufisament près pour que Marie puisse le caliner un peu . Stendall était la star de l'élevage du manoir d'Ourangour . En plus de faire des compétitions de dressage , il était le reproducteur du haras . stendag stendall l'étalon a deux noms? xD |
Par satana : le 08/07/08 à 15:39:00
| Dire merci | ouuups stendag est le du nom de l'auteud sthendall , et je confond c'est bien Stendag , et nom l'autre...nom . et pour les trouva et pas trouvat , j'ai compris , mais j'oublie toujours... |
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