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Cheval-auxiliaire de soins psy...

Sujet commencé par : dilou - Il y a 24 réponses à ce sujet, dernière réponse par dejavu
Par dilou : le 26/03/21 à 14:34:58

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La petite-fille d'une amie est dans un sale état psy : ado à problèmes, anorexie, cannabis, tentative de suicide, idées noires... Pas de place en hôpital psy pour elle, elle est donc chez elle sous surveillance continuelle des parents; rien de pire pour une ado à mon avis, mais que faire d'autre.... bref.
Elle a fait du cheval plus jeune, elle a déjà monté ma Fany.
Or elle a dit à ses parents qu'en fait la seule chose qu'elle aimait vraiment , c'étaient les chevaux.
Du coup mon amie me demande si elle pourrait venir voir les miens à l'occasion. Je trouve que c'est une bonne idée, parce que je crois très fort à l'effet apaisant des chevaux.
Mais j'ai besoin d'avis : qu'est-ce qui pourrait lui faire le plus de bien ? Pansage, balade à pied, travail à pied, monte en carrière, sieste dans le pré ?
Elle aura peut-être ses propres demandes, mais je voudrais pouvoir l'orienter vers ce qui peut lui faire le plus de bien.
D'ailleurs je ne suis pas chaude pour la faire monter, elle n'est plus licenciée, c'est une grosse responsabilité.
S'il y a ici des personnes qui ont ce type d'expériences....

Messages 1 à 24, Page : 1

Par cicitt : le 26/03/21 à 14:54:59

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Les chevaux sont en effet extraordinaires pour cela. Je crois que sans eux je n'aurais pas survécu...

De quoi a-t-elle envie, elle?

Est-ce que l'équithérapie est envisageable financièrement? Il y a pas mal d'équithérapeutes dans le coin.

Pas de place en hôpital psy pour elle C'est vraiment dramatique et pas près de s'arranger

Par Le Pex : le 26/03/21 à 14:58:16

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Je la laisserais te dire ce qu’elle a envie de faire et ce dont elle a besoin. Il est fort probable qu’une des raisons pour lesquelles elle recherche le contact d’un animal, c’est ce côté « sans jugement », ne pas devoir être comme ci ou comme ça, ne pas devoir entrer dans une norme, etc.

Elle va sans doute apprécier de pouvoir gérer elle-même et de pouvoir prendre ses décisions, sans qu’on lui impose quelque chose. Bien sûr dans les limites de sa sécurité et de celle des chevaux.

Par Pili : le 26/03/21 à 15:08:39

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c'est bien sûr super gentil de vouloir l'aider au travers des chevaux. Ce sont effectivement de super médiateurs et je pense que tout ce qui fait 'bouger' est idéal pour un bon shoot d'endorphines.

Maintenant sans vouloir faire ma psy de comptoir, reste à voir si elle ne demande pas ça pour voir jusqu'où elle peut aller trop loin vis à vis de ses parents (genre je veux un cheval). Mon père avait fait ça il y a très longtemps, pour que j'arrête mes 'conneries' il m'a acheté un cheval dont je devais m'occuper et financer 100% moi même, le remède a été radical mais j'en ai bavé, je le voulais, je l'ai eu, l'épée de Damoclès au dessus de la tête et la débrouille pour payer ce qu'il fallait.

Par dilou : le 26/03/21 à 15:40:11

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Dans son cas, je ne pense pas ! Ce serait peut-être thérapeutique, mais risqué

Par paquerette20 : le 26/03/21 à 15:54:58

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D'ailleurs je ne suis pas chaude pour la faire monter, elle n'est plus licenciée, c'est une grosse responsabilité.

Idée peut-être "bête" mais (à moins qu'il y ait une problématique budgétaire), est-ce que ce ne serait pas intéressant de lui faire prendre une licence ? Car la licence , à mon sens, ce n'est pas que quand on monte mais bien justement pour tout ce qui est pratique autour du cheval aussi. Et peut-être que ça peut lui donner une forme "d'engagement psychologique" d'avoir une licence ?

