Besoin d'aide : la boulimie.
Sujet commencé par : ginie - Il y a 20 réponses à ce sujet, dernière réponse par giniePar ginie : le 18/11/09 à 16:16:50
| Dire merci | j'essai d'aider mon meilleur ami... je suis la seule a être au courant: il a 24 ans et apparement souffrirait de boulimie. vers quels spécialistes nous tourner ? il ne se sent pas spécailement prêt à consulté mais il me fait confiance et accepte mon aide... comment savoir si il s'agit bien de boulimie... ça dure depuis il me semble l'âge de 10/12 ans... je suis inquiète car il peu presque être considéré comme sportif de haut niveau (en tout cas le sport est son métier et il pratique plus qu'untensivement) et cette année il a été hospitalisé pour ménengite et mononucléose... serait ce en rapport  |
Messages 1 à 20, Page : 1
Par Loustix : le 18/11/09 à 16:20:00
| Dire merci | J'espère que tu pourras l'aider...  |
Par ginie : le 18/11/09 à 16:21:50
| Dire merci | Merci... c'est quelqu'un de bien qui le mérite vraiment. |
Par melek : le 18/11/09 à 16:35:36
  DéconnectéDire merci | Je cite mon cours. La boulimie consiste en des épisodes de compulsion alimentaire ( qui s'apparentent à des crises ), au cours desquels la personne mange une très grande quantité de nourriture de manière incontrôlée. Elle utilise ensuite des moyens pour éliminer l'excès de calories ingérées, en se faisant vomir, en utilisant des laxatifs ou des diurétiques, en faisant de l'exercice physique ou en s'imposant des restrictions alimentaires de type anorexique. Il arrive que des personnes combinent plusieurs moyens. Si c'est son comportement alors oui, il y a un risque pour que ce soit de la boulimie. Purée menigite+ mono, galère La mono, la "maladie du baiser" tu l'attrapes vie la salive... donc d'une manière ou d'une autre Mais le fait de ne pas manger "correctement" ça affaibli un peu la personne qui se retrouve plus sensible et c'est moins simple de récupérer etc Message édité le 18/11/09 à 16:36 |
Par Sa_Black_Rah : le 18/11/09 à 16:29:50
| Dire merci | Médecin généraliste je pense pour commencer, qui saura au mieux l'orienter. Ensuite, je pense que c'est nutritionniste et diététicien avec un suivi auprès d'un psychologue. |
Par 4patt : le 18/11/09 à 16:30:31
| Dire merci | ben écoute je regardais confession intime hier soir et justement y avais 2 filles boulimique en faite d'après ce que j'ai pus comprendre dès qu'elle commencent a manger elles peuvent plus s'arrêter jusqu'à ce que leur corps finisse par dire non quoi et hop au toilette in petto pour tout revomir sinon dès qu'elle se regardent dans le miroir elles se croient grosse et tout les matin leur premier réflexe ce'st d'aller sur la balance la première s'en est sortie grâce au film de confession intime elle c'est vue tel quel était et sa lui a permis de comprendre qu'elle avait un problème et donc elle c'est rendu dans un endroit ou les filles qui ont toute ce problème parlent entre elle de ça et elle a pus s'en sortir grasse a ca pour la deuxième fille ben la suite dans un prochain épisode  |
Par ginie : le 18/11/09 à 16:40:20
| Dire merci | Je suis allé sur le site officiel de la boulimie... ils disents que ça passe exclusivement par des groupes de parole et une prise en charge psychologique pour traiter la boulimie... mais il y a de nombreux spécialistes en psychologie ? psychologue clinicien ? où trouver des groupes de paroles (le site propose un forum maisça beug, je ne peux y aller...) ils disent que le médecin généraliste ne peut être utile que dans le traitement des conséquences éventuelles de la boulimie (soucis de remontée d'acide gastrique, soucis cardiaque, etc.)... et comment savoir si ces soucis de santé dernier sont liés ??? Du coup il noie ses soucis dans son boulot et y a quelques mois encore il ne dormait que 2 ou 3 heures par nuit (alors qu'il se tue en tant que sportir et en tant qu'entraineur sportif)... J'ai au moins réussi à lui imposer plus de sommeil  |
