Question de français ...
Sujet commencé par : PirOuline - Il y a 5 réponses à ce sujet, dernière réponse par Capsou13Par PirOuline : le 16/04/10 à 15:35:02
| Bonjouuuuur !  Je poste car j'ai un petit problème; je haiiiiiiis le français. Si le français était quelque chose de matériel, je le massacrerais à l'arme blanche. Mais en fait, c'est pas vraiment ça le problème. Le problème c'est que j'ai pas beaucoup écouté la prof en classe ces derniers temps, j'ai loupé le dernier chapitre et je me suis bien ramassée au contrôle sur ledit chapitre. Il se trouve que ce chapitre s'intitule "Conjonctions de coordinations/subordinations et juxtapositions" ... Il me semble avoir déjà entendu ces mots en primaire, mais déjà petite je détestais le français. J'aimerais quand même me faire une petite synthèse pour les exams de fin d'année et vu que mes feuilles de cours (non complètées bien sûr  ) ne m'ont pas été d'une grande utilité pour comprendre de quoi il était question, j'espèrais qu'une ou deux âmes charitables (calées en français de préférence) pourraient me renseigner sur le sujet ?  |
Messages 1 à 5, Page : 1
Par Ocgerenie : le 16/04/10 à 15:45:18
  Déconnecté | google est ton ami, suffit de taper ta phrase entière telle quelle, et hop plein de lien explicatif  |
Par Ocgerenie : le 16/04/10 à 15:45:58
| Déconnecté | Proposition : En grammaire scolaire, une proposition est un syntagme articulé généralement autour d'un verbe (s'il n'y en a pas, la proposition est dite elliptique). Cette notion est surtout utilisée dans l'apprentissage des langues: cela sert dans les cours de français des élèves. Coordination : En grammaire, la coordination, ou parataxe syndétique, est un type de relation syntaxique entre deux unités parallèles (mot, syntagme ou phrase), de même statut hiérarchique, ou mieux, de même fonction syntaxique. La relation de coordination est marquée par l'utilisation d'un mot-outil coordonnant, soit une conjonction de coordination, soit un adverbe de liaison. Une personne pauvre mais honnête. Les deux adjectifs qualificatifs « pauvre » et « honnête » (épithètes du nom « personne ») sont coordonnés par la conjonction de coordination « mais ». Il est presque toujours possible de permuter la position de deux unités coordonnées : Chiens et chats se disputent quelquefois. Les deux unités coordonnées « chiens » et « chats » (formant le sujet du verbe « se disputent ») peuvent être combinées de manière différente sans modifier l'essentiel du sens du message : « Chats et chiens se disputent quelquefois ». Il peut cependant arriver que la coordination soit réalisée sans aucun mot-outil autrement dit, par simple juxtaposition : Travaillez, prenez de la peine. (Jean de La Fontaine - Le Laboureur et ses Enfants) Les deux propositions injonctives « Travaillez » et « prenez de la peine » sont simplement juxtaposées. Juxtaposition :En grammaire, la juxtaposition, ou parataxe asyndétique, est l'introduction d'une unité syntaxique quelconque sans la médiation d'un mot-outil (on peut dire aussi asyndète ou encore, corrélation implicite). * Le plus souvent, les relations syntaxiques élémentaires, coordination et subordination sont marquées par un mot-outil, c'est-à-dire, par un coordonnant, dans le cas de la coordination (conjonction de coordination ou adverbe de liaison), et par un subordonnant, dans le cas de la subordination (préposition, conjonction de coordination, pronom relatif ou encore, outil interrogatif ou outil exclamatif). Il peut cependant arriver que ces deux relations de base soient réalisées sans aucun mot-outil autrement dit, par simple juxtaposition, l'unité juxtaposée pouvant ou non être encadrée par des virgules : Le drapeau bleu, blanc, rouge. / Le drapeau bleu, blanc et rouge. Les trois adjectifs qualificatifs « bleu », « blanc », « rouge » (tous trois épithètes du nom « drapeau ») sont coordonnés, par juxtaposition dans le premier exemple, et au moyen de la conjonction de coordination « et » dans le second. Une chemise blanche. / Une chemise de toile. L'adjectif qualificatif « blanche », épithète du nom chemise, est subordonné par juxtaposition. Le nom « toile », complément du nom « chemise », est subordonné par la préposition « de » (subordonnant). * Lorsqu'un nom ou un adjectif qualificatif, est satellite juxtaposé, et qu'il peut être déplacé, il s'apparente alors à une apposition : Le chat immobile guette la souris. Le chat, immobile, guette la souris. Immobile, le chat guette la souris. Le chat guette la souris, immobile. L'adjectif qualificatif « immobile » (satellite) est épithète du nom « chat » (noyau). Il s'agit d'une épithète liée, dans le premier exemple (subordination par juxtaposition) et d'une épithète détachée (ou apposition) dans tous les autres. * Remarques - L'apposition est donc un cas particulier de subordination par juxtaposition, dans laquelle un satellite se trouve détaché (déplacé ou disjoint) de son noyau, et encadré par des signes de ponctuation (des virgules, le plus souvent). - Pour certains grammairiens, la juxtaposition ne concerne que la seule coordination. Subordination :En grammaire, la subordination est la relation syntaxique entre deux unités de statut différent (mot, syntagme ou phrase), et dont l'une dépend de l'autre. Il conviendra donc de distinguer : d'une part « l'unité de statut supérieur » (ou noyau du syntagme), d'autre part « l'unité subordonnée » (ou satellite du syntagme), cette dernière remplissant une fonction par rapport audit noyau. ==> http://fr.wikipedia.org/wiki/Subordination_%28grammaire%29 |
Par PirOuline : le 16/04/10 à 15:49:11
| Bonne idée j'y avais pas pensé ! J'ai pas encore tout compris mais certaine choses sont déjà plus claires ! Merci ! |
Par Keanjha : le 16/04/10 à 16:11:39
| Dire merci | Conjonctions de coordination/ subordination et les juxtapositions font partie de la phrase complexe (qui contient plusieurs verbes conjugués). La juxtaposition, c'est quand tu as deux propositions séparées par un signe de ponctuation (virgule, deux points ou point-virgule). ex : Il est présent : il a pu se libérer La conjonction de coordination (cf. la fameuse "phrase" : mais, où, et, donc, or, ni, car) relie des propositions. ex : il est présent car il a pu se libérer. La conjonction de subordination (que, quand, lorsque, comme, si, parce que...) introduit une proposition complément ou subordonnée. ex : Il est présent parce qu'il a pu se libérer. Je vais à l'essentiel. Cela dit, ce serait plus simple si tu écoutais en cours (je suppose que tu le sais déjà). |
Par Capsou13 : le 16/04/10 à 16:21:21
| Dire merci | Faut pas aller sur n'importe quels sites quand on veut se renseigner là-dessus...  Lien |
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