Par SweetFee : le 26/03/21 à 16:04:26

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Je pense qu'au fur et à mesure elle va te demander ce qu'elle a envie de faire. Effectivement je ne la ferai pas monter mais tu peux déjà lui montrer tout ce qu'il y a faire autour du cheval pour son bien être. Et après pourquoi pas du travail à pied ou longe si elle est intéressée? Si ça se passe bien tu pourrais lui confier des choses simples et qu'elle fait seule, c'est très gratifiant de "savoir" s'occuper d'un animal seul.
Perso je ne lui demanderai pas une licence pour les premières fois, ça fait un peu "obstacle". Mais si ça se passe bien et qu'elle vient souvent oui je lui demanderai aussi je pense.

Par Le Pex : le 26/03/21 à 16:30:04

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Mais du coup, on te demande de faire un accompagnement psy ou juste qu’elle puisse venir au contact des chevaux ?

Par kirikou : le 26/03/21 à 17:09:09

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Si elle a juste envie de monter à cheval et que ça peut lui faire du bien, il ne faut pas hésiter (et voir avec l'assurance habitation qui peut couvrir les risques liés à l'équitation, ça dépend des cas).
Mais il ne faut pas confondre "faire du bien" et "soigner".
L'équithérapie ça existe depuis un bout de temps, ça peut l'aider, mais ça ne s'improvise pas. Par contre, je n'ai aucun doute sur les bienfaits.

Dans la cas présent, si cela lui offre ne serait-ce qu'une bouffée d'oxygène, faut pas hésiter

Une connaissance fait de l'équithérapie, son site explique bien les choses :
Lien
Si tu as FB, n'hésite pas à la contacter, elle peut peut-être te conseiller quelqu'un dans ton coin : Lien

Par dilou : le 26/03/21 à 17:25:24

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on te demande de faire un accompagnement psy ou juste qu’elle puisse venir au contact des chevaux ?
Ah non, pas d'accompagnement psy, je n'ai aucune compétence pour ça.
Juste le contact avec les chevaux.
Je me souviens d'un jour où mon fils était mal dans sa peau. Il était venu voir les chevaux, et rien que de rester un moment avec eux dans le pré, il m'avait dit se sentir apaisé.
Je pense à cela, mais comme c'est une ado, peut-être quelque chose de plus actif. Je cherche quoi lui proposer : l'idée de la longe me semble bonne, par exemple.
Si elle veut vraiment monter, elle peut aussi aller dans un club, je ne suis pas sûre qu'elle relève de l'équithérapie.

Mais merci pour les liens kirikou


Message édité le 26/03/21 à 17:26


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Par Le Pex : le 26/03/21 à 18:58:31

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Dans ce cas, demandes-lui juste ce qui lui ferait plaisir, le but n’est pas de la soigner, mais de lui apporter ce qu’elle attend. Elle se contentera sûrement du contact avec les chevaux, les toucher, les brosser. Laisses-la décider ce qu’elle a envie de faire.

Par dilou : le 26/03/21 à 19:08:24

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La laisser faire, oui, mais il y a des activités auxquelles elle ne penserait pas forcément, comme longer ou faire du TAP. Comme elle a appris en club quand elle avait moins de 10 ans, je pense qu'elle ne connaît que deux choses : panser et monter.

Par Erzebeth : le 26/03/21 à 19:11:14

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Ben justement, effectivement lui apprendre tout le côté "gestion du cheval" ça peut lui ouvrir d'autres horizons et c'est valorisant!

Par Erzebeth : le 26/03/21 à 19:14:20

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Ce qui est bien avec le cheval, c'est que c'est tellement varié qu'il y a forcément un angle d'attaque qui peut l'accrocher... ça peut être de l'aspect sportif, l'aspect proche de la nature, ou plutôt le côté scientifique de la compréhension de l'animal avec la biologie et l'éthologie, l'aspect "techniques agricoles", l'aspect historique également, car il y a beaucoup à dire, ou tout simplement prendre plaisir à soigner et papouiller les animaux... En fonction de son profil, plus ou moins intellectuel, plus ou moins active, plus ou moins introvertie... tu peux t'adapter. D'autant plus que tu es pédagogue.

Par equifeel : le 26/03/21 à 20:30:51

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J'ai fais de la médiation animale avec des équidés.
Clairement c'est un super support pour aider à traiter des pathologies spy.
La plupart des clients des IMA (intervenants en médiation animale) et équithérapeutes sont d'ailleurs les handicapés, les troubles du comportements/ maladies spy et personnes en maison de retraite.