Par melek : le 18/11/09 à 16:49:13
| Déconnecté Dire merci | Bon, je me répète, mais quand tu manges moins, ton organisme est moins fort donc moins apte à se défendre. Après, tu choppe un inoculum "fort" (ce qui est le cas de la méningite, la mono,...) alimentation correct ou pas, tu vas tomber malade |
Par ginie : le 18/11/09 à 17:08:16
| Dire merci | oui mais le boulimique ne mange pas moins si j'ai bien compris... il mange mal. J'imagine que ça créé tout de même de gros désordres... Message édité le 18/11/09 à 17:09 |
Par melek : le 18/11/09 à 17:14:57
| Déconnecté Dire merci | Il mange moins dans le sens où si il se fait vomir, il n'a pas ou très peu d'apport de protéines, glucides,lipides... tout ce qui nous fait fonctionner. |
Par ginie : le 18/11/09 à 17:27:46
| Dire merci | c'est peut être bête mais je lui ai préparé un questionnaire comme il arrive à me parler et encore plus par écrit, ain de lui demander des précisions sur ces crises, etc car il faut déjà être sure qu'il s'agit de la boulimie non ? |
Par polache : le 18/11/09 à 17:38:02
| Dire merci | il peut aller voir un psychologue clinicien. Et même si finalement il n'est pas boulimique, la séance ne sera pas perdu, ca peut toujours lui faire du bien |
Par Plectrude : le 18/11/09 à 17:40:35
| Dire merci | Dans tous les cas si il a adopté un comportement dont il ne parvient plus à se défaire, et qui le fait souffrir, peu importe de le faire entrer dans une petite case pathologique, il devrait consulter. Au professionnel de la santé concerné de poser le diagnostique. Ce n'est pas jamais l'accumulation de symptômes conformes à telle ou telle classification qui doit entrainer l'intervention d'un praticien, mais bien la souffrance ressentie. Cela dit je conçois bien qu'il est toujours plus facile de se résigner à s'attaquer à un problème lorsqu'on a pu le nommer. Mais tout de même, si au final il ne réunit pas tous les critères pour être classé dans la catégorie "boulimique", ce n'est pas pour autant qu'il n'a pas le droit d'être aidé. Les classifications sont là pour aider les praticiens en leur fournissant un support théorique, et non pour indiquer au patient si il a le droit ou non de consulter. |
Par ottalia : le 18/11/09 à 17:46:35
| Dire merci | le boulimique ne mange pas mal ni moins, il mange énormément puis vomis, n'a donc plus rien dans le ventre supporte quelques aliments apres les crises si sensations de fatigue extreme ou rien c'est tres dur de s'en sortir seul, c'est un truc psychologique qui vous bouffe l'esprit on ne pense qu'a la bouffe, qu'a son corps manger puis etre tellement mal d'avoir tant manger qu'il faut tout vomir les crises peuvent etre n'importe quand, tu commence par manger un truc et apres tu ne peux plus t'arreter ou alors tu essaie de manger sainement et tu dérapes alors tu continue a bouffer jusque overdose ou tu sais que tu as envie de faire une crise alors tu prépares tout sur la table et tu mange, tu manges.... et tu passe une heure a te faire vomir en buvant 3 litres d'eau chaude et en te mettant les doigts dans la gorge ouais c'est atroce, j'en suis sortie mais je garde un rapport avec cette putain de nourriture assez spécial |
Par melek : le 18/11/09 à 17:50:15