Je te déconseille de la faire monter. sans licence c'est trop risqué et ça va te retomber dessus. Par ailleurs, si eel est sous médocs, ça peut être une contre indication.
Pour ce qui est de brosser, de faire brouter le cheval, de juste le caresser, c'est déjà bc en soi.

Pour le travail à pied, c'est quite ou double. avec des personnes fragiles, ça peut les mettre face à leur fragilité, leur donner une grosse claque (le cheval est le miroir de nos émotions) et si elle n'y est pas prête, ça peut être violent pour elle. faut pouvoir gérer avec elle tout ceci, elle peut très mal prendre les réactions du cheval, le fait de se retrouver en échec.
Clairement, le travail à pied, "l'éthologie" est très utile en thérapie par le cheval. Mais ça demande un minimum de savoir gérer le truc du côté de l'humain atteint de maladie spy.

Par dilou : le 26/03/21 à 21:07:01

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Merci equifeel , ton témoignage est intéressant. Effectivement, le travail à pied, si c'est pour être en échec... Surtout que Fany n'est pas un sujet facile.
C'est pour ça que je pensais plus à la longe, où elle se conduit bien : il me semble que ça exige calme et constance, et que c'est facilement gratifiant, dès que le cheval fait ce qu'on lui demande.

Par dejavu : le 26/03/21 à 21:31:00

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Reste simple.
Contact, pansage, ramassage de crottins, soins divers, emmener brouter, nettoyer les cuirs, entretenir le pré, balayer.
Rien que ça, ça fait du bien et le cheval va sentir aussi ce dont elle a besoin et provoquer des réactions.

Par dilou : le 26/03/21 à 21:51:01

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@dejavu : elle a 15 ans, je ne suis pas sûre qu'entretenir les cuirs, balayer et ramasser les crottins (de toute façon, ils sont au pré ) la passionne. Il faut vraiment qu'elle soit au contact du cheval.

Par NezLaine : le 26/03/21 à 21:59:22

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Sans avoir de soucis psy ou quoi que ce soit, je panserais Fany et Kachou bien volontiers, avec des gratte-gratte en plus

Et sinon oui, j'imagine une jeune de 15 ans pas super emballée par l'entretien de la structure ou du matériel, plus par le contact avec les animaux

Par dilou : le 26/03/21 à 22:08:54

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nezlaine , c'est quand tu veux ! 😊

Par NezLaine : le 26/03/21 à 22:10:26

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Bein c'est que je suis pas à côté et j'ai un conjoint ultra allergique aux chevaux, sinon je crois que j'aurais cherché des poneys à gratte-gratter par chez moi
Du coup tu devras faire des grattouilles à tes deux grands quadrupèdes de ma part

Par K.Zel : le 27/03/21 à 00:38:53

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ça rejoint equifeel, mais regarde peut-être du côté de l'equicie, tant pour l'accès à un pro ou sinon peut-être pour des conseils ?
Ici, on a fait du soutien à un moment, déjà un paquet d'années en arrière. Sans préciser de trop, c'étaient des enfants danseurs pros. C'était pour leur offrir une bouffé d'air frais. Avec les plus jeunes, c'était de l'ordre du pansage, des grattouilles, pour les plus grands, c'était ça + du travail en liberté (avec un gamin en particulier) J'avais un cheval topissime en travail en liberté, donc on les mettait ensemble dans le rond de longe et je les laissais en tête-à-tête, en surveillant de loin, ça faisait du bien au gosse d'avoir cet instant privilégié sans adulte derrière lui.
On n'a jamais fait monter personne, parce qu'il était impératif que personne ne se blesse (valable pour tout le monde bien sûr, mais là ça pouvait pourrir leur carrière en sus)
Ce que j'ai noté, au final, avec ces gosses qui étaient parfois ultra stressés, c'est que ce qu'ils appréciaient, c'est qu'on les laisse avec les poneys. Ils avaient leurs consignes de sécurité et s'y tenaient bien, et on restait à surveiller, bien sûr, mais en retrait.
Après, on a fait ça au feeling, il y a 20 ans (pas le même rapport aux normes de sécurité tout ça) je ne dis pas que c'est la voie à suivre, juste un partage d'expérience à ce sujet.

Par equifeel : le 27/03/21 à 06:53:01

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Ce n'est pas dis que l'entretien du matériel ne l'intéresse pas.
Jeune, j'adorais entretenir le matériel de ma jument, je ne voyais pas ça du tout comme faire une corvée. Ni même que balayé la courre derrière nous. Lui faire faire les cuirs alors qu'elle ne monte pas, peut être pas mais nettoyer ce qu'elle utilise peut lui plaire.
Quand il y a des soucis psy, faire des tâches manuelles hyper simples, répétitives de ce type là a un effet apaisant et rassurant ainsi que d'instaurer un rituel.
Par ailleurs, si elle est dans l'idée de faire des soins à Fanny, de la panser pour lui faire du bien, ça lui fera sans doute plaisir de bien entretenir le reste, pourquoi pas customiser son licol (soigner l'animal, dans le sens l'entretenir pour panser ses propres plaies psychologiques, faire du propre autour de soi pour faire du propre dans sa tête).
Il est aussi possible qu'elle prenne bc de plaisir à lui préparer un mach où il faudra découper les pomme et carottes en tout petit bout, où faut faire tremper assez longtemps, bien remuer avec les doigts (si elle accepte de se les salir, sinon, c'est aussi un truc à trvailler)
Quand j'ai bossé avec un groupe d'ados d'IME avec troubles autistiques ++ ou style schizophrènes, dont bc ne parlaient pas, on passait bc de temps à regarder els chevaux et ânes (on bossait surtout avec eux) au pré puis à aller les chercher et à les brosser. certains montaient, sur les 3h où ils étaient là, ça représentait 15 min max.
Le principale d ela thérapie était juste avoir un contact avec l'animal et avoir juste ce contact là avec l'animal était énorme pour eux (par ex, il y avait une jeune de 15 ans atteinte d'énurésie, lors de la séance, aucun accident et ça durait les qq jours suivant. une autre qui ne parlait pas du tout ne le faisait qu'avec les ânes, dans son langage).

J'insiste sur un point : ne prends strictement aucun risque. Port du casque même pour brosser. elle même est mal mais il y a derrière tout une famille qui va mal. En cas d'accident, ils te chercheront à coup sûre des noises.
Donc vraiment, reste simple.
Si elle brosse fany et passe 2h a lui faire des nattes, ça sera très bien.

Par dilou : le 27/03/21 à 09:02:29

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Merci beaucoup de vos retours d'expérience kzel et equifeel !

Par dejavu : le 27/03/21 à 10:23:27

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dilou on ne sait pas... cela fait partie du "être en contact avec les chevaux". Mon petit poney Shet a "soigné" ainsi de nombreuses petites filles et quelques grandes. Pas forcément en effectuant elles-mêmes les tâches mais en y assistant et en en parlant.
L'une d'entre elle s'est passionnée à 9 ans pour le pied nu, elle a même organisé que toute sa classe vienne voir sur place "son" poney pour leur expliquer le pourquoi et le comment de ne pas ferrer, de vivre en liberté etc...

Une autre qui était harcelée à l'école à cause de son poids passait surtout du temps à brosser et à marcher ou courir à côté du poney ce qui lui a redonné de l'assurance. J'ai dû hélas déménager mes chevaux, ce qui a été triste pour elle mais en lui permettant si elle le voulait, de venir à ma nouvelle pension. Cela n'a pas été utile, le déclic dont elle avait besoin avait eu lieu.

Une autre qui était paniquée par les chevaux et poneys s'est habituée peu à peu au contact en faisant justement des choses tout autour et en constatant la non dangerosité de l'animal. je l'ai retrouvée par hasard 10 ans plus tard... elle était cavalière de dressage. ;-)

Et puis une adulte aussi qui avait peur des chevaux. La taille du poney l'a remise en confiance. Un jour elle a osé s'asseoir sur mon cheval, sans selle (je tenais la longe) et s'allonger contre son encolure... et tout à coup elle a éclaté en sanglots... elle a pleuré longtemps et est descendue radieuse.

Toutes ces personnes ont été des rencontres de hasard car je ne suis pas thérapeute, par contre mon poney l'était vu le nombre de chevaux et d'humains qu'il a assisté. Et il n'était absolument pas une "brave bête", loin de là. Une petite fille qui voulait le monter, pour le monter et c'est tout s'est fait virer illico.

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