| Déconnecté Dire merci | Non, ce n'est pas une mauvaise idée.. ça vous permettra d'être "fixé" et de trouver des solutions en conséquence Et tu as raison, avant de s'embaler, il faut savoir ce qu'il en est. Pour toutes ces maladies, il s'agit de les aborder "avec des pincettes" . (je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire  C'est ton meilleur ami et il t'en a parlé donc c'est qu'il a confiance en toi, mais ça reste difficile de s'exprimer, même avec des gens proches malheureusement. Admettre que l'on est malade, ça peut être dur ) Après, je ne le connais pas, sa force de caractère etc... Je reste dans les généralités  |
Par ginie : le 18/11/09 à 17:50:21
| Dire merci | Merci à tous... Donc c'est bien ce que je pensais, il faut le prendre en charge psychologiquement. Je viens à l'instant de trouver un psy clinicien spécialisé dans les troubles alimentaires... je lui ai envoyé un email. En faite là où je ne sais pas quoi faire, c'est que mon ami ne pense pas pouvoir en parler avec quelqu'un d'autre que moi... et tant qu'il ne souhaite pas du plus profond de son âme se laisser guider, il n'y arrivera pas. En plus il a essayé un psy quand il était tout jeune et apparement il en garde un "mauvais souvenir"... il ne sait plus quel spécialité se psy avait... bref... comment l'aider à aller se soigner ? ! |
Par ginie : le 18/11/09 à 17:56:37
| Dire merci | melek, tu as raison... tout es fait "en douceur", j'essai de tout faire pour qu'il soit à l'aise... J'essai aussi de dédramatiser la chose pour qu'il puisse en parler plus facilement, sans se sentir honteux ou quoi que ce soit (le seule avantage pour moi, c'est que je n'ai aucun prégujé concernant les maladies psychologiques... j'aurais d'ailleurs aimé être psy) ottalia... tu t'en ai sortie seule ? merci de témoigner, ce n'est peut être pas facile pour toi en plus !...c'est super difficile de savoir ce qu'il vit précisement... et ça va m'aider pour l'aider de comprendre au mieux... tu avais tes crises dans des moments de stress ? quelles étaient la fréquence ? |
Par polache : le 18/11/09 à 17:58:05
| Dire merci | tu ne peux pas ton aide s'arrete ici Pour que la thérapie marche, il faut que ca démarche soit personnelle. S'il y va en disant: le psy c'est nul je ne lui dirais rien, ca ne va pas faire avancer les choses Mais s'il n'est pas réticent, il peut y aller, avancer peu a peu avec le psy. C'est souvent difficile de parler la première fois a un inconnu, mais ca peut énormément aider, surtout que c'est un pro |
Par ginie : le 18/11/09 à 18:04:38
| Dire merci | je ne dirais pas qu'il est contre...il ose pas encore trop en parler... et si j'ai bien compris il doute beaucoup qu'on puisse l'aider... et ça n'aide pas car il ne supporte pas montrer ses faiblesses... |
Par Plectrude : le 18/11/09 à 18:13:55
| Dire merci | Je suis d'avis que tu peux tout à fait l'aider en lui prêtant une oreille attentive. En verbalisant ses problèmes avec toi, cela l'aide aussi à y mettre du sens, à cogiter là dessus, à s'interroger sur son mal-être, et à décider si oui ou non il a besoin d'un thérapeute. Tu peux l'aiguiller avec ton opinion. Ton avantage et aussi ton inconvénient par rapport à un thérapeute, c'est que tu le connais, et il te connait. Concernant sa mauvaise expérience, c'est vrai que toute la difficulté de trouver le psy adéquate, c'est qu'il faut tester... Un psy c'est avant tout un être humain, soit on accroche soit on accroche pas, tout comme avec un médecin. Il y en a à qui on a plus de réticence de nos soucis que d'autres. Ca ne s'explique pas vraiment... et dés lors qu'on entre dans le domaine très très intime du mental, le choix du praticien est encore plus important. |
Par ginie : le 18/11/09 à 18:15:44
| Dire merci | pas facile, j'espère que le psy que j'ai contacté va me répondre... |